Saint Pépin de Landen administrant.
Illustration d'un manuscrit du 9ème siècle
Tumulus de Pépin de Landen
© Varech
Ancienne abbaye Saint-Pierre de Nivelles devenue collégiale Sainte-Gertrude
© Jean-Pol Grandmont
© Elya
©  Willy Horsch
► ALPAÏDE DE BRUYÈRE ou de Saxe ( ? – v. 710/715 ? )
Monastère de Orp-le-Grand (Belgique)
 
Bigame Pépin ? Des textes interprétés dans ce sens peuvent laisser penser qu’Alpaïde ne fut peut-être pas simple concubine. Quoiqu’il en soit, mère de Charles Martel, elle réunit autour d’elle les partisans de son fils contre Plectrude.
A une date précise ignorée,   elle se retira au diocèse de Namur et fonda un monastère de femmes à Orp-le-Grand, englobé depuis 1977 dans l’entité d’Orp-Jauche, où elle mourut et fut inhumée.
La légende locale veut qu'elle repose dans la crypte de l'église romane Saints-Martin-et-Adèle.
Eglise Saints-Martin-et-Adèle © Johan Bakker
(*) commentaire(s)
► PÉPIN II DE HERSTAL, dit Pépin le Gros ou Pépin le Jeune (v. 640 - 714)
Abbaye Saint-Arnould de Metz (Moselle) ?
 
Petit-fils de Pépin de Landen par sa mère, sainte Begga (Begge) d’Andenne qui épousa Ansegisel, fils de  l'évêque saint Arnoul de Metz, il s’imposa comme maire du palais d’Austrasie, dont il était duc, avant de réussir à prendre le contrôle de tous les royaumes francs à partir de 690, dont la Neustrie.  Il maintint cependant Thierry III sur le trône et, après sa mort, eut l'intelligence d'y maintenir sa descendance : Clovis IV,  Childebert IV et Dagobert III.  Après plusieurs années de combats (689-695), Pépin de Herstal battit les Frisons qui menaçaient sa frontière nord-est et contraignit également les Alamans à reconnaître l'autorité franque et encouragea les missionnaires chrétiens à partir évangéliser l'Alémanie et la Bavière.
Ses deux fils légitimes, Grimoald et Drogon, nés de son union avec Plectrude,  l’ayant précédé dans la tombe, son choix se porta sur son petit-fils qui, soutenu par sa grand-mère, Plectrude, fut vaincu par son rejeton né de sa concubine, ou  véritable épouse,  Alpaïde,  Charles Martel…
 
Pépin de Herstal mourut dans son domaine de Jupille,  intégré dans la ville de Liège depuis 1977 et sur lequel il avait fondé une abbaye et l'église Notre-Dame situées, de nos jours, sur la commune de Chèvremont.
 
Selon certains, Pépin de Herstal aurait été inhumé en l’abbaye Saint-Arnoul de Metz où reposait son évêque de grand-père et qui devint une nécropole carolingienne sous Charlemagne.
Si cela est un fait, quand et dans quelles circonstances cela se réalisa-t-il ?
Le siège de la ville par Charles Quint en 1552 entraîna la destruction de l’abbaye. Tous les tombeaux encore existants, et leur éventuel contenu, furent transférés à l’intérieur de l’enceinte dans le couvent dominicain. En était-il ?
Il est à noter qu'une stèle funéraire lui est dédiée dans l'église Sainte-Marie-du-Capitole de Cologne (Allemagne) où fut inhumée Plectrude.
Bien que son cas ne soit pas unique, on reste toujours étonné qu'un personnage d'une telle envergure n'ait pas laissé davantage de traces post-mortem.
 

► PLECTRUDE (v. 650 - ap. 717)
Abbaye Sainte-Marie du Capitole de Cologne (Allemagne)
 
Appartenant à une très noble et très riche famille, c’est avec satisfaction qu’elle voit son mari asseoir ses ambitions. Pépin l’avait répudiée puis reprise dans sa vieillesse. Ce fut durant sa disgrâce que Pépin, se serait fait bigame (?) et engrossa Alpaïde qui mit au monde un fils, le futur Charles Martel. On conçoit aisément la haine que lui inspira ce l'enfant.
Veuve, à défaut d’asseoir ses fils sur le trône pour cause de décès, elle soutint son petit-fils en tentant vainement de s’accaparer le pouvoir au détriment de Charles Martel.
Vaincue d'une façon éclatante, elle se retira dans le monastère de femmes qu’elle avait fondé à Cologne où elle mourut, fut inhumée et dont l'église, reconstruite et remaniée au long des siècles, existe encore.
Par miracle, au regard des bombardements que subit la ville,  sa dalle funéraire, datant du 12ème siècle, fut retrouvée après la Seconde Guerre mondiale.
21 août 2014
Un roi fainéant en voyage, par Paul Lehugeur (1854-1932?)
Non, et en tous cas pas de la manière aussi grotesque galvaudée dans la mémoire collective et forgée dès le 9ème siècle.
 
A travers les quelques uns qui furent qualifiés de « fainéants » se résumaient des décennies d’impossibilité de régner, pas d’inaptitude. En effet, rappelons que la plupart d’entre eux ont vu leur avènement alors qu’ils n’étaient que des enfants. Mis entre les mains des maires du palais, leur jeunesse, leur inexpérience et du coup leur malléabilité les livraient d’emblée à l’ambition et au bon vouloir des maires qui, gérant le trésor royal, laissaient peu de revenus aux jeunes souverains.
On notera également que beaucoup moururent jeunes et de façon pas toujours naturelle quand ils n’étaient pas tonsurés et enfermés dans des monastères. Si ceux-là n’ont pu faire la démonstration de leur potentielle envergure, les très rares qui furent en position de réagir, manque de chance, en étaient dépourvu.
 
Face au défilé accéléré des jeunes rois, les maires firent preuve d’une redoutable longévité leur permettant de superviser successivement plusieurs règnes et d’enraciner davantage leur pouvoir.
 
Les royaumes de Neustrie et d’Austrasie furent les témoins d’un vrai choc frontal entre leurs maires respectifs où tous les coups furent permis pour servir leurs ambitions. A terme, il n’y eut qu’un seul vainqueur, Pépin II de Herstal, dont le fils, Charles Martel, renforça le prestige de la famille.
 
Enfin et surtout, les derniers Mérovingiens avaient à peine disparu que la propagande carolingienne se saisissait de leur image, car si les maires, avec la dynastie des Pippinides dont sont issus les Carolingiens, avaient enfin atteint leur but, le prestige de leurs prédécesseurs était encore vivace.
Et les Pippinides le savaient bien, eux, qui malgré leur domination n’avaient jamais pu vaincre totalement
« la résistance des partisans de la vieille famille mérovingienne et la croyance en l’essence sacrée de la royauté germanique » dont elle était issue. Ce qui explique, à de multiples reprises, qu’ils furent contraints, ou trouvèrent plus sage, de placer sur le trône un membre légitime de la famille royale. Pépin III l’avait bien compris. Aussi ne prit-il leur place qu’avec l’autorisation du pape sans laquelle il n’aurait pu se faire sacrer et être considéré à son tour comme un élu de Dieu et régner sous le nom de Pépin III, dit le Bref.
LES MAIRES DU PALAIS : PÉPIN DE LANDEN ET PÉPIN DE HERSTAL
RETOUR FRANCS ET MÉROVINGIENS
Comprendre la disparition des Mérovingiens sans évoquer les plus grandes figures représentatives des hauts dignitaires qu’étaient les maires du palais, à l’origine de simples officiers de la Maison
du roi, est impossible.
 
Durant toute la période de leur montée en puissance au détriment des souverains Francs depuis Pépin de Landen à la fin du règne de Dagobert Ier, les Mérovingiens ont-ils vraiment mérité cette image caricaturale de « rois fainéants » englués dans leur inertie ?
► PÉPIN Ier DE LANDEN OU PÉPIN L’ANCIEN,  saint (v. 580 – 639/640)
Abbaye Saint-Pierre de Nivelles (Belgique)
 
Issu d’une très riche famille austrasienne, Pépin augmenta sa fortune grâce à la dot importante que sa femme Itta lui apporta. Puis, il maria sa fille, Begga, avec Angisel, fils de l’évêque Arnoul. De ce couple, parents de Pépin de Herstal,  descendent les Carolingiens.
 
Maire du palais de Clotaire II, père de Dagobert Ier, il jouissait auprès de lui d'un rare pouvoir et de la plus haute considération. Mais, si sa fortune et sa puissance favorisèrent les siens, le pouvoir ne lui aurait pas tourné la tête. Il  exerça sa charge avec une rare prudence auprès des trois souverains qu’il servit. Les chroniques de l’époque disent qu’il était
« le vivant domicile de la sagesse, le trésor des conseils, le soutien des lois, le pacificateur des différends, le rempart de la patrie, l’honneur de la cour, le modèle des chefs, la règle des lois ».
A sa mort, en son château de Landen dans le Brabant dont il était duc,  toute l’Austrasie le pleura comme un père et le vénéra comme un saint. Bien que Pépin n’ait jamais été canonisé, on retrouve malgré tout son nom dans certains martyrologues. D’ailleurs chez les Landen, la sainteté fait partie du cursus familial. Sont en effet reconnus comme bienheureuses et bienheureux : sa femme Itta, ses filles Gertrude et Begga, sa sœur Sévère, son frère Modoald de Trèves auxquels ont peut rajouter des neveux, des nièces et des amis. Parmi la longue liste citons : Vincent Madelgare (ou Mauger), sa femme Vadeltrude et leurs enfants Dentelin, Landéric, Adeltrude et Madelberte. Witger, sa femme et leurs enfants Emerbert de Cambrai, Rinilde et surtout Gudule patronne du Brabant. Les branches collatérales n’étant pas en reste, elles générèrent Wandrégésile, Bavon, sa mère Adeltrude et ses filles Aglétrude et Adilia !
 
Quant à la dépouille du bienheureux Pépin, mort près de Metz ou à Metz, elle fut inhumée dans son domaine de Landen. Puis,  elle fut transportée en l’abbaye Saint-Pierre de Nivelles, à une date ignorée, bien que les chroniques rapportent  que sa femme, Itte Idoberge -fondatrice de l’abbaye et dont la fille, Gertrude, fut la première abbesse-  ait initié cette translation.  
Par la suite, sa châsse se serait alors trouvée près de celles de sa femme et de sa fille. Si celle de cette dernière existe toujours, quid de celle de son père ?
 
Des fouilles entreprises en 1981 dans un tumulus à Sinte-Gitterdal (Brabant flamand) mirent à jour les fondations d'une ancienne chapelle, crypte de la famille des Pippinides  tombée en ruine en 1756. Depuis 1981, la crypte et  le tumulus sont classés.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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