RETOUR MUSIQUE
WAGNER Richard (1813 – 13 février 1883)
Villa Wahnfried à Bayreuth (Allemagne)
Compositeur allemand
 
A écouter : La Marche funèbre extraite du Crépuscule des Dieux
La villa Wahnfried.
©  Dietmar Jott (Flickr)
© Philippe de l’Escalier (Flickr)
Richard Wagner connut plusieurs grandes amours dont trois vraiment importantes. Excepté sa première épouse, Minna, elles avaient souvent en commun le fait d’être déjà mariées et deux d’entre elles en partageaient un autre : leurs époux étaient de fervents admirateurs du compositeur…
Christine Wilhelmine "Minna" Planer (1809 – 25 janvier 1866)
Alten Annenfriedhof de Dresde (Allemagne)
Sa première épouse.
 
Actrice, elle fut sa femme durant trente ans bien qu’ils vivent séparés les dix dernières années.
Elle partagea toute l’époque du pain noir, des dettes et des créanciers. Wagner, jaloux et possessif leur union était orageuse. En 1850, il faillit déjà la quitter pour une jeune femme mariée avec laquelle il projetait de partir au Far West ! Il revint auprès de Minna. Le couple avait retrouvé son ardeur d’antan quand il rencontra Mathilde Wesendonck et s’éprit d’elle.
Après avoir découvert une lettre qu’il lui adressait, Minna et Richard se séparèrent en 1858. Ils se retrouvèrent un temps à Paris où, en 1861, il donna une représentation de Tannhäuser qui fut un fiasco.
Minna vivait à Dresde où elle demanda à Richard de la rejoindre. Lui suggéra de divorcer. Elle refusa. Bien que vivant séparés, Richard lui apporta son soutien financier. Minna mourut d’une crise cardiaque. Il ne se rendit pas aux funérailles.
© Paulae
Mathilde Wesendonck ( 1828 – 31 August 1902)
Alten Friedhof de Bonn (Allemagne)
L'inspiratrice.
 
Poète allemande, elle était l’épouse d’un marchand de soie Otto Wesendonck. Grand admirateur de Wagner, il mit à sa disposition une maison sur ses domaines. Mathilde le rencontra en 1852. Ils s’éprirent l’un de l’autre sans pour autant qu'on sache si leurs rapports furent autres que platoniques.
Quoiqu’il en soit, cet épisode de sa vie lui inspira Wesendonck Lieder un cycle de chants composé sur des poèmes de Mathilde. Ce fut l'unique fois qu'il accepta de composer sur des textes non de lui, simplement pour avoir l'alibi de la voir régulièrement. La situation et leur attirance réciproque ont certainement contribué à l'intensité du premier acte de La Walkyrie, que Wagner composait à l'époque, et à la conception d'une œuvre inspirée des légendes de Tristan et Iseut.
La découverte d’une lettre par, Minna, adressée à Mathilde, fut à l’origine de la séparation de Richard et Minna. Mathilde repose dans le vieux cimetière de Bonn avec sa famille.
http://wesendonck.blogspot.fr/
Cosima Wagner (1837 – 1er avril 1930)
Villa Wahnfried de Bayreuth (Allemagne)
Sa seconde épouse
 
Fruit de la liaison extraconjugale de Franz Liszt et de la comtesse Marie d'Agoult, en 1857, elle épousa un des élèves les plus doués de son père, le pianiste et chef d'orchestre Hans von Bülow. Le mariage n’était pas heureux. Sa liaison avec Wagner, de vingt-quatre ans son aîné commença en 1862. En 1866, le couple s’installa dans une villa mise à leur disposition par Louis II de Bavière.Cosima, qui se sépara de son mari en 1867, donna à Richard un enfant avant qu'ils ne pussent se marier en 1870.
 
Veuve, elle réussit à maintenir l'existence du Festival de Bayreuth qu’elle dirigea jusqu’en 1911. Elle en fit le lieu de la célébration du culte du compositeur dans une orientation résolument conservatrice, refusant, par exemple, jusqu'à sa mort tout changement dans la mise en scène, les décors et les costumes de la création de Parsifal.
Elle mourut à Bayreuth et fut inhumée dans la même tombe que son époux.
3 février 2013
L’art dramatique allemand, particulièrement riche et brillant au 19ème siècle, vit avec Wagner une des plus puissantes expressions du génie romantique : sa suprématie s’affirma avec éclat, son influence bouleversa toutes les musiques européennes. Vaste synthèse englobant tous les arts, son œuvre apparait comme le point de convergence où se cristallisèrent les aspirations artistiques et les tendances esthétiques de son temps.
 
Dès 1850, il transforma la conception de l'opéra le concevant non plus comme un divertissement, mais comme une dramaturgie sacrée. Contrairement à presque tous les autres compositeurs d'opéras, Wagner écrivait lui-même ses livrets en empruntant la plupart de ses arguments à des légendes et mythologies européennes, le plus souvent germaniques, conférant à  son  œuvre une unité profonde.
© Philippe de l’Escalier (Flickr)
Sources partielles: http://www.histoire-pour-tous.fr/biographies/3089-richard-wagner-1813-1883-biographie.html
(*) commentaire(s)
Personnalité majeure de son temps, Wagner  mettait aussi au centre de sa vie…Wagner. Ainsi, lorsque Louis II de Bavière, admiratif de son œuvre, le fit venir près de lui, le compositeur ne poussa-t-il pas son mécène à l’économie. Entre autres, celui-ci  régla ses dettes considérables et, en 1865, dépensa sans compter pour faire monter Tristan et Iseut qui, par ailleurs, fut un triomphe.  Rien n’était trop beau pour  satisfaire les projets grandioses du compositeur qui trouvaient leur écho dans l’esprit de démesure de  Louis II.
Mais soupçonné de profiter son intimité avec le jeune roi pour l’influencer tout lui faisant vider les caisses du royaume de Bohême, il s’aliéna à la fois les membres de la Cour et la population.  A cela se rajoutait le  scandale provoqué par sa liaison avec  une femme mariée, Cosima von Bülow.
 
Contraint de quitter Munich et sa corne d’abondance, il finit par s’installer à Bayreuth (1871) où il décida de faire construire un opéra spécialement conçu pour y accueillir le cycle complet de sa Tétralogie (ou Ring). Fruit de près de trente ans de gestation au cours desquels l'œuvre se transforma progressivement en une gigantesque allégorie philosophique sur la société, la politique, l'économie, la psychologie et le pouvoir, il s’agissait de la mettre en scène en s’appuyant autant sur le théâtre, la  musique, la poésie que la peinture.
Inspiré des mythologies allemandes et scandinaves, et composé  d’un prologue (L’Or du Rhin) et de trois pièces (la Walkyrie, Siegfried et le Crépuscule des Dieux), la représentation du Ring devait s’étaler sur trois jours.
Grâce au soutien d’amis fortunés, de celui indéfectible de Louis II et de souscriptions, ce qui est devenu le Palais des festivals ouvrit en 1876. Succès artistique mais vrai gouffre financier, Wagner dut renoncer à réitérer l’année suivante et tenta de réduire le déficit en donnant une série de concerts à Londres. Le second festival de Bayreuth eut lieu en 1882 avec la présentation de Parsifal, tiré de la légende chrétienne du saint Graal,sur lequel il travaillait depuis cinq ans.
 
Mais il était déjà gravement malade Avec sa famille, il se rendit à Venise où il mourut d’une crise cardiaque dans les bras de Cosima au Palais Vendramin Calergi qui, depuis, abrite le casino de Venise et le musée Wagner  inauguré en 1995.
 
Son parcours le fit tour à tour regarder comme un anarchiste, un socialiste, mais aussi comme un proto-fasciste et un nationaliste. Wagner se considérait comme « le plus allemand des hommes » incarnant
« l’esprit allemand », son histoire, sa culture. Son emprunt aux légendes germaniques comme source d’inspiration doublé de son antisémitisme notoire allaient trouver un écho quelques décennies  plus tard dans l’idéologie nazie.  Comme a dit Woody Allen, non sans ironie : « Quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne » …
 
Après le rapatriement de sa dépouille à Bayreuth, Richard Wagner fut inhumé dans le parc de sa villa  Wahnfried .
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au 22 juin 2021
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par Marie-Christine Pénin
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