RETOUR BEAUX-ARTS
8 mai 2017
GÉRICAULT Théodore (1791 – 26 janvier 1824)
Cimetière du Père-Lachaise, 12ème division (Paris)
► Peintre français
Présenté au Salon de 1812 son Officier de chasseurs à cheval de la Garde impériale chargeant, ce tableau au format monumental renouvelait à la fois le genre du portrait équestre et celui de la peinture d’histoire. Remarqué pour son originalité et sa puissance d’exécution, la touche impulsive, large, et colorée du jeune artiste stupéfia David.
Musée du Louvre
De nouveau présentée au salon de 1814, cette œuvre était accompagnée de son pendant,  Cuirassier blessé, quittant le feu. Par ces deux portraits réunis, Géricault donnait une image emblématique de l'histoire immédiate et de la chute de l'Empire, allant à l'encontre des codes traditionnels de la représentation des événements contemporains dans la peinture.
Première toile du genre à être qualifiée de « romantique », d’autres portraits de soldats annonçaient Gustave Courbet. Cependant, la critique du dessin du cheval blessa profondément Géricault.
Musée du Louvre
Musée du Louvre
De cette époque, où il découvrit les libertés dans des genres encore considérés comme mineurs par le Salon parisien, date le Derby d’Epsom. D’Angleterre, il ramena aussi le goût de la lithographie.
Musée du Louvre
De retour à Paris, il commença pour le docteur Georget, médecin-chef à la Salpêtrière, une série extraordinaire de portraits d'aliénés (monomanes) dont Monomane de l'envie.
Monomane de l'envie -Lyon, musée des Beaux-Arts.
Outre ces nombreuses peintures militaires et équestres, il signa des portraits, des scènes de genre, ou encore des sujets animaliers, etc.
 
Mais, à partir de 1822-1823, sa santé s’altéra. Plusieurs chutes de cheval avaient provoqué une lésion de la moelle épinière. Il souffrait d'une « carie des os » (mal de Pott) et les opérations chirurgicales n'amélioraient pas son état. Alité dès le milieu de 1823, il mourut prématurément à l’âge de trente-deux ans mais n’en exerça pas moins une influence déterminante sur de nombreux peintres du 19ème siècle, parmi lesquels Eugène Delacroix.
Masque mortuaire de Géricault © Daniel Haas
Les trois tombeaux de Géricault
 
Théodore Géricault fut provisoirement dans un caveau de la famille du peintre Isabey au cimetière du Père-Lachaise. Situation d’autant plus surprenante que le père de Géricault, avocat,  ne manquait pas de moyens et qu’il avait acheté une concession pour son fils avant d’en acquérir une seconde à côté pour lui-même. Ce n’est qu’en 1826, à la mort du père, que les deux corps furent inhumés dans leurs sépultures respectives comme deux miséreux, sans aucune inscription, pas même leurs identités.
 
En 1837, le sculpteur Antoine Etex, ému autant que révolté, employa sa notoriété pour mobiliser ses amis afin qu’un monument funéraire digne de se nom soit érigé sur la tombe.  Il créa une commission pour sélectionner le meilleur projet et lança une souscription pour  le financer.  Devant la faible participation, Etex décida de participer. Le modèle représentant Géricault allongé en état de souffrance sur un socle orné d’un bas-relief rappelant le Radeau de La Méduse, fut retenu.  Présenté au salon de 1841, le projet fut très apprécié. Démonté après le Salon, le monument trouva sa place au cimetière, évènement qui fut l’occasion d’une abondante médiatisation sans pour autant que le famille ne prenne part à la cérémonie. Quelques mois plus tard, un jeune homme se présenta à Etex pour le remercier d’avoir donné un tombeau à Géricault : c’était Hyppolite Georges, le fils naturel du peintre.
Premier tombeau de Géricault - Musée des Beaux Arts de Rouen © Adoc
Mais, en 1846, le marbre ayant mal résisté aux intempéries, le tombeau partit pour Rouen, ville natale de Géricault, pour être mis à l’abri dans les collections du musée. Et le défunt de se retrouver de nouveau sans ornement et ce au grand dam des souscripteurs mécontents de cet enlèvement. Menacé d’un procès, Etex dut assumer financièrement la réalisation d’un deuxième tombeau en marbre orné d’une palette recouverte d’une branche de cyprès et d’une fleur d’immortelle.
Deuxième "tombeau" de Géricault © Jean-Charles Hachet –Musée Carnavalet
On n’en n'avait pas fini ! Trente six ans plus tard, Etex fit don du monument à la ville de Paris. Pourquoi ?
En 1882, à la mort d’Hyppolite-Georges Géricault, on découvrit son testament par lequel , il réservait une somme à quelques bénéficiaires dont Etex, ainsi qu’une part importante pour la restauration et l’embellissement du tombeau conservé à Rouen, le reste de sa fortune allant à l’Etat qui confia à Etex le soin de respecter les dernières volontés.
C’est ainsi qu’un troisième tombeau que vit le jour, toujours sous la direction d’Etex, qui fut ensuite minutieusement remis à sa place d’origine.
Constitué de granit de même nature que le socle, le monument est orné de la même statue d'orige de Géricault, mais cette fois en bronze, toujours allongé et  tenant une palette. Au Radeau de La Méduse, motif central du socle, se rajoutèrent deux autres bas-reliefs sur les côtés :   l’Officier de chasseurs à cheval de la Garde impériale chargeant et le Cuirasser Blessé. Une grille de bronze compléta l'ensemble.
© MCP
►Hyppolite Georges Géricault (1818-1882)
Cimetière du Père-Lachaise, 12ème division (Paris)
 
Beau, grand, svelte, agile de son corps, agréable de compagnie,  séduisant d'emblée les hommes et les femmes et conscient de cette séduction, Géricault devint l’amant de sa jeune tante, Alexandrine- Modeste Caruel, de six ans son aînée et mariée. De ces  amours coupables et adultères naquit un fils, Hyppolite-Georges  déclaré « de père et de mère non désignés ». Cette liaison, qui dura plusieurs années, fut désastreuse tant pour l’artiste que pour l’enfant qui fut élevé par ses grands-parents paternels dont il ne porta le nom qu’en 1840 à la suite d’une ordonnance royale. Malgré l’héritage de son grand-père, il vivait dans un modeste hôtel de Bayeux où il occupait une chambre misérable sous les toits. Peu sociable, sans amis, toute sa vie il resta hanté par le vain désir de rencontrer sa mère.
A sa mort, en dépit de ses  efforts, Etex ne put faire qu'il soit inhumé avec son père. A défaut,  le sculpteur  prit soin de lui réaliser un tombeau dans le même granit que celui de Géricault à proximité duquel il fut inhumé.
© Pierre-Yves Baudouin
Sources principales :
-Napoléon.org -Site d’histoire de la Fondation Napoléon : Géricault Jean-Louis, André Théodore (1791-1824), peintre
-Géricault et ses trois tombeaux par Jean-Charles Hachet.
(*) commentaire(s)
A son retour d’Italie, où il avait admiré les toiles de Raphaël et de Michel-Ange, pour échapper au désespoir, dû à la venue cachée d’un fils né de ses amours coupables avec sa jeune tante Alexandrine et au suicide d’un ami, il se lança à corps perdu dans le travail.
 
En cherchant un thème pour le prochain Salon, il songea au naufrage de La Méduse, dont deux survivants, Corréard et Savigny, venaient de publier le récit. Il ignorait qu’il allait signer son chef-d’œuvre, un tableau spectaculaire qui saisit la dramaturgie culminante de l’instant où les survivants aperçoivent le brick Argus venant les sauver.
Exposée au salon de 1819, sous le titre neutre de Scène de naufrage, la toile provoqua des réactions presque aussi houleuses que l'événement évoqué et, malgré les compliments de Louis XVIII, l’Etat ne s’en porta pas acquéreur. Éreinté par la critique française, et en butte avec sa famille, Géricault alla la présenter à Londres puis à Dublin où il rencontra un grand succès notamment financier.
Douze ans ! Douze ans seulement pour s’imposer comme le premier des romantiques et l’un des précurseurs du réalisme. Douze ans pour s’affirmer comme génie.
 
Suivant une formation classique en ateliers (ceux de Carle Vernet et du baron Guérin), au Louvre à copier les grands maîtres,-notamment Rubens et les peintres de la Renaissance italienne-, il effectua le traditionnel voyage en Italie (1816-1817) après avoir signé sa première grande œuvre guidée par sa passion : les chevaux qui furent sa principale source d’inspiration.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
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au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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