La chaire de Saint-Étienne du Mont est digne du jubé ; en bois en bois de chêne, dessinée par Laurent de La Hire (La Hyre), l'un des peintres les plus originaux de l'école française au 17ème siècle, et sculptée par Claude Lestocart, elle représente le développement du mystère de la parole de Dieu, exprimé par une suite de bas-reliefs et de statuettes d'une exécution parfaite.
Le miracle des Billettes.
Le buffet, en bois de chêne, construit par Jean Buron en 1630, est considéré comme un véritable chef-d'œuvre de menuiserie. Il occupe toute la largeur de la nef centrale L'orgue en lui-même est de Pierre le Pescheur et date de 1634. Gravement gravement détérioré en 1760 au cours d'un violent incendie puis restauré, il est le plus ancien de Paris.
Cet instrument fut, entre autres, la tribune du célèbre compositeur Maurice Duruflé et de sa femme Marie-Madeleine.
Reliquaire dans la chapelle de sainte Geneviève.
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► WINSLOW Jacques-Bénigne (1669-1760)
Inhumé en l'église Saint-Benoît, son épitaphe fut transférée après la Révolotion dans cette église.
► Furent inhumés, entre autres, dans le petit ou le grand cimetière
Un prêtre « branché », le pas énergique, le portable à la main et qui vous parle d’Internet, voilà qui me donna davantage l’impression de m’adresser à un directeur de monument touristique qu’à celui de ma conscience.... un brin décalé…mais sympathique.
Il est vrai que, perchée au sommet de la Montagne Sainte-Geneviève, à deux pas du Panthéon, l’histoire de St-Etienne-du-Mont se noie un peu dans les flots des visiteurs de tous poils venus admirer une église qui ne ressemble à aucune autre.
L' église
Le portail  de style Renaissance
La même vue de nos jours. Photo modifiée extraite de www.sainte-genevieve.net
Frontont: le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863).
La tour du clocher construite vers 1500, qui devait servir de simple campanile, fut élevée vers 1625 lorsque la façade fut terminée.
En 1222, pour répondre à une forte croissance démographique, les habitants du bourg de Sainte-Geneviève obtinrent l’autorisation de construire une nouvelle église paroissiale. A son tour trop exiguë, elle fut remplacée à partir de 1492 par l’église actuelle qui ne sera achevée qu’en 1626. Elle allait devenir la plus grande paroisse de l’Université.
Vers 1552
Cet édifice original constitue l’écrin d’un patrimoine exceptionnel qui fait de Saint-Etienne-du-Mont l’une des églises les plus riches de la ville.
Elle fut aussi la dernière demeure de plusieurs jansénistes qui y furent soit inhumés directement, soit transférés de Port-Royal après sa disparition en 1711 (Voir ci-après).
 
La première pierre de la façade actuelle fut posée par la reine Margot en 1610. Très abîmée sous la Révolution, au 19ème siècle, Victor Baltard, architecte de Paris et célèbre pour ses pavillons des anciennes Halles, la remonta, la restaura et restitua les statues.
Au 17ème siècle
Le plan intérieur de Saint-Étienne-du-Mont est une croix latine, avec bas côtés et chapelles. La lumière entre abondamment par une triple rangée de fenêtres, garnies de meneaux dont les ramifications varient à l'infini. Outre les tableaux, sculptures et boiseries disséminés dans les chapelles, l’église recèle cinq merveilles absolument incontournables : le jubé, la chaire, les vitraux du cloître des charniers, le buffet d'orgues et bien sûr le sarcophage de sainte Geneviève.
► Le Jubé
Véritable splendeur architecturale, le jubé de marbre blanc fut commencé en 1601 par Biart le père, artiste, célèbre du 17ème siècle.Il est formé d'un arc unique qui traverse le chœur, desservi par des escaliers en spirale contenus dans des tourelles à jour, à peine appuyés par de sveltes colonnettes chargées de lierre. Des anges, des palmes, des rinceaux, des entrelacs, des mascarons décorent les archivoltes et les frises.
Il se complète par deux portes qui ferment les bas côtés du chœur. Les vantaux de ses portes sont à claire-voie, surmontés d'entablements où sont assis, au milieu de frontons triangulaires, deux adorateurs en pierre d'une exécution charmante.
Ce jubé est le seul que l’on puisse encore voir à Paris. Aux 15ème et 16ème siècles, toutes les grandes églises possédaient cette galerie transversale servant à la prédication et à la lecture de l’Epître et de l’Evangile. Contrairement aux autres jubés, celui-ci, grâce à sa large arcade, permettait aux fidèles de voir le chœur. Sa partie centrale est de style Renaissance alors que ses portes latérales sont de style classique. Le tout est flanqué de deux superbes escaliers à jour permettant d’accéder à la plate-forme du jubé et à la coursière du chœur. L’ensemble a magnifiquement trouvé sa place dans cette structure toute médiévale.
► La chaire
Une plaque rappelle que lors de la consécration de l'édifice en 1626, deux jeunes filles tombèrent du haut du jubé mais que leur chute fut miraculeusement amortie par l'assistance.
En vertu de la théorie architecturale, qui prévalait au 17ème siècle, de créer des grands espaces dans les églises afin de ménager des perspectives étendues, il faillit bien disparaitre, vers 1735, comme beaucoup d’autres à Paris (Notre-Dame, Saint-Séverin, Saint Germain-l’Auxerrois) et en province.
► La châsse de Sainte-Geneviève
Une grande et belle statue de Samson semble soutenir le "corps" de la chaire dont le pourtour est orné des qualités que doit posséder un prédicateur : la prudence, la justice, la foi, l’espérance, la tempérance, la force et la charité.
Sous la Révolution française, l'église fut d'abord fermée, puis transformée en « temple de la Piété filiale », par les théophilanthropistes. Le culte catholique fut restauré en 1801, à la faveur du concordat. L'année suivante, la démolition de l'église abbatiale de l'abbaye Sainte-Geneviève et la percée de la rue Clovis firent de Saint-Étienne un édifice autonome.
Une plaque rappelle que l'église fut consacrée en 1626 par Jean-François de Gondi, archevêque de Paris.
Photo MCP
► Le cloître des charniers : la chapelle de la Communion
L'arche de Noë.
La multiplication des pains.
Le serpent d'airain.
La Pâque juive. Massacre des premiers nés égyptiens.
Le lavement des mains, des pieds, la synagogue, l'église.
Le Sacrifice d'Elie et le Sacrifice des prêtres de Baal.
L'Adoration du Saint Sacrement.
La Manne, le Christ invitant à adorer, l'Eucharistie.
Le pressoir mystique.
L'Offrande de Melchisédech
La Cène, l'Annonciation.
Visite des trois Anges à Abraham.
Toujours objet d'un véritable culte, de très nombreux ex-voto tapissent la chapelle de la sainte.
 
On notera à l'écart ceux peints par Largillière et J-F- de Troy.
► Le buffet d'orgue
Depuis 1803, après la destruction de l’abbatiale Sainte-Geneviève en 1802, Saint-Etienne-du-Mont abrite la pierre du premier sarcophage, recouverte d’une châsse en cuivre doré, de la patronne de Paris.
Elle est surmontée par un élégant ciborium, où l'on voit d'un côté les vierges sages et les vierges folles de l'Évangile, et de l'autre saint Siméon Stylite, priant sainte Geneviève du fond de la Thébaïde.
La décoration de la chapelle qui abrite le tombeau est due à M. l'abbé de Borie, qui la commença en 1852 avec le concours du R. P. Martin, de la Compagnie de Jésus.
Ex-voto par J-F de Troy
L'autel, en style du 14ème siècle, est surmonté de la statue de sainte Geneviève, copiée sur celle qu'on voit encore dans la sacristie du collège Henri IV, et qui ornait autrefois le portail de la vieille basilique.
Ex-voto par Largillière
Procession de sainte Geneviève qui existe toujours
Autre reliquaire.
► La chapelle commémorative
Enfin, on notera quelques évènements tels que:
 
. Le 10 janvier 1805, le pape Pie VII y célèbra la messe.
. En 1833, Frédéric Ozanam, paroissien de Saint-Étienne, fonda avec des amis la Société de Saint-Vincent-de-Paul.
. Le 3 janvier 1857, Mgr Sibour, archevêque en titre, y fut assassiné aux cris de « à bas les déesses ! » par le prêtre interdit Jean-Louis Verger, opposé au dogme de l'Immaculée Conception.
. Le 23 août 1997, le pape Jean-Paul II y célèbra une messe lors de sa visite à Paris à l'occasion des Journées mondiales de la jeunesse.
► Furent inhumés dans l'église, entre autres...
Parmi les églises parisiennes toujours existantes, Saint-Etienne-du-Mont appartient au "top 5" des grandes résidences post-mortem. Aux 17ème et 18ème siècles on pouvait voir sur de nombreuses dalles, aujourd’hui disparues, des épitaphes rappelant de manière pompeuse, comme le voulait l’usage de l’époque, les noms, qualités et mérites des défunts.
 
Entre 1711 et 1712, juste avant la démolition des bâtiments de l’abbaye de Port-Royal-des-Champs, certains de ses pensionnaires et non des moindres qui reposaient dans le cimetière de Magny-les-Hameaux près de Chevreuse, furent transportés dans l’église. Ils furent inhumés derrière le chœur près de la chapelle de la Vierge sans qu’on puisse déterminer l’emplacement exact.
Le petit cimetière (1)
► La chapelle de la Vierge
Placée selon la tradition au chevet de l’église, derrière le chœur, elle fut agrandie en 1660 sur une partie du petit cimetière. Blaise Pascal fut inhumé près d'un de ses piliers.
Des jansénistes exhumés du cimetière de l'abbaye de Port-Royal-des-Champs furent ré-inhumés dans sa proximité. Ainsi Racine  y trouva-t-il son dernier repos.
Le cimetière : le "petit" et le "grand"
Plan de Turgot (1734)
L’église Saint-Etienne-du-Mont possédait deux cimetières, le petit et le grand, qui avaient une même origine.
La première église Saint-Etienne-du-Mont avait possédé un cimetière qui l’entourait sur les côtés est, nord et ouest. Le côté sud était occupé par l’église abbatiale Sainte-Geneviève où était l’entrée commune des deux édifices.
Lorsqu’on reconstruisit l’église Saint-Etienne-du-Mont sous Charles VIII, elle eut ses propres entrée et parvis qui coupèrent en deux ce premier cimetière.
Cette coupure créa deux cimetières : l’un entourant les côtés est et nord de la nouvelle église et l’autre situé au delà , à la lisière nord du Carré Sainte-Geneviève, entre les actuelles rues de la Montagne Sainte-Geneviève et Valette.
Rue St-Etienne-du-Mont.
Vers la fin du 16ème siècle, la construction de la nef de l’église St-Etienne puis, vers 1660, l’agrandissement de la chapelle de la Vierge réduisirent fortement ce premier cimetière. En 1606, on y accédait soit de l’intérieur par la sacristie de l’église, soit par un petit portail, qui situé au pied de la tour l’horloge, sur la rue Etienne-du-Mont, ouvrait sur une longue galerie longeant cette rue.
Avec ses 10 mètres de large et 11 mètres de long, il méritait bien son nom de « petit cimetière » qu’on lui donna dès 1606. Sa fosse commune en service était faite pour recevoir vingt corps. La moyenne de ses enterrements ne dépassait guère quinze à vingt par an.
Toujours en 1606, on l’entoura sur trois de ses côtés par le cloître de ses charniers dans lequel on peut admirer les vitraux.
 
Lors des grandes restaurations du 19ème siècle (de 1861 à 1868) ses anciens charniers  furent transformés pour l’établissement de la sacristie de la salle des mariages et des catéchismes.
► Le grand cimetière (2)
Un petite partie du terrain de l'ancien cimetière en 1900.
Médecin, l'un des plus réputés de son époque, à la fois farouche partisan du galénisme et le plus farouche adversaire de son élève André Vésale, il enseigna au collège de Tréguier puis au Collège royal (Collège de France) en 1553. ll fut également l'auteur de la première grammaire de la langue française publiée en France (1531).
Il a donné son nom notamment à l'aqueduc du mésencéphale (aqueduc de Sylvius), à l'artère cérébrale moyenne (artère sylvienne) et au muscle carré plantaire (chair carrée de Sylvius).
par humilité, il choisit d'être inhumé dans le cimetière du collège de Montaigu.
De nos jours
LE SUEUR Eustache. Peintre
► MORIN de VILLEFRANCHE Jean-Baptiste  (1583-1656)
► VIGENÈRE Blaise de (1523-1596)
► LEMAISTRE Antoine  (Transféré de Port-Royal-des-Champs)
Tout à proximité, à l’angle des actuelles rue de la Valette et place du Panthéon, où se dresse de nos jours la bibliothèque Sainte-Geneviève, il existait le collège de Montaigu fondé en 1314. Etablissement aux règlements féroces, il avait triste réputation. En revanche les études y étaient excellentes et de brillants esprits le fréquentèrent. Il ferma en 1792. Les élèves qui y décédèrent et sans doute des professeurs furent inhumés dans le grand cimetière voisin.
Ce « grand cimetière » était situé devant l’église à l’angle actuel de la rue et de la Montagne Sainte-Geneviève de la place Sainte-Geneviève (ex-Carré Sainte-Geneviève).
Bien aéré, il bordait l’une et l’autre et s’étendait par derrière jusqu’à proximité du 21 rue Valette. Un mur de près de 3 mètres l’entourait sur ses côtés nord, ouest et sud.
En 1626, il avait été et rétréci par l’agrandissement du parvis, ce que montre bien le plan de Turgot. En 1763, il avait la forme d’un rectangle mesurant environ 46 mètres sur 12.
La fosse commune en service avait environ 5,25 mètres de long sur autant de large et autant de profondeur.
Elle était faite pour recevoir trois cents corps représentant la moyenne de ses enterrements annuels.
Ce cimetière fut désaffecté en 1794 puis vendu en 1798. On sait qu’il existe toujours des ossements à moins d’un mètre de profondeur sous le trottoir.
► VOISINS François-Amable de († 1809)
En 1803, alors qu'il était curé de la paroisse, il demanda à l'archevêque de Paris de faire par lui-même ou un de ses vicaires, une visite dans l'ancienne église Sainte-Geneviève afin d'identifier le tombeau et les restes de sainte Geneviève avant leur transfert à Saint-Etienne-du-Mont. Il fut nommé évêque de Saint-Flour. Inhumé au cimetière du Calvaire, seul son coeur repose en ce lieu.
L’histoire de Saint-Etienne-du-Mont reste liée à celle de l’abbaye de Saint-Geneviève (disparue) qu’elle jouxtait et sur une partie de laquelle se situe le Panthéon.
RACINE Jean (Transféré de Port-Royal)
► ROLLIN Charles (1661-1741)
Historien, professeur et recteur de l’Université. Principal au collège de Beauvais, il en fut destitué à l’instigation des jésuites pour avoir aidé de son talent et de sa bourse les Solitaires de Port-Royal-des-Champs. Il occupa ses loisirs à composer des ouvrages utiles à la jeunesse.
► THOGNET ou THONET  Nicolas († 1642) Un des plus célèbres chirurgiens de son temps
Il publia une apologie d'Aristote en 1624, cultiva également l'optique parallèlement à ses travaux d'astrologie. Professeur au collège de France, il combattit les doctrines de Copernic, Galilée et de Gassendi ainsi que le système de Descartes. Ces controverses isolèrent Morin de la communauté scientifique française qui s'était majoritairement convertie au système de Copernic. En 1630, il se vit confier la chaire de mathématiques du Collège Royal, poste qu'il conserva jusqu'à sa mort.
► PASCAL Blaise. D'autres membres de sa famille furent inhumés dans cette église
► PERRAU Jean († 1645) Savant, professeur et membre de l’académie royale
► PERRAULT Pierre († 1652) Avocat il était le père de l’architecte Claude Perrault et de Charles Perraultl’auteur des contes de fées. Il repose avec sa femme, ses fils Nicolas († 1661), Docteur à la Sorbonne et Jean († 1669) avocat comme lui.
EGLISE ET CIMETIÈRES SAINT-ETIENNE-DU MONT (Paris)
► GALLOIS  Jean (1632-1707)
Littérateur et savant, il était  abbé du prieuré de Cuers et garde de la Bibliothèque du roi. Il fut nommé pensionnaire géomètre de l'Académie des sciences en 1669 et élu membre de l'Académie française en 1672. Membre de l'Académie des Inscriptions, il en devint le secrétaire perpétuel. Professeur de mathématiques, puis de grec, au Collège Royal à partir de 1686,  il en fut  nommé inspecteur par le roi.
Co-fondateur avec Denis de Sallo du Journal des sçavans, il en dirigea la publication de 1666 à 1674. Les lecteurs du Journal, qui s'étaient indignés du manque de respect de Denis de Sallo envers certaines personnalités respectables, se plaignirent bientôt de l'insipidité des articles rédigés par Gallois, qui, malgré ses grandes connaissances en de nombreux domaines, se bornait prudemment à ne citer que des titres d'ouvrages accompagnés de quelques extraits.
 
Voltaire le qualifia de « savant universel » et disait de lui :
« [Il] fut le premier qui travailla au Journal des savants avec le conseiller-clerc Sallo, qui avait conçu l’idée de ce travail. Il enseigna depuis un peu de latin au ministre d’État Colbert, qui malgré ses occupations, crut avoir assez de temps pour apprendre cette langue ; il prenait surtout ses leçons en carrosse dans ses voyages de Versailles à Paris. On disait, avec vraisemblance, que c’était en vue d’être chancelier. On peut observer que les deux hommes qui ont le plus protégé les lettres ne savaient pas le latin, Louis XIV et M. Colbert »
Son  Breviarium Colbertinum  parut en 1679 et fut traduit en anglais et publié à Londres en 1912-1913.
► PITTON DE TOURNEFORT Joseph. Célèbre botaniste
 
► SYLVIUS Jacobus, Jacques Dubois, dit (1478 - 1555)
► LEFÈVRE Nicolas († 1708)
L’abbé fut le sous précepteur des trois petits-fils de Louis XIV : le duc de Bourgogne dont le précepteur était Fénelon - le duc d’Anjou (futur Philippe V d’Espagne) et Charles, duc de Berry. Le cardinal de Noailles lui confia la direction des Filles de Sainte-Aure. Il fut inhumé dans le petit cimetière.
► MARAT Jean-Paul après son expulsion du Panthéon
MIRABEAU Honoré-Gabriel Riquetti de après son expulsion du Panthéon
► PIÈTRE Simon (1565-1616/1618)
Fils du médecin Simon Piètre l’Aîné,  conseiller et médecin ordinaire de  Catherine de Médicis, Simon Piètre le Jeune, dit « le grand Piètre » fut nommé professeur de médecine au Collège Royal, fonction dont il se démit en 1607. Il devint l’un des médecins les plus riches de son temps. Médecin érudit, il entretint une polémique sur l’anastomose des vaisseaux chez l’embryon avec André du Laurens, médecin du roi, édita six Consilia de son père et lut la Chirurgia de Gourmelen ; ses contemporains et successeurs célébrèrent son savoir et son éloquence. Il mourut des suites d’une fièvre pourprée contractée chez un malade. Selon Guy Patin, qui le loua, pour des raisons d’hygiène il refusa d’être enterré dans l’église et le fut donc dans les charniers du petit cimetière.
Mathématicien, astrologue et médecin, partisan du géocentrisme, il proposa une méthode astronomique controversée pour la détermination des longitudes en mer.
Employé comme astrologue par l'évêque de Boulogne, il fut envoyé en mission en Allemagne et en Hongrie afin de visiter les mines et de s'initier à la transformation des métaux.
Ses travaux d’astrologie l’amenèrent à étudier l’astrologie politique, l’astrologie délibérative, les horoscopes individuels (Mazarin le chargea de tirer l’horoscope de Louis XIV) et les prévisions météorologiques.
Des panneaux, gravés en faux marbre noir, rappellent la mémoire des personnalités inhumées dans des églises, abbayes et couvents réunis à la paroisse:
. Eglise et cimetière Saint-Etienne-Du-Mont
. Eglise et cimetière Saint-Benoît-le-Bétourné
. Abbaye Saint-Victor
. Eglise abbatiale de Sainte-Geneviève
. Eglise et cimetière Saint-Hilaire-du-Mont
. Grand couvent des Carmes
. Collège de Navarre
. Couvent des Jacobins de la rue Saint-Jacques (Paris)
TURNÈBE Adrien (1512 – 1565)
Sources principales: Epitaphier du vieux Paris - Tome III; Les 200 cimetières du vieux Paris -J. Hillairet; Paris Pittoresque et Wikipédia.
(*) commentaire(s)
Poète et humaniste, après avoir enseigné les lettres à l'université de Toulouse, il revint à Paris en 1547 comme professeur de lettres grecques et latines au Collège royal (Collège de France).En 1552, il se vit confier, aidé de son ami Guillaume Morel, l’impression des œuvres grecques à l’Imprimerie royale. Il mourut de la tuberculose trois ans plus tard. Sa disparition fut l’objet d’un intense débat - qui donna lieu à pas moins de 600 pièces en vers et en prose – sur ce que, d’une orthodoxie un peu douteuse durant sa vie, il aurait abjuré le catholicisme pour embrasser le calvinisme sur son lit de mort.
Ses œuvres se composent principalement de poésies, d’essais de philologie, de commentaires sur Eschyle, Sophocle, Théophraste, Philon d'Alexandrie, Cicéron et de traductions des auteurs grecs en latin et en français.
Par testament, il avait souhaité reposer "dans le cimetière des pauvres écoliers de Montaigu" à l'exemple de Jacobus Sylvius.
► LEMAISTRE DE SACY Louis Isaac (Transféré de Port-Royal-des-Champs)
► FOSSÉ Pierre Thomas du  (1634-1698)
Historien ecclésiastique, son père, maître des comptes à Rouen, l’ayant envoyé enfant chez les jansénistes aux Petites écoles de Port-Royal pour y être instruit, il y prit goût à la vie de reclus et même d’ermite. Cette inclination l’amena par la suite à s’établir à proximité de Port-Royal-des-Champs. il s’attacha aux Solitaires de Port-Royal lui valant un séjour de six mois à la Bastille en 1666 et un exil dans sa terre du Fossé en Normandie.
Indépendamment de sa collaboration avec Lemaistre de Sacy sur la Bible de Mons, du Fossé fut l’auteur de quelques hagiographies et de Mémoires que Sainte-Beuve a fort louées comme reflétant admirablement la vie de Port-Royal.
Il a traduit de l'hébreu en français et écrit sous les pseudonymes de Pierre Thomas Beaulieu et Pierre Thomas La Motte.
Ex-voto de Largillière: Les portraits sont ceux de MM. Claude Bose, prévôt des marchands, Ch. Puylon, Ch. Sainfray, Th. Bazin et L. Baudran, échevins, Max Titon procureur de la Ville, J. M. Mitantier, greffier, N. Boucot, receveur, et au premier plan, Largillière lui-même, aux côtés de son ami Santeul, qu'il eut la malice de peindre vêtu de noir au lieu de le revêtir de l'aube blanche des chanoines de Saint-Victor, ce qui provoqua une réclamation en vers latins de la part de Santeuil.
Autre merveille de St-Etienne, la chapelle de la Communion construite vers 1605 derrière l’abside. Construit vers 1605, en même temps que la chapelle des Communions, se situe derrière l’abside. C’est là, qu’aux 17ème et 18ème siècles, que les fidèles recevaient la Communion lors des grandes fêtes ou des jours d’affluence. Ce cloître entourait sur trois côtés, l’ancien petit cimetière d’où son nom de cloître des charniers.
 
Il abrite un rare ensemble de vitraux peints à l’émail de la fin du 16ème ou du début du 17ème qui proviennent de l’ancien cloître. Au nombre de vingt-deux à l’origine, il en reste douze. Mutilés à la Révolution et dispersés dans d’autres chapelles de l’église, ils furent réunis et réajustés en 1834 dans leur emplacement d’origine. Ces douze verrières alignées forment la plus belle collection de vitraux après celles de la Sainte Chapelle.
Conçus pour être vus de près, ils sont typiques par leur technique de peinture à l’émail. Une série de douze vitraux met en parallèle l’Ancien et le Nouveau Testament.
Ce littérateur, élève de Jean Dorat, acquit une grande réputation pour son érudition et ses traductions de César, de Tite-Live et du Tasse.
Il embrassa une carrière diplomatique qu’il poursuivit pendant plus de trente ans, prenant sa retraite en 1570. A l'occasion de de deux voyages diplomatiques à Rome,  il entra en contact avec des cryptologues et étudia la cryptographie à travers des livres traitant de cette science.
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