RETOUR  SECONDE GUERRE MONDIALE
BRINON Fernand de (1885 - 15 avril 1947)
Cimetière parisien de Thiais (Val-de-Marne), puis cimetière de Saint-Quentin-la-Chabanne (Creuse)
Diplômé des sciences politiques et licencié en droit, célèbre journaliste de l'entre-deux guerres, rédacteur en chef du Journal des débats à partir de 1920, reconnu par ses pairs, dès les lendemains de la Première Guerre mondiale, il était convaincu de la nécessité d'un rapprochement pacifique et durable avec l'Allemagne pour contrer la menace soviétique.
Contraint à la démission du Journal des débats, il se lança dans une politique que l'arrivée au pouvoir d’Hitler exacerba.
Le 22 novembre 1933, le quotidien Le Matin publiait l’entretien qu’il avait eu avec Hitler le 16 novembre, sous le titre « Pour la première fois, le chancelier du Reich reçoit un journaliste français ». La création du Comité franco- allemand et du club du Grand Pavois, ses fréquents séjours dans l'Allemagne des SA, valurent alors une réputation encombrante à cet ami de Ribbentrop.
 
Le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale et la défaite française ne pouvaient que le consolider dans ses positions. N’avait-il pas eu raison avant tout le monde ? Et de se présenter de facto comme l’homme de la situation. Appelé par Pierre Laval, d’abord pour représenter le gouvernement français auprès du Haut-Commandement allemand dans le Paris de l’Occupation, il fut ensuite nommé ambassadeur de France auprès des Allemands, puis « délégué général du gouvernement français dans les territoires occupés ». Enfin, avec l’occupation de la zone libre en 1942, Pétain le nomma secrétaire d’État dans le gouvernement de Laval à son retour aux affaires.
 
Il avait épousé Jeanne Louise Rachel Franck, d'une famille de la grande bourgeoisie juive belge et, outre cette dernière, son entregent a-t-il sans doute permis de sauver quelques vies et de dispenser des juifs du port de l'étoile jaune. Mais pour le reste, évoluant avec une aisance de grand prince au milieu de ce monde mafieux de la collaboration, il couvrit toutes les mesures de répression et se fit le chantre d'une abomination sur laquelle sa componction et ses belles phrases avaient jeté un voile.
Avec le début de la débâcle allemande, vint aussi la sienne. Réfugié à Sigmaringen en août 1944,où il présida la « Commission gouvernementale », l’avancée alliée le poussa à tenter de rejoindre l’Espagne par avion. Ses tentatives ayant échoué, il se présenta aux autorités américaines le 8 mai 1945 et se constitua prisonnier. Ramené en France, jugé, il fut condamné à mort notamment comme « traître à la Nation », et comme espion au service de l'Occupant.
Fusillé au fort de Montrouge, inhumé au cimetière parisien de Thiais, il fut transféré un an plus tard dans la sépulture familiale à Saint-Quentin-la-Chabanne où il possédait le château de La Chassagne. Sur sa tombe, est indiqué qu’il fut « ambassadeur de France » sans toutefois rappeler auprès de qui…, laissant derrière lui l’incarnation du serviteur zélé de l’Allemagne nazie.
Merci à Philippe Landru pour cette photo
►BRINON Lisette de (1896 – 26 mars 1982)
Cimetière communal de Nemours (Seine et Marne) (inédit)
Merci à Philippe Landru pour cette photo
Issue d'une famille juive de la bourgeoisie d’affaires fraîchement promue et patriote, les Franck -le poète Henri Franck était son frère- rien ne la prédestinait à devenir la femme d’un chef de file de la Collaboration. Accumulant bien des contradictions et ambigüités de la première moitié du 20ème siècle, elle fut d’abord mariée à Claude Ullmann, dont elle eut deux fils, Bernard et Pierre-Jérôme, elle menait une active vie mondaine, entourée d'artistes et de personnalités de gauche, comme Léon Blum, et de droite, tel Pierre Drieu La Rochelle, qui fut impliqué dans la collaboration avec l'Occupant.
Au début des années 1930, elle rencontra Fernand de Brinon. Poussée par la passion, elle se convertit au catholicisme, obtint l’annulation de son premier mariage et épousa Brinon. Désormais, Lisette allait principalement côtoyer les politiciens, les journalistes et les intellectuels les plus séduits par la doctrine national-socialiste.
►ULLMANN Claude (1888 -1936)
Cimetière de Montmartre (Paris)
Excepté qu’il était juge au tribunal de commerce, décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre, je n’ai trouvé aucune information particulière sur le premier mari de Lisette de Brinon. Mort après une courte maladie, il fut inhumé auprès de son père, Emile, décédé quelques mois avant lui.
© MCP
© MCP
►ULLMANN Bernard (1922 – 31 décembre 2008) (inédit)
Cimetière de Saint-Armel (Morbihan)
Fils de Claude Ullmann et de Lisette de Brinon, journaliste et grand reporter, il entra à l’Agence France-Presse (AFP) en 1949, dont il fut un grand pionnier, et en dirigea les bureaux de Pékin (1959-60), de Moscou (1962-66) et de Washington (1974-77). Conseiller de la rédaction du magazine L’Express (de 1977 à 1987), au cours de sa carrière il couvrit de nombreux conflits, dont les guerres de Corée et la de libération du Bangladesh. Membre du jury du prix Albert-Londres, il est l'auteur, avec Jean Huteau (1919-2003), d'Une histoire de l'Agence France-Presse parue en 1990 chez Laffont.
Il consacra également une biographie à sa mère publiée en 2004, Lisette de Brinon ma mère : Une Juive dans la tourmente de la Collaboration, Ed. Complexe.
Selon sa seconde épouse, que j’ai pu contacter, envoyé à l’étranger par Brinon alors que le régime de Vichy traquait les Juifs, Bernard Ullmann ne pensait pas le mal qu’on pourrait imaginer de son beau-père. Quand il le sut condamné à mort, il alla le visiter en prison sans lui jeter la pierre. Bernard Ullmann repose au cimetière de Saint-Armel où il possédait une résidence.
►FRANCK Henri (1888 – 1912)
Cimetière du Montparnasse (Paris)
Frère de Lisette de Brinon, il se passionna tôt pour Nietzsche, Spinoza, les grands auteurs classiques et de l'antiquité, Paul Verlaine, Maurice Barrès, André Gide, … Il aimait l'opéra, l'opéra-comique, et jouait du piano. Reçu l’École normale supérieure, où il est reçu en 1906, ce fut encore l’occasion de belles rencontres comme celle avec Jules Romains. Prenant part aux débats qui agitaient la jeunesse du temps autour du marxisme, du socialisme, du nationalisme, il développa une réflexion sur Henri Bergson et Charles Péguy, des auteurs-phare pour cette jeune génération bouleversée par l’Affaire Dreyfus et inquiète devant la perspective d’un nouveau conflit avec l’Allemagne.
Curieux de tout, explorateur insatiable de l’univers des idées, plein de charme et de joie de vivre, ce poète en herbe participa à la revue Phalange qui se voulait l'organe officiel de la poésie et de l'art symboliste.
S’essayant à l’écriture en entretenant également une étroite correspondance tant avec des condisciples notamment Anna de Noailles, il s’engagea également dans le mouvement des Universités populaires où il enseigna, pour que les ouvriers et les employés puissent accéder au savoir. Secrétaire de l’Union patriotique des étudiants républicains à la Sorbonne, il se rapprocha de la SFIO tout juste fondée sous l’égide de Jean Jaurès.
Bourgeois, démocrate, socialiste, Henri Franck n’en était pas moins un patriote. S’il condamnait toute forme de nationalisme, il prit conscience de la possibilité d’un nouveau conflit avec l’Allemagne et estimait que la France doit s’y préparer.  Désormais, le peu de temps qu’il lui restait à vivre fut consacré à écrire son œuvre unique, un long poème épique,  La Danse devant l’Arche (1911- Nouvelle Revue Française) . Plus qu’une confession, il s’agit d’une réflexion poétique et philosophique sur le destin d’un jeune homme israélite, partagé entre l’héritage d’Israël et sa conscience française, en quête d’un Dieu unique qui s’efface peu à peu devant le monde de la raison.
Diagnostiqué tuberculeux en 1910, la maladie lui fut fatale deux ans plus tard. Henri Franck fut inhumé dans une division israélite du cimetière du Montparnasse.
© MCP
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Sources principales :
Tous mes plus chaleureux remerciements à la mairie de Saint-Armel (Morbihan) et toute ma gratitude à Mme Marie Ullmann sans l’aide de laquelle bien des questions seraient restées sans réponse.
 
-https://www.lexpress.fr/culture/livre/fernand-de-brinon-l-aristocrate-de-la-collaboration_806773.html
-http://www.memoiresdeguerre.com/article-brinon-lisette-de-73972368.html
-Journal Le Figaro n° 335 du 30 novembre 1936 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k409319z/f2.item.r=ULLMANN.zoom
-Article de Philippe Landausur Cairn 2010 https://www.cairn.info/revue-archives-juives1-2010-2-page-145.htm
(*) commentaire(s)
30 août 2019
Sous l’Occupation, tant par les origines juives de Lisette que par la liaison persistante qu’entretenait Brinon avec sa secrétaire, le couple tendit à se désunir. Déclarée « aryenne d’honneur »* ce qui la protégea, elle rejoignit son mari à Sigmaringen. Arrêtée à la Libération, la justice la mis hors de cause.
Elle entretint ensuite une amitié amoureuse intense avec un autre collaborateur : Jacques Benoist-Méchin, miraculé du peloton d’exécution, qui trouva auprès de son hôtesse chaleureuse.
Comme le relève son fils, Bernard Ullmann, dans la biographie qu'il lui a consacrée : « Elle recherchait de préférence la compagnie des gens plus jeunes qu'elle -les hommes surtout, homosexuels souvent, mais pas exclusivement... Jusqu'au bout, Lisette est restée une femme de passion ».
Lisette de Brinon mourut à l’hôpital Simone Veil de Montmorency, près de la maison de retraite où elle résidait, elle fut inhumée au cimetière communal de Nemours où elle avait passé une partie de sa jeunesse.
 
*Expression de langage qui ne figurait pas explicitement dans le Statut des Juifs, il est possible qu’elle ait été appliquée aux bénéficiaires de l'article 8, qui prévoyait que « Par décret individuel pris en conseil d'État et dûment motivé, les juifs qui, dans les domaines littéraire, scientifique, artistique, ont rendu des services exceptionnels à l'État français, pourront être relevés des interdictions prévues par la présente loi. Ces décrets et les motifs qui les justifient seront publiés au Journal officiel. «  Le présent certificat exempte Madame de Brinon, née Franck, Jeanne-Louise, née le 23-6-1896, à Paris, domiciliée actuellement au château de la Chassagne, par Felletin (Creuse), des mesures réglementant le port de l'étoile juive, telles qu'elles ont été fixées le 29-5-1942, par la 8e ordonnance réglant le statut des Juifs.
La présente a effet immédiat et reste valable jusqu'au 31 août 1943, et permettra à Madame de Brinon d'établir, avec certificat, son ascendance. [archives du CDJC/ Centre de documentation juive contemporaine]
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
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au 22 juin 2021
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par Marie-Christine Pénin
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