RETOUR LIEUX  DE SÉPULTURES
Saint Euden, évcêque de Rouen, priant devant la Confession.
périboles ou peribolos
Chapelle Notre-Dame de la Guadelupe
Intérieur d‘un mausolée
Une rue...
BASILIQUE SAINT-PIERRE DE ROME  (Italie)
© MPC
De nos jours le mot « Vatican » n’évoque que la cité papale ce qui est bien normal. Mais il y a dix-neuf siècles, c’est à dire grosso-modo à l’époque de saint Pierre, il s’agissait encore d’une des collines de la ville située à l’extérieur de Rome et dont certaines zones étaient insalubres.
Avec ses bois et ses champs de légumes, la partie où fut bâtie la basilique était plus accueillante. C’est à cet endroit que fut construit le cirque de Néron commencé sous Caligula dans les jardins de sa mère et où furent martyrisés des Chrétiens parmi lesquels très probablement saint Pierre.
1-2-3-4-5-6-7
(*) commentaire(s)
La basilique Saint-Pierre et les grottes vaticanes, sont deux lieux désignés où furent inhumés une grande majorité des papes dans un espace géographique réduit. Rares sont ceux dont les dépouilles  sont toujours au lieu même de leur sépulture d’origine. En effet, la construction et les nombreux travaux de la basilique au long des siècles ont régulièrement  engendré des déplacements de sépultures d’un étage à un autre, de droite à gauche, d’une chapelle à une autre et que cela soit au niveau même de la basilique ou dans les cryptes.
A force, de  pousser, voire de détruire des tombeaux au gré des besoins, il est difficile de tracer précisément le parcours exact des sépultures, sauf pour les plus contemporaines.
 
Les fouilles archéologiques de la première basilique de l’empereur Constantin ont certes permis de découvrir la sépulture de saint Pierre mais aussi celles de papes dont les ossements ont été regroupés.
A cela, faut-il aussi rajouter les sépultures en provenance d’autres lieux comme Saint-Jean-de-Latran où furent inhumés plusieurs papes.
 

La basilique Saint-Pierre
► La basilique de Constantin
La Confession de saint Pierre va disparaître sous le sol de la nouvelle basilique.
(graphique d’Antonio Sperandio)
Cette gravure de Rodolpho Lanciani, que j'ai simplifiée,  montre bien la superposition des deux basiliques sur une bonne partie de l’emplacement de l’antique cirque de Néron.
En 324, l’empereur Constantin, qui avait adopté le christianisme, fit ériger un sanctuaire là où avait été enseveli saint Pierre qui fut consacré en 326 par le pape Silvestre Ier. A l’époque, la confession (crypte qui abrite le tombeau d’un martyr, en l’occurrence saint pierre) n’était pas entièrement souterraine permettant aux fidèles de s’approcher de la tombe grâce à une baie ouverte.
 
A la fin du 6ème siècle le pape saint Grégoire le Grand fit rehausser le chœur sous lequel il logea la Confession.
Le sol de la nouvelle basilique
fait disparaître l’ancienne bientôt
détruite.
Aujourd’hui, avec les quatre piliers et la tombe de saint Pierre en dessous © MCP
© MCP
► Les grottes ou cryptes vaticanes
Engouffrons-nous maintenant dans le vif du sujet: les cryptes sous la basilique Saint-Pierre dont l'entrée se situe au pied de la statue de saint André.
 
Remaniées durant des siècles, elles présentent aujourd’hui un magnifique ensemble dont une partie semi semi-circulaire épouse la forme de l’abside Constantin. Le long des périboles ou peribolos (mur entourant un espace sacré), aux plafonds, dans les cryptes et les chapelles s’étalent des fresques peintes ou en mosaïque somptueuses ; des statues et autres œuvres plus magnifiques les unes que les autres viennent compléter le décor.
La sobriété des aménagements plus contemporains renforce la richesse des anciens.
Photo extraite de "Roma Sacra: les grottes du Vatican"
Photo extraite de "Roma Sacra: les grottes du Vatican"
Photo extraite de "Roma Sacra: les grottes du Vatican"
Furent inhumés dans la basilique ou les grottes, les papes par ordre chronologique :
* Réputé avoir été inhumé auprès de saint Pierre dans le cimetière du Vatican mais sans preuve
 
Pour ceux inhumés hors de la basilique :
► Papes par ordre alphabétique ou
► Papes par ordre chronologique
► Les sépultures
 
Les grottes vaticanes concentrent la grande majorité des sépultures pontificales. Comme indiqué précédemment, tous les travaux effectués durant des siècles entraînèrent une valse des tombeaux.
Elles accueillirent aussi les sépultures de personnalités comme celle de la reine Christine de Suède ou de Charlotte de Chypre, et de cardinaux.
 
Malgré des fouilles minutieuses, à ce jour et, sauf rares exceptions, les sépultures des plus anciens papes n’ont pas été retrouvées ; de surcroît un doute subsiste pour quelques uns d’entre eux quant à leur inhumation en la basilique.
Jean VII
Sisinnius
Grégoire II
Grégoire III
Zacharie
Etienne II
Paul Ier
Etienne III
Adrien Ier
Léon III
Etienne IV
Eugène II
Grégoire IV
Serge II
Léon IV
Benoît III
Nicolas Ier
Adrien II
Jean VIII
Marin Ier
Etienne V
Formose
Boniface VI
Etienne VI
Théodore II
Jean IX
Benoît IV
Léon V
Serge III
Anastase III
Landon
Léon VI
Etienne VII
Léon VII
Etienne VIII
Marin II
Léon VIII
Benoît VI
Jean XIV
Jean XV
Grégoire V
Benoît VIII
Jean XIX
Léon IX
Urbain II
Eugène III
© MCP
Pierre
Lin*
Anaclet ou Clet*
Evariste*
Télesphore*
Hygin*
Pie Ier*
Anicet*
Eleuthère*
Victor*
Léon Ier
Simplice
Félix III ou II
Gélase Ier
Anastase II
Symmaque
Hormisdas
Jean Ier
Félix IV
Boniface II
Jean II
Agapet Ier
Pelage Ier
Jean III
Benoît Ier
Pélage II
Grégoire Ier
Sabinien
Boniface III
Boniface IV
Adéodat Ier
Boniface V
Honorius Ier
Séverin
Jean IV
Théodore Ier
Eugène Ier
Vitalien
Adéodat II
Donus
Agathon
Léon II
Benoît II
Jean V
Serge Ier
Jean VI
Adrien IV
Grégoire IX
Nicolas III
Honorius IV
Boniface VIII
Urbain VI
Boniface IX
Innocent VII
Eugène IV
Nicolas V
Paul II
Sixte IV
Innocent VIII
► Paul III
Jules III
Marcel II
Grégoire XIII
Grégoire XIV
Innocent IX
Léon XI
► Urbain VIII
Innocent X
Alexandre VII
Clément X
Innocent XI
Alexandre VIII
Innocent XII
Clément XI
Innocent XIII
Benoît XIV
Clément XIII
Clément XIV
Pie VI
Pie VII
Léon XII
Pie VIII
Grégoire XVI
Léon XIII
Pie X
Benoît XV
Pie XI
Pie XII
Jean XXIII
Paul VI
Jean-Paul Ier
Jean-Paul II
Mais aussi, et entres autres :
 
► CHARLOTTE DE CHYPRE ou DE LUSIGNAN (1444 – 1487)
Héritière du trône de Chypre à la mort  de son père (1458), trône que lui revendiquait son demi-frère bâtard Jacques l’Archevêque, elle  lutta contre les intrigues de ce dernier, mais dut fuir son île quand il  en prit le contrôle à la tête d'un détachement mamelouk en 1460. Malgré une vaillante résistance de ses troupes fidèles, elle abdiqua en faveur d’un neveu,  se réfugia en occident et mourut à Rome.
► CHRISTINE DE SUÈDE (1626 – 19 avril 1689)
Fille du roi Gustave II Adolphe et Marie-Éléonore de Brandebourg, rejetée par sa mère qui la trouvait très laide mais bénéficiant de l’attention de son père, faute d’héritier mâle, elle accéda au trône à la mort de ce dernier alors qu’elle n’était encore qu’une enfant, en 1632.
Devenue majeure (1644), puis son tuteur définitivement écarté, elle fut couronnée en 1650.
 
Élevée comme un garçon et s’habillant comme tel,  d'un tempérament solitaire et anticonformiste, cumulant les aventures aussi bien féminines que masculines et récalcitrante au mariage, la question dynastique restait posée.  
Fine diplomate et mécène passionnée des arts et des lettres, elle invitait à sa cour des érudits comme Descartes dont l’influence agira sur le mûrissement des pensées de la jeune souveraine.
Finalement, pour une multitude de raisons, elle préféra abdiquer en 1654 et quitta immédiatement la Suède. Faisant étape à Hambourg, Anvers et Bruxelles, elle se convertit secrètement au catholicisme. Cette conversion d'un ancien souverain protestant, qui représentait une victoire symbolique dans la lutte de la papauté contre le protestantisme, était une manne pour le pape Alexandre VII qui exigea une abjuration publique avant de la recevoir. Accueillie avec faste dans Rome (1655), elle reçut sa première communion du pape en personne. Une trahison aux yeux de la nation suédoise, profondément attachée à la défense de la foi protestante.
Fixée définitivement à Rome en 1668, amie des artistes et des savants, elle fut un grand mécène. Néanmoins, ne renonçant pas à toutes ses extravagances, son caractère entier et sa liberté de mœurs lui aliénèrent ceux qui l'avaient reçue avec ferveur.
Elle mourut d’érysipèle, une maladie de la peau dont elle souffrait depuis des années. Elle laissait derrière elle un destin aventureux et énigmatique qui fit la part belle à sa légende.
Elle repose dans les grottes vaticanes, mais un monument, en marbre bronze, oeuvre de Jean-Baptiste Théodon et  Carlo Giuseppe Fontana lui fut érigé dans la basilique au 18ème siècle.
© MCP
© MCP
© MCP
► KAAS Louis, Monseigneur ( ? – 1881)
Il guida les fouilles archéologiques voulues par Pie XII
► MERRY DEL VAL Y ZULUETA WILCOX Rafael, cardinal (1865 – 26 février 1930)
Diplomate rigide ayant une conception toute médiévale de l'autorité pontificale, conservateur anti-moderniste intransigeant, il joua un rôle important au début du 20ème siècle dans le gouvernement de l'Église catholique romaine associé au pontificat de Pie X. Oscillant entre catholicisme « intégral » et intégrisme, ses positions lui valurent un jugement parfois sévère.
 
Ecarté par Benoît XV, il fut relégué dans des postes honorifiques ou administratifs et doctrinaux, sans possibilité d'influence concrète sur les grandes orientations du Saint-Siège et continuant d’effectuer des missions de représentation. Il termina ses jours dans une retraite effacée et mourut à Rome. Selon ses vœux, il fut inhumé dans les grottes vaticanes « le plus près possible de saint Pie X »
Déclaré « serviteur de Dieu », première des trois étapes menant à la canonisation, la procédure est actuellement interrompue.
► TEDESCHINI Federico, cardinal (1873 – 1959)
Doté d’un brillant bagage en philosophie, théologie, droit canon et droit civil, il fut ordonné prêtre en 1896. Nommé, par Pie X, camérier secret (1903), prélat de sa Sainteté (1908), il exerça des fonctions au sein de la curie romaine qu'il réorganisa sous sa forme actuelle. Benoît XV le nomma nonce apostolique en Espagne (1921), il y représenta le pape sous les régimes libéral monarchique, dictatorial, transitoire et républicain avant de quitter le pays un mois avant le début de la guerre en 1936.
Apprécié de Pie XII pour ses « qualités spéciales de cœur et d'esprit », celui-ci en fit  le successeur de Rafael Merry del Val y Zulueta, comme archiprêtre de la Basilique Saint-Pierre. Camerlingue du Sacré-Collège des cardinaux (1947), légat pontifical lors de plusieurs célébrations en Europe et en Amérique du Sud, il prit part au conclave de 1958 qui vit l’élection de Jean XXIII.
Il mourut d’un cancer de l’intestin et fut inhumé dans les grottes vaticanes.
© MCP
"Mini" musée lapidaire, les grottes vaticanes exposent aussi des fragments, ou pièce complète,  provenant de divers monuments, notamment funéraires.  
© MCP
© MCP
© MCP
► La nécropole du Vatican
Moins connue que les grottes vaticanes, leur visite ne peut se faire qu’avec une inscription auprès du bureau des fouilles.
 
Bien que ne contenant pas de tombes célèbres, si l’on a un peu de temps la visite vaut le détour c pour les passionnés du genre, car elle réserve une découverte captivante de la structure d’un cimetière et de l’architecture funéraire antiques.
Néanmoins, peut-être à déconseiller aux vrais claustrophobes et aux personnes de très forte corpulence.
Cinquante ans après la mort de l’Apôtre Pierre, les premières tombes commencèrent à apparaître au nord du cirque de Néron dont elles étaient très proches. Ce cimetière païen reçut également des inhumations chrétiennes notamment au 3ème siècle avant la construction de la basilique de Constantin.
Ce cimetière était à ciel ouvert, comportait des mausolées bien alignés de part et d’autre d’une rue pavée dont certains ont pu contenir jusqu’à 120 voire 170 défunts.
On ne peut qu’admirer la richesse des fresques et l’élégance des décorations.
 
Avec son projet de construction de basilique, l’empereur Constantin ordonna la démolition d’une partie de la nécropole.
Après bien des difficultés liées à la prise en compte de la tombe de saint Pierre, à la structure du terrain et à la hauteur des mausolées, un nombre conséquent de ces derniers fut préservé et respecté tout en disparaissant sous la terre.
Leur découverte date du pontificat de Pie XII qui encouragea les fouilles archéologiques dans la zone de la Confession de saint Pierre, ce qui n’avait jamais été entrepris pour ne pas déranger les tombes des papes et des martyrs inhumés près de l’Apôtre.
Source principale : Roma Sacra / Les grottes vaticanes. Ed. Elio De Rosa / Librairie du Vatican
(*) commentaire(s)
Depuis Alaric en 410 jusqu’à Totila en 546, la basilique fut victime des pillages des Barbares.
Après mille ans d’existence et en dépit de multiples restaurations et d’embellissements la basilique de Constantin menaçait ruine.
 
►La nouvelle basilique…en bref
 
Au total, des premiers travaux aux derniers, plus de cent vingt ans s’écouleront, dix architectes œuvreront et vingt papes régneront.
 
En 1452, la pape Nicolas V décida d’intervenir. Mort trois ans plus tard, ses projets disparurent avec lui et durant une cinquantaine d’années ses successeurs se contentèrent de consolider l’antique édifice.
 
En 1503, Jules II « le pape-ouragan » décida d’une transformation radicale qu’il confia à l’architecte Bramante dont le projet en croix grec avait été retenu. La première pierre du nouvel édifice fut posée le 18 avril 1506. Une grande partie du transept et de l’abside de l’ancien fut abattue.
 
Après les morts de Jules II en 1513 et de Bramante l’année suivante, le plan ne cessa d’être remis en question. On tergiversa pendant une trentaine d’années jusqu’à ce que le pape Paul III confie le travail à Michel-Ange qui conserva le projet de Bramante en forme grec.
Après sa mort en 1564, ses plans furent appliqués et la réalisation du projet terminé en 1593.
1606. Pape depuis 1605, Paul V bouleversa définitivement l’ensemble en optant pour un plan en croix latine. Il est vrai que cette forme était plus adaptée aux prédications et aux grandes cérémonies en cette période de Contre-réforme. D’autre part ce projet permettait aussi de couvrir entièrement l’espace occupé par la basilique primitive en partie abandonnée vers l’Est par Michel-Ange. Ce qui restait de l’édifice de Constantin fut détruit à cette époque. La construction de la façade fut confiée Carlo Maderno . A son décès en 1629, Le Bernin prit le relais qui créa l’unité artistique de la basilique et qui en fit le somptueux monument baroque que nous connaissons.
► OTHON II (empereur du Saint-Empire Germanique)
 
► STUART,  prétendants au trône d'Ecosse et autres membres de sa famille
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
ACCUEIL
THEMES 
DE A à Z 
FACEBOOK
CONTACT
Chercher
NOUVEAUX ARTICLES
 

Pour s'abonner à la Newsletter : CLIQUER  sur "Contact" en précisant bien le sujet et votre adresse E.mail.
LIEUX D'INHUMATIONS
EN LIGNE
 
-Abbaye de Chelles (77)
-Abbaye de Cîteaux (21)
-Abbaye de Fontevraud (49)
-Abbaye de Longchamp (75) (disparue)
-Abbaye de Maubuisson (95)
-Abbaye de Montmartre (75)
-Abbaye de Port-Royal (75)
-Abbaye de Port-Royal-des-Champs (78)
-Abbaye St-Antoine-des-Champs (75) (disparue)
-Abbaye et église St-Germain-des-Prés (75)
-Abbaye, couvent et séminaire St-Magloire (75) (disparus en partie)
-Abbaye St-Victor (75) (disparue)
-Abbaye St-Yved de Braine (02)
-Abbaye Ste-Geneviève (75)
-Abbaye du Val-de-Grâce (75)
 
-Basilique St-Denis (93)
-Basilique St-Pierre de Rome
-Basilique St-Remi de Reims (51)
-Basilique du Saint-Sépulcre à Jérusalem (Israël)
 
-Catacombes de Paris
-Catacombes de Rome
 
-Cathédrale Notre-Dame (75)
 
-Chapelle Royale de Dreux (28)
-Chapelle de la Sorbonne (75)
-Chapelle des Incurables (75)
-Chapelle St-Aignan (75)
-Chapelle St Peter-ad-Vincula, (Tour de Londres)
 
-Chartreuse de Gaillon-lez-Bourbon (27) (disparue)
 
-Cimetière de Bonsecours (76)
-Cimetière du Calvaire (75)
-Cimetière de Clamart (75)
(disparu)
-Cimetière des chiens d'Asnières (92)
-Cimetière des enfants de Pen-Bron (44)
-Cimetière des Errancis (75)
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière "des fous" d'Evreux (27)
-Cimetière des Innocents (75) (disparu)
-Cimetière des Invalides (Invalidenfriedhof) Berlin
-Cimetière de la Madeleine
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière du Mont Herzl à Jérusalem (Israël)
-Cimetières parisiens (subtilités)
-Cimetière parisien d'Ivry (94)
-Cimetière parisien de Vaugirard (disparu)
-Cimetière de Picpus (75)
-Cimetières protestants
-Cimetière St-André-des-Arts (75) (disparu)
-Cimetières St-Benoît (75) (disparus)
-Cimetière St-Denis-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Etienne-du-Mont (75) (disparu)
-Cimetières de St-Eustache (75) (disparus)
-Cimetière St-Germain-l'Auxerrois (75) (disparu)
-Cimetière St-Gervais (75)
(disparu)
- Cimetière St-Jacques-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Jean-en-Grève (75) (disparu)
-Cimetière St-Landry (75) (disparu)
-Cimetière St-Laurent (75) (disparu)
-Cimetière St-Marcel (75)
(disparu)
-Cimetière St-Médard (75)
(disparu)
-Cimetière St-Nicolas-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetière St-Nicolas-du-Chardonnet (75) (disparu)
-Cimetière St-Paul-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetières St-Roch (75) (disparus)
-Cimetière St-Sulpice (75)
(disparu)
-Cimetière de la Salpêtrière (75) (disparu)
-Cimetière de Sapanta (Roumanie)
-Cimetière St-Sauveur (75) (disparu)
Cimetière et charniers St-Séverin (75)
Cimetière Ste-Catherine (75)
(disparu)
-Cimetière Ste-Marguerite (75)
 
-Collège de Beauvais ou de Dormans (75)
-Collège des Ecossais (75)
 
-Collégiale St-Georges de Vendôme (41) (disparue)
-Collégiale St-Honoré (Paris) (disparue)
-Collégiale St-Laurent de Joinville (52) (disparue)
-Collégiale St-Martin de Montmorency  (95)
-Colonne de Juillet (75)
-Commanderie  Saint-Jean-de-Latran (75) (disparue)
 
-Couvent de l'Ave Maria (75) (disparu)
-Couvent des Augustins-Déchaussés (75) (disparu)
-Couvent des Bénédictins anglais (75)
-Couvent des Blancs-Manteaux (75) (disparu)
-Couvent des Capucins de la rue St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Capucines (75)
(disparu)
-Couvent des Carmélites de la rue St-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Carmes-Billettes (75)
-Couvent des Carmes-Déchaussés (75)
-Couvent des Célestins (75) (disparu)
-Couvent des Cordeliers de Nancy (54)
-Couvent des chanoinesses de Picpus (75)
-Couvent des Cordeliers (75)
(disparu)
-Couvent des Chartreux de Vauvert  (75) (disparu)
-Couvent des Feuillants du Fg St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Grands-Augustins (75) (disparu)
-Couvent des Grands Carmes ou Carmes Barrés ou Carmes Maubert (75)  (disparu)
- Couvent des Jacobins réformés de la rue Saint-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des  Jacobins de la rue Saint-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de la place Royale (75) (disparu)
-Couvent des Pénitents du Tiers-Ordre de St-François ou Pénitents de Picpus (75)
(disparu)
-Couvent des Petits-Augustins (75)
-Couvent des Récollets (75)
-Couvent des Théatins (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie, rue St-Antoine (75)
 
-Crypte impériale des Capucins de Vienne (Autriche)
 
-Eglise du Dôme des Invalides (75)
-Eglise du St-Sepulcre (75) (disparue)
-Eglise de La Madeleine (75)
-Eglise La Madeleine-de-la-Cité (75) (disparue)
-Eglise Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux (75)
-Eglise St-Barthélemy (75) (disparue)
-Eglise St-Benoît, la bien tournée (75) (disparue)
-Eglise St-Christophe (75) (disparue)
-Eglise et cimetière St-Côme-et-St-Damien (75) (disparus)
-Eglise St-Denis-de-la-Chartre (75) (disparue)
-Eglise St-Denis-du-Pas (75) (disparue)
-Eglise St-Eloi (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne-du-Mont (75)
-Eglise St-Eustache (75)
-Eglise St-Germain-l'Auxerrois (75)
Eglise St-Germain de Charonne (75)
-Eglise St-Germain-le-Vieux (75) (disparue)
-Eglise St-Gervais-St-Protais (75)
-Eglise St-Hippolyte (75) (disparue)
-Eglise St-Jacques-de-la-Boucherie (75)
- Eglise St-Jacques-du-Haut-Pas (75)
-Eglise St-Jean-en-Grève (75)
(disparue)
-Eglise St-Jean-le-Rond (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-des-Ménétriers (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-le-Pauvre (75)
-Eglise St-Landry (75) (disparue)
-Eglise St-Laurent (75)
-Eglise St-Leu-St-Gilles (75)
-Eglise (cathédrale) St-Louis-des-Invalides (75)
-Eglise St-Louis-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise et cimetière (disparu) St-Louis-en-l'Île (75)
-Eglise St-Marcel (75) (disparue)
-Eglise St-Martial (75) (disparue)
-Eglise St-Médard (75)
-Eglise St-Merry (75)
-Eglise St-Nicolas-des-Champs (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Chardonnet (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-des-Champs (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-St-Louis (75)
(ancien couvent des Jésuites)
-Eglise St-Pierre-aux-Arcis (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-aux-Boeufs (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-de-Montmartre
-Eglise St-Roch (75)
-Eglise St-Sauveur (75) disparue
-Eglise St-Séverin (75)
-Eglise St-Sulpice (75)
-Eglise St-Symphorien et St-Luc (75) (disparue)
-Eglise St-Thomas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise Ste-Croix (75) (disparue)
-Eglise Ste-Geneviève-des-Ardents (75) (disparue)
-Eglise Ste-Marine (75) (disparue)
-Eglises et cimetières de l'île de la Cité (75) (disparus)
 
-Escurial (monastère de l') (Espagne)
 
-Grottes vaticanes
 
-Hospice des Enfants-Rouges (75) (disparu)
-Hospice des Enfants-Trouvés (75) (disparu)
-Hospice des Quinze-Vingts St-Honoré (75) (disparu)
 
-Mausolée d'Auguste à Rome
-Mausolée d'Hadrien à Rome
-Mausolée de Mausole à
Halicarnasse (Bodrum) Turquie (disparu)
-Mémorial du Mt-Valérien (92)
 
-Noviciat de l'Oratoire (75)
 
-Oratoire St-Honoré ou du Louvre (75)
 
-Panthéon de Paris
-Panthéon de Rome (Italie)
-POMPES FUNÈBRES, AUTREFOIS et leurs métiers disparus
-Prieuré St-Martin-des-Champs (actuel CNAM) (75)
-Prieuré Ste-Catherine-du-Val-des-Ecoliers (75) (disparu)
-Prieuré Ste-Croix-de-la-Bretonnerie (75) (disparu)
 
-SAINTE-CHAPELLE DU PALAIS (75)
 
-SÉPULTURES DES BOURBONS
-SÉPULTURES DES ROIS D’ANGLETERRE (dynastie Anglo-saxonne)
-SÉPULTURES DES ROIS ET DUCS DE BRETAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS D'ESPAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS DE FRANCE ET DES EMPEREURS (résumé)
-SUPPLICIÉS Lieux d'inhumations
 
-Temple (enclos, église et cimetière du) (75) (disparus)
COPYRIGHT 2010 - 2024 - TOUS DROITS RÉSERVÉS - Ce site est propriétaire exclusif de sa structure, de son contenu textuel et des photos signées MCP.  Sauf accord du propriétaire du site, toute reproduction, même partielle, à titre commercial est interdite. Les reproductions à titre privé sont soumises à l'autorisation du propriétaire du site. A défaut, le nom du site et de son auteur doivent obligatoirement être mentionnés. Tous les droits des auteurs des oeuvres protégées reproduites et communiquées sur ce site sont réservés.