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Parmi les sources consultées:  Le maréchal Ney, 1815  par Henri Welschinger (1893)
(*) commentaire(s)
NEY Michel, duc d’Elchingen, prince de la Moskova (1769 - 7 décembre 1815)
Cimetière du Père-Lachaise, 29ème division (Paris)
► Maréchal de France
17 novembre 2012
► NEY Joseph-Napoléon, prince de la Moskowa (1803 – 1857)
© MCP
Fils aîné du maréchal, lui-même militaire, il soutint sa mère dans sa demande de révison du procès de son père.. Il épousa la fille du banquier Jacques Laffitte et, jusqu'à la fin du règne de Louis-Philippe, mena une existence fastueuse qui le jeta dans d'assez graves embarras financiers. Membre fondateur du Jockey Club, qu'il présida de 1836 à 1849, renommé pour son élégance, il encouragea son beau-père à organiser les premières courses de chevaux à Maisons-Laffitte.
Alpiniste émérite, il réussit l'ascension du Vignemale, dans les Pyrénées (1838).). Amateur passionné de musique classique, il donnait chez lui des concerts qui sont restés célèbres.
Il fonda, en 1843, la Société des concerts de musique vocale religieuse et classique, qui s'attacha à faire découvrir au public parisien un répertoire musical largement inédit.
Il fut du petit nombre des pairs qui secondèrent l'agitation réformiste, prit part à la campagne des banquets en 1847, et, après la Révolution de 1848, embrassa avec ardeur la cause du prince Louis-Napoléon Bonaparte, dont il soutint la candidature à la présidence de la République. Il fut élu député de la Moselle du 13 mai 1849  au 2 décembre 1851 et siégeait sur les bancs bonapartistes. Il soutint la politique de l'Élysée, applaudit au coup d'État du 2 décembre 1851, fut nommé membre de la Commission consultative et prit place au Sénat le 26 janvier 1852. Jusqu'à sa mort, il soutint de ses votes le gouvernement impérial.
 
► NEY Michel Louis Félix, duc d'Elchingen (1804 - 1854)
Deuxième fils du maréchal, il fut élu député du Pas-de-Calais en 1846, et se rallia en 1849 à Louis-Napoléon qui le fit général. Il mourut du choléra à l'armée d'Orient lors du siège de Sébastopol.
 

► NEY Eugène (1808 -  1845)
Troisième fils du maréchal, diplomate, il fut successivement attaché à la légation française en Grèce, secrétaire de légation à Rio-Janeiro (1838), secrétaire d'ambassade à Turin (1841), chargé d'affaire au Brésil (27 novembre 1843) où il contracta la fièvre jaune qui le força à revenir en France en juillet 1845.
Il a publié un abrégé historique des ordres militaires et civils de la monarchie de Savoie et divers articles relatant ses voyages outre atlantique, autour des années 1830, dans la Revue des Deux-Mondes.
► NEY Edgar Henri (1812 – 1882)
Quatrième fils du maréchal, il succéda à son frère aîné comme prince de la Moskowa.
Officier d'ordonnance de Louis-Napoléon, après que ce dernier lui ait confié une mission délicate auprès du pape de Pie IX, il fut élu représentant de la Charente-Inférieure à la Législative où il siègea avec les partisans de l'Elysée.et devint sénateur du Second Empire en 1859.
Aide de camp de Napoléon III en 1852, il fut nommé grand veneur en 1865.
Prisonnier de guerre le 2 septembre 1870, il accompagna l’empereur déchu en captivité en Allemagne.Il mourut à Paris
NEY Michel-Aloÿs (1835 –1881)
Fils de Michel Louis Félix Ney et donc petit-fils du maréchal, en 1852, il s'engagea dans le régiment de son oncle Napoléon Joseph Ney comme engagé volontaire, il participa à guerre de Crimée (1854, fit les campagnes d’Afrique de 1855 à 1860, celles d’ Afrique et de Syrie de 1859 à 1862, du Mexique de 1862 à 1866, et se battit contre l'Allemagne en 1870. Nommé en 1875 général de division il commande la cavalerie du 4e corps et en 1877 la troisième division de cuirassiers à Senlis.
On le retrouva mort tué d'un coup de pistolet, dans une maison qu'il avait louée à Fontenay –aux-Roses. Le suicide semble probable.
NEY Aglaé-Louise (1782 – 2 juillet 1854)
Eglise St-leu-St-Gilles de Saint-Leu-la-Foêt (Val -d'Oise)
Fille de Pierre-César Auguié et de la femme de chambre de la reine Marie-Antoinette, elle fut recueillie par sa tante Henriette Campan lorsque sa mère, sur le point d’être arrêtée et envoyée à l’échafaud en 1794, préféra se suicider.
Elle épousa Michel Ney en juillet 1802 et fut, de 1804 à 1810, dame du palais de l’impératrice Joséphine puis de l’impératrice Marie-Louise.
Après l'exécution de son mari, elle eut à supporter les frais du procès, ainsi que les repas servis aux gardes… Elle s'en acquitta malgré une situation financière difficile, mais dut vendre, les Coudreaux, la propriété du couple. Pour échapper à la vindicte de ceux qui la poursuivaient de leur haine, elle vécut discrètement se consacrant à l’éducation de ses fils et à tenter d'obtenir la révision du procès de 1815.
En 1848, elle eut enfin la satisfaction de voir le gouvernement accepter d’ériger un monument à la gloire du Maréchal sur les lieux mêmes où il tomba. Ce monument, œuvre de François Rude et d’Alphonse de Gisors, fut inauguré en 1853. Le prolongement dans Paris de la ligne de Sceaux en 1892 provoqua son déplacement de l'autre côté de l'avenue où on peut toujours le voir.
Elle mourut victime d’une épidémie de choléra après s'être remariée secrètement, dit-on,  avec le général de Résigny.
Elle fut inhumée en l'église de Saint-Leu-La Forêt où reposent plusieurs membres de la famille impériale dont Louis-Napoléon Bonaparte, frère de l'empereur et comte de Saint-Leu.
Topic Topos
Engagé dans les hussards en 1787, Ney se distingua rapidement. Passé aux armées d’Helvétie puis du Rhin il joua un rôle décisif à la bataille de Hohenlinden (1800).
Bonaparte le nomma ministre plénipotentiaire en République helvétique où il fit signer l’acte de médiation (1803).
 
Maréchal d’Empire en 1804, proche de Napoléon grâce à son mariage avec Aglaé Auguié, amie de pension d’Hortense Beauharnais chez Madame Campan, il incarnait les officiers de l’armée du Rhin ralliés à l’Empereur.
Il fallut presqu'un an pour que les autorités accordent l'autorisation d'un nouveau caveau où seraient aussi transférés M. Auguié et Charles-Guillaume Gamot (1766 - 1820), beau-frère de Ney. Les travaux furent effectués nuitamment et le corps de Michel Ney déposé à huit-clos.
Certains affirment que son corps n'y fut jamais transporté. Ma foi, il est vrai que je n'y étais pas...
Si cela s'avérait exact, le tombeau familial que l’on voit, orné un médaillon signé Cruchet, ne serait qu'un simple cénotaphe.
En revanche, il est certain que ses quatre fils et un de ses petit-fils y reposent.
En 1805, il se couvrit de gloire à Elchingen. Il décida de la victoire d’Eylau, emporta celle de Friedland, etc.
Envoyé en Espagne (1808), il vécut difficilement d’être placé à l’armée du Portugal sous les ordres de Masséna. Renvoyé par ce dernier, il rentra en France.
Si durant la campagne de Russie, il fit preuve de passivité à Valoutina (1812), il devint le héros de la Moskova à la tête de la retraite de l’arrière-garde. Blessé à Leipzig, il fut de tous les combats de la campagne de France avant d’inciter Napoléon Ier à abdiquer et de se rallier à Louis XVIII.
 
Lors du débarquement de Napoléon, qui entama les Cent-Jours, après avoir promis à Louis XVIII de ramener le proscrit dans une « cage de fer », il se rallia à lui. Néanmoins, Napoléon lui gardant rancune de sa défection de 1814, ne l’appela qu’au dernier moment sur le champ de bataille de Waterloo où Ney accumula les fautes, puis chercha à se faire tuer quand la défaite devint inéluctable.
 
Accusé de trahison pour avoir rejoint Napoléon, malgré ses serments à Louis XVIII et d'attentat à la sûreté de l'Etat,  le « Brave des braves » refusa de fuir afin de défendre son honneur. Mais, sous la pression des ultras,  il fut arrêté le 3 août 1815 au château de Bessonnies (Lot) et transféré à Paris.  
 
N’aimant pas ces règlements de comptes sanglants organisés par les ultras, Louis XVIII aurait bien aimé qu’il s’échappât. Flairant la possible clémence du roi, le comte d’Artois et la duchesse d’Angoulême firent en sorte qu’il ne faiblisse pas. L’inévitable procès eut lieu du 21 novembre au 6 décembre 1815. Pendant ces deux semaines, la France resta suspendue en attente du verdict que la plupart souhaitait exemplaire. Malgré la qualité de sa défense, il le fut.
A la majorité des voix, la Chambre des Pairs, siégeant au Palais du Luxembourg, le condamna à mort.  C’est dans une cellule aménagée dans ce palais qu'il passa les derniers moments de sa vie.
 
En vain sa femme implora sa grâce auprès de Louis XVIII. Celui-ci aurait dit qu'il était favorable à cette requête, mais que seuls Wellington ou la duchesse d'Angoulême  pouvaient en prendre la décision.
Wellington accepta tout d'abord, puis renonça devant les difficultés et les obstacles. La duchesse d'Angoulême refusa sèchement. Cette dernière dira plus tard regretter son geste après avoir lu les témoignages du comte de Ségur, si elle avait su qui était réellement le maréchal Ney, elle aurait demandé sa grâce. Aimable mais trop tard.
© MCP
Après s’être entretenu avec le curé de Saint-Sulpice, il fut mené sur le lieu de son exécution devant ce qui est de nos jours la Closerie des Lilas. Refusant d’avoir les yeux bandés, le maréchal Ney indiqua son cœur de la main en priant le peloton d’exécution de se hâter de viser là. Ce qu’il fit.
Ainsi se termina le destin d'un militaire exceptionnel. Sa mort mettait aussi un terme à la fois symbolique et définitif aux rebondissements et retournements de la période des Cent Jours.
 
La tombe du maréchal Ney
 
Comme le voulait le règlement, sa dépouille resta  exposée un quart d'heure. N'ayant pas été réclamée par la famille, qui ignorait le lieu et  l'heure de l'exécution, elle fut portée à l'hospice de la Maternité  où les soeurs la veillèrent toute la nuit.
Sa veuve fit savoir qu'elle souhaitait son inhumation au Père-Lachaise, ce qui causa un certain effroi parmi les officiels  qui voyaient déjà l'occasion d'un rassemblement et de troubles publics.
Le 8 décembre (selon les registres du cimetière), la maréchale put procéder à l'enterrement de son époux auprès de son père M. Auguié de Lascans (1738 - 1815) décédé trois mois avant Michel Ney. Le secret qui entoura cette inhumation n'empêcha pas que la tombe, recouverte d'une pierre sans inscription,  soit fleurie.   Cette tombe se situait dans l'actuelle 44ème ou 45ème division. Un petit monument, identique à celui de son beau-père,  y fut érigé.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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