ÉGLISE NOTRE-DAME-DES-BLANCS-MANTEAUX ET COUVENT DES BLANCS-MANTEAUX (Paris) (disparu)
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Ce plan permet de bien visualiser la structure d'origine du couvent passant au-delà du mur d'enceinte de la Ville et la position de la première église le long de la rue des Blancs-Manteaux. Eglise actuelle.
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Le square Charles Victor Langlois occupe l'emplacement des  jardins et d'une partie des bâtiments du couvent. Google Earth
S'étirant de la rue des Blancs-Manteaux à la rue des Francs-Bourgeois, l'église possède une entrée sur chacune d'elle. Vue du clocher dans la rue des Francs-Bourgeois.
Entrée rue des Francs-Bourgeois
Type de l’église conventuelle, dont le déambulatoire ne servait que pour les processions, en 1863, elle fut agrandie par l’addition d’une travée et d’une chapelle latérale et par l’élargissement de l’un des bas-côtés. En même temps qu’on la décorait à l’intérieur, sa façade n’ayant jamais été faite, Victor Baltard la flanqua de celle  l’église des Barnabites, ou Saint-Eloi, qui venait d’être détruite. Elle date de 1704 et est l’œuvre de Jean-Sylvain Cartaud (1675-1758) (illustration en tête d'article).
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La quasi-totalité du mobilier actuel fut acquise par la paroisse et les curés successifs au cours du 19ème siècle. On s’attardera notamment sur :
 
La chaire de vérité provenant de Bavière et typique du style baroque-rococo bavarois. Datant de 1749, elle fut achetée en 1864 à l'Exposition de l'Art et de l'Industrie par le curé de la paroisse, M. Garenne. Véritable chef-d’œuvre unique en France et classée au patrimoine national, elle se compose de onze panneaux de marqueterie incrustés d'étain, d'ivoire et de nacre représentant des scènes bibliques.
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Les stalles, de facture simple et datant du 17ème siècle, proviennent de l’ancienne église Notre-Dame-de-Lorette et de celle de Sceaux. Les boiseries qui revêtent les piliers au-dessus de ces stalles, ainsi que celles qui sont adossées au mur derrière l’autel Sainte-Anne,  du 18ème  siècle,  furent  acquises en 1841.
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http://www.ndbm.fr/histoire-culture/
Les balustrades qui ferment le chœur proviennent du château de Bercy détruit en 1861.  
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Parmi les tableaux exposés :
 
- La multiplication des pains (1683), signée par Claude II Audran (1639-1684)
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- Une Assomption de l’école de Philippe de Champaigne.
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- Les six tableaux de l’Ecole française du 17ème siècle, situés dans la très simple chapelle Sainte-Geneviève construite entre 1843 et 1844, sont une dotation des Beaux-Arts de la Ville de Paris.
A ce jour, on ignore s’il s’agit d’un même auteur ou d’un même atelier.
Groupés en polyptyque, ils représentent six événements consignés dans les livres de l’Ancien Testament.
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BEAUVARLET Mathieu († 1486)
Notaire et secrétaire du roi, général des finances d'Outre-Seine, maître lai de la Chambre des comptes, il servit sous Louis XI et Charles VII.
Bien que je ne puisse affirmer qu’il s’agisse du même personnage, son patronyme est l’occasion de rappeler un certain goût du secret et de l’équivoque que l’on trouvait dans des manuscrits de la fin du Moyen Âge au travers de devises anagrammatiques. Ainsi trouve-t-on l’anagramme du nom de Mathieu Beauvarlet («Va hativeté m’a brulé»), vers 1470, dans deux manuscrits : un Roman de Fauvel de Germain du Bus et une Cité de Dieu de Saint-Augustin.
Tombe en cuivre avec les défunts, représentés avec leur fille, encadrés par une double arcade trilobée.
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Col. Gaignières
BOURBON Charlotte de (1474 – 1520) ?
Fille de Jean II de Bourbon, après la mort de son mari, Engilbert de Clèves, comte de Nevers, d’Auxerre d’Etampes et de Rethel, en 1506, elle prit le voile à l’abbaye de Malnoue puis à Fontevraud où elle mourut et où elle est aussi réputée avoir été inhumée. On se demande donc comment cette tombe aux Blancs-Manteaux peut lui être attribuée. L’inscription n’étant pas lisible dans sa totalité, mais qui semble pourtant l’identifier avec certitude, est peut-être à l’origine d’une confusion renforcée par le blason de son époux. Sa tombe de cuivre avec son effigie la représente en habit de cour et non en habit religieux. Des recherches plus approfondies pourraient apporter une explication.
Col. Gaignières
BRIÇONNET Jeanne († 1548)
Epouse de Robert Piedefer, écuyer, seigneur de Guyancourt,..., le seul intérêt de cette personne dans cet article est la présence dans l’église actuelle de l’unique fragment de pierre tombale qui y est visible et qui provient de sa sépulture.
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Col. Gaignières
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BRÛLART Pierre (v.1515 – 1584)
Conseiller du roi en son conseil privé, président de la troisième chambre des enquêtes au parlement, il était le père de l’homme d’Etat Nicolas Brûlart de Sillery.
 
GUILLART Louis ( ? – 1565)
Evêque de Tournay (1519-1524), puis de Chartres (1525-1553) -où  il poursuivit avec zèle  le calvinisme et contribua à orner la cathédrale de tableaux-  Chalons-sur Saône  puis de Senlis (1560-1561),  il fut  aussi prieur commendataire de l'Abbaye Saint-Magloire de Léhon et abbé commendataire de Vaux-de-Cernay. Il fut également conseiller et maître de l’oratoire du roi.
Sur sa pierre tombale était appliquée une lame de cuivre où l’on voyait le défunt revêtu de ses habits épiscopaux et abrité par un riche encadrement d’architecture avec un cartouche en latin placé à ses pieds.  
Col. Gaignières
MORELET DU MUSEAU Antoine († 1514)
Conseiller du roi et l’un de ses quatre notaires, trésorier général des « cents gentils hommes » de la maison du roi, son monument funéraire, en bas-relief de marbre blanc, bordé de marbre rouge et gris, le représentait sous forme de cadavre rongé de vers, à demi enveloppé d’un linceul, et la tête appuyée sur une tête de mort.
Col. Gaignières
► LE CAMUS Jean (1636-1710)
Conseiller de la cour des aides, puis maîtres de requêtes et lieutenant civil au Châtelet, son mausolée était le seul digne d’intérêt dans la nouvelle église. Œuvre du sculpteur Simon Mazière (1649-1722), il se composait d’un large socle de marbre blanc bordé de marbre noir et orné de consoles en marbre blanc, portant deux colonnes ioniques surmontées d’un entablement de marbre rance sur lequel était posé un sarcophage de marbre noir soutenu par quatre griffes de lion en bronze doré.
Sur le sarcophage, le défunt était représenté agenouillé, en taille réelle, et revêtu de son habit de magistrat. Devant lui, un ange à genoux tenant un livre ouvert.
Transporté au Musée des Monuments français, l’ange y disparut et la statue du défunt fut brisée. Il n’en resta que le buste qui fut, comme beaucoup d’œuvres du Musée, transporté par la suite au musée de Versailles où je perds sa trace.
Quant au sarcophage de marbre noir, il ne fut pas perdu pour tout le monde puisque selon une note d’Alexandre Lenoir, il s’en serait servi pour la reconstitution du tombeau de …Louvois.
A moins qu'il n'ait été la copie conforme de celui d'origine du ministre, le doute est possible car si l'on compare les gravures représentant le sarcophage  de Louvois dans "son jus" et celui visible de nos jours, ils sont de forme identique. Mais il est vrai aussi que ce modèle était un grand classique...
Malheureusement, sauf pour les deux statues disparues, il ne semble pas exister de représentation du monument de Le Camus dans son intégralité.
► RAGUIER Hémon (v. 1350 – 1433)
Seigneur de L'Haÿ (L'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne) , ancien argentier de Charles VI et de la reine Isabeau de Bavière  jusqu'en 1420, il refusa de voir appliquées les clauses du Traité de Troyes (mai 1420) qui prévoyaient le roi d’Angleterre, Henry V, comme successeur à Charles VI, excluant d’office son propre fils, le futur Charles VII, réfugié à Bourges où il le rejoignit. Ce dernier en fit son trésorier des Guerres.
Il fit édifier le Château de La Tournelle à l’Haÿ où mourut Jean de Dunois, le compagnon de Jeanne d’Arc.
Mort à Tours, il y fut d’abord inhumé dans l’église des Carmes. En 1447, ses enfants firent transférés ces restes aux Blancs-Manteaux où reposait sa première femme, Gilette de La Fontaine (1408).
 
SÉGUIER Nicolas († 1533)
Membre de la famille Séguier qui donna un nombre considérable de magistrats sur plusieurs siècles, lui-même fut  secrétaire et receveur des aides du roi à Paris.  Seigneur de l'Étang-la-Ville, Drancy, etc. il était le père du chancelier Pierre Séguier et l’arrière grand-père du plus célèbre d’entre eux, l’homme politique sous Louis XIV, Pierre Séguier. Sa femme, Catherine Le Blanc († 1534), et ses enfants furent inhumés au même endroit.
 

Les entrailles de :
 
BOURBON Catherine de (v. 1525 – 1594)
Fille de Charles IV de Bourbon et sœur d’Antoine de Bourbon elle était la tante d’Henri IV. Abbesse de l’abbaye de Soissons, qu’elle quitta en 1591 à cause des troubles du royaume, elle mourut à Paris. Son corps et son cœur furent inhumés en son abbaye de Soissons où sa statue funéraire, un priant, préservée au Musée des Monuments français, fut renvoyée par la suite à Soissons. Après avoir été reléguée dans une resserre de la cathédrale, elle finit par rejoindre les collections du musée de la ville en 1866/1867.
 
O François d’
 

Mais aussi :
 
Victimes des rénovations, reconstructions, destructions d’édifices religieux  et des aléas de l’histoire,  les pierres tombales intactes ne sont pas monnaie courante dans nos églises. La plupart de celles encore en place, usées par le temps et le piétinement des paroissiens, offrent des reliefs et des textes quasi effacés  qui se  devinent plus qu’ils ne se lisent quand ils ne disparaissent pas sous du mobilier.
Quant à celles qui furent sauvées lors des nombreuses destructions révolutionnaires et postrévolutionnaires consécutives  à la vente de ces édifices  comme biens nationaux et/ou des plans de rénovations urbains,  bon nombre furent brisées à force de manipulations. Si des réchappées  ont trouvé refuge dans des musées dédiés (lapidaires, spécifiques d’une époque, régionaux, etc.) d’autres sont conservées dans des réserves.
 
C’est pourquoi les dessins du généalogiste, antiquaire et collectionneur François Roger de Gaignières (1642-1715), sont un témoignage précieux que les habitués du site connaissent bien au travers des articles sur les lieux de sépultures disparus ou encore existants.  Malgré des erreurs ou des « fantaisies » de ses copistes, ils sont la source incontournable de la connaissance de ces pierres tombales et de ce qu’elles expriment autant sur la nature du défunt pour les générations à venir, que sur l’évolution des modes et des techniques, des costumes, etc.
 
Véritables livres d’histoire d’une vie et d’une époque, en attendant de leur consacrer un article, j’ai souhaité en présenter quelques unes provenant  des Blancs-Manteaux.
Détail récurrent dans les pierres tombales du 16ème siècle ci-après: la représentation du nombre d’enfants des défunts mais séparés de façon à bien distinguer les filles des garçons.  
► ALLEGRAIN Louis († 1554), conseiller du roi, et sa femme, Louise Briçonnet ( ?), représentés avec leurs dix enfants.
► BROCHIER Guy († 1421) et sa femme, Gillette Guillaume († 14..)
CHAMPAGNE Clérambault († 1494) conseiller du roi et sa femme, Jeanne le Folmarié († 1512), abrités par un double dais et représentés avec leurs enfants.
Col. Gaignières
Col. Gaignières
Col. Gaignières
► DES PLANTES Philippe († 1519), conseiller du roi, et sa femme († 1504)
► JEAN DE PARIS († 1352), religieux.
Col. Gaignières
Col. Gaignières
► LE PERDRIER Jean († 1380) et sa femme Jeanne († 1376)
► LE PICART Jean († 1549) notaire et secrétaire du roi, et sa femme, Jaquette de Champagne († 1522), parente de Clérambault puisqu’on retrouve le même écusson, représentés avec leurs douze enfants
Col. Gaignières
Col. Gaignières
LE PERDRIER Guillaume (pas de date), secrétaire du roi et maître de la chambre aux deniers, et sa femme, Jeanne .
Col. Gaignières
► LE VIEU Madeleine († 1583)
Col. Gaignières
► MILET Eustache († 1473) dont la tombe s’ornait d’une croix avec une couronne d’épines accompagnée des instruments de la Passion.
Col. Gaignières
► NEVEU Jean († 1504), conseiller du roi, et sa femme
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► REFUGE François de († 1531) conseiller et avocat du roi en sa chambre des monnaies à Paris, et sa femme, Jeanne Allgrain, représentés avec leurs enfants en bas-âge, tous deux abrités par sous une arcade géminée et festonnée
Col. Gaignières
► RUZÉ Catherine († 1526), veuve d’Eustache Allegrain, conseiller du roi, représentée avec ses sept enfants.
Col. Gaignières
Sources principales :
- Epitaphier du vieux Paris : Tome II
- http://www.ndbm.fr/histoire-culture/visite-eglise/
(*) commentaire(s)
20 juillet 2015
Y furent inhumés, entre autres...
 
L’ancienne église avait renfermé de nombreuses sépultures, dont beaucoup de pierres tombales qui furent laissées, pour la plupart, à leur place primitive lorsque le terrain fut annexé au jardin lors de la reconstruction du couvent.
 
Excepté, la présence incertaine de François d'O, et celle du bien moins connu Hémon Raguier, aucune grande personnalité n'y fut inhumée.
On y note majoritairement la présence de nombreux magistrats avec leur famille directe ou celle élargie par les liens matrimoniaux (Briçonnet, Hurault, Allegrain, etc.).
Sans que les défunts ne soient des célébrités, les pierres tombales retrouvées n’en sont pas moins intéressantes par la lecture qu’elles donnent de costumes à des époques diverses.
 
La nouvelle église abrita moins de tombes qui, à l’exception de celle du lieutenant civil Le Camus, ne présentaient guère d’intérêt artistique. Toutes disparurent avec la vente de l’édifice.
 
En 1790, avant d’abandonner le couvent, son  dernier prieur, Dom Deforis, eut beau demander que soient respectés et ensevelis décemment les restes des défunts inhumés dans l'église et le charnier quelles que soient les circonstances, et que le produit de la  vente des cercueils en plomb aille soulager les nécéssiteux,  tous furent transportés aux Catacombes en 1804. Quant aux cercueils, il en fut fait bon usage, mais pas celui que pouvait espérer ce charitable religieux...
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Mais avec la prospérité, le désordre et la licence semblent aussi s’y être promptement introduits, si bien que, dès le début du 17ème siècle, les religieux comprirent d’eux-mêmes la nécessité de remédier au relâchement de la discipline. La communauté, très réduite, décida alors d’embrasser la réforme de Saint-Vannes et de Saint-Hydulphe qui, après avoir pris naissance en Lorraine s’était rapidement étendue en France. Elle allait prendre le nom de Saint-Maur en mémoire du religieux qui, le premier, avait introduit la règle de saint Benoît en Gaule.
Cette nouvelle congrégation de bénédictins réformés, dont la formation avait été autorisée par Louis XIII en 1618, cherchait précisément à s’établir à Paris. Les Blancs-Manteaux adhérèrent à cette réforme à laquelle ils prêtèrent serment d’obéissance.  Ceux qui la jugèrent trop sévère se retirèrent.
En 1628, le pape Urbain VIII approuva l’institution de cette congrégation. Le couvent des Blancs-Manteaux se transforma alors en noviciat général de l’Ordre et en résidence de ces savants religieux qui s’illustrèrent dans l’histoire par leurs grands travaux d’érudits.
 
L’église, construite le long de la rue des Blancs-Manteaux, ne se distinguait par aucune architecture particulière. Très simple, orientée normalement, son entrée principale se faisait par la première cour du couvent qui comprenait deux corps de logis entre lesquels si situaient un préau et un cloître.
 
En 1685, pour cause de vétusté, la première pierre d’un nouvel édifice fut posée et le plan du couvent fut complètement  transformé.  On édifia deux grands corps de bâtiments, l’un sur la rue Paradis (act. rue des Francs-Bourgeois), et l’autre parallèle à la rue Vieille du Temple.
Quant à l’église, elle fut orientée vers le nord. Elle possédait deux entrées, l’une sur la rue Paradis et l’autre sur la rue des Blancs-Manteaux. L’emplacement  de l’ancienne église fut annexée au jardin primitif ce qui permit de rectifier l’alignement de la rue des Blancs-Manteaux.
Le couvent des Blancs-Manteaux au 18ème siècle. BnF
La Révolution vint interrompre le travail de nos érudits mauristes. Dès le mois d’août 1789, la Municipalité du district auquel appartenait le couvent réclama l’abandon d’une partie des bâtiments pour y loger une compagnie d’une centaine de soldats. Les religieux eurent beau protester contre le décret de l’Assemblée nationale qui prescrivait les ordres religieux, ils durent se transporter à l’abbaye mauriste de Saint-Germain-des-Prés (sept. 1790), emportant avec eux quelques unes des grandes collections de leur bibliothèque pour poursuivre leurs études.
Cette bibliothèque de 20 000 volumes, sans compter des manuscrits et des archives, constitue de nos jours un des fonds les plus importants de la Bibliothèque Nationale et des Archives Nationales.
 
Après avoir servi plusieurs années de caserne, le couvent fut vendu en 1796 et l’église en 1797. Celle-ci, rachetée par la Ville de Paris, fut rendue au culte catholique après le Concordat (1801) et devint église paroissiale sous son ancien titre de Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux.
 
De nos jours, il ne subsiste rien du couvent sinon l’église et ce qui forme l’actuel presbytère, ainsi que la partie des bâtiments du Mont de Piété (Crédit municipal) installé là depuis 1786.  
BnF/Gallica
Fondé vers 1258 par des religieux mendiants de l’ordre de Saint-Augustin venus de Marseille, les Serfs de la Vierge Marie, Louis IX aida à leur établissement en leur achetant une maison et un terrain dans le quartier du Temple.
 
En 1263, l’évêque de Paris, le curé de Saint-Jean-en-Grève, dont ils étaient paroissiens, et l’abbé de l’abbaye du Bec, qui avait droit de présentation à la cure de Saint-Jean-en-Grève, les autorisèrent à édifier une chapelle et d’avoir un cimetière.
 
En raison de la couleur de leur vêtement, ils furent bientôt désignés sous le nom populaire des Blancs-Manteaux qui devint l’appellation de leur couvent et, par extension, celui de la rue de la Petite-Parcheminerie où il se situait.
A peine étaient-ils installés que le pape Grégoire X, en 1274, édicta, sauf quelques exceptions,  la surpression de tous les ordres mendiants. Ils restèrent néanmoins en possession  de leur bien jusqu’en 1297, année où les frères ermites bénédictins de Saint-Guillaume, établis à Montrouge, reçurent la permission d’occuper  leurs locaux à la condition de conserver les anciens religieux qui acceptaient de se convertir à cet ordre. Pour ne pas être expulsés, une poignée d’entre eux embrassèrent la règle bénédictine.
 
L’année suivante, Philippe le Bel approuva la donation du couvent qui prit le nom de prieuré de Saint-Guillaume –les religieux devenant les Guillemites d’après le nom de celui de leur fondateur, le bienheureux Guillaume de Malval (ou Maleval) - mais qui, dans la population,  conserva son surnom d’origine.  
Les Guillemites étant un ordre mendiant (non supprimé) leurs ressources restèrent modestes, tout du moins au début. Aussi, la construction de leur église, commencée sous Louis IX semble-t-elle prolongée jusqu’en 1397, année où elle fut seulement dédiée.
 
Avec le temps, grâce à des libéralités, à des fondations de messes  et à divers bénéfices de droit, les ressources du couvent s’accrurent permettant son agrandissement -en 1334, Philippe VI les autorisa à percer l’ancien mur d’enceinte de la ville pour faciliter leur communication- et dispensant aux religieux de mendier.
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