RETOUR THÉÂTRE 
Réputé avoir la tête « près du bonnet », ses excès de violence lui valurent une condamnation à la prison pour avoir souffleter un journaliste à Bordeaux. Après 1830, il fut l’un des seuls artistes à conserver les traditions de la tragédie avec au moins un reproche, celui de son mépris pour l’exactitude du costume car, toujours en retard, il enfilait en hâte la première défroque qui lui tombait sous la main au grand dam de ses comparses et du public.
Retiré de la scène dès 1839, il donna sa représentation de retraite en 1844 avec le concours de Rachel. Occupé ensuite à des directions de théâtres en province et dirigea celui de Vaudeville à Bruxelles (1851).
Les éloges de la presse et l’attachement du public n’empêchèrent pas qu’il soit assez rapidement oublié. Inhumé au cimetière de Montmartre le 23 octobre, sa tombe a disparu depuis bien longtemps.
 




Sources principales :
 
-Dictionnaire des comédiens français, ceux d'hier : biographie, bibliographie, iconographie.... T. 1. A-D / par Henry Lyonnet..
-Dictionnaire des comédiens français, ceux d'hier : biographie, bibliographie, iconographie.... T. 2. E-Z / par Henry Lyonnet..
-Guide dans les cimetières de Paris [...] de Thépohile Astrié (1865)
(*) commentaire(s)
►DAZINCOURT Joseph Jean Baptiste ALBOUY, dit (1747- 28 mars 1809)
N’ayant aucun goût pour le commerce familial à Marseille auquel on le destinait, grâce à sa tante, il rencontra le maréchal de Richelieu qui s’attacha les services de cet esprit vif comme secrétaire.
Admis dans le cercle des jeunes seigneurs qui jouaient la comédie de société, il s’y essaya avec un tel succès qu’il résolut de devenir comédien. Mais, craignant les remontrances du maréchal, il partit clandestinement à Bruxelles où l’acteur Hannetaire, qui y faisait autorité et lui donna des leçons, finit par l’accepter pour ses débuts en 1774. Il avait rapidement progressé et tournait dorénavant ses regards vers la Comédie française. Fallait-il encore que le maréchal de Richelieu lui en donnât l’autorisation, qui, fairplay, écrivit : « Ce qu’on m’a dit du talent de Dazincourt m’a fait oublier l’ingratitude d’Albouy. »
Et Dazincourt d’y débuter en 1776. Leste, pimpant, de figure distinguée avec un jeu plein de goût et de finesse, il réalisait le type parfait du « valet de bonne compagnie », mais s’illustra aussi dans de nombreux autres emplois, et fut reçu sociétaire en 1778. Quelques années plus tard, il eut la bonne fortune de créer le rôle de Figaro, du Mariage de Figaro et du Barbier de Séville de Beaumarchais, qui établit définitivement sa réputation. Coqueluche de Marie-Antoinette, il donna des leçons de comédie à son petit groupe d’intimes et joua dans son théâtre.
Malgré les affres de la Révolution, il conserva sa gaieté jusqu’à ce qu’on l’on prévienne des dangers encourus par les comédiens. Refusant de fuir, il fut arrêté le 3 septembre 1793 en même temps que d’autres de ses camarades pour avoir été, comme seul crime, « comédien du roi » et royaliste. Libéré à la chute de Robespierre, il intégra le théâtre Feydeau jusqu’à la réouverture de la Comédie française (1799).
Vers la fin de sa carrière, l’embonpoint lui fit renoncer aux rôles de jeunes valets pour ceux de vieux domestiques.
Excellent professeur, lorsque Napoléon réorganisa le Conservatoire (1807), il en fut l’un des enseignants et se vit confier la direction des spectacles de la cour impériale. C’est en cette qualité qu’il fit un voyage à Erfurt (1808) alors qu’il était déjà malade et en proie à la fièvre.
Il mourut à Paris. Presque tous les artistes des théâtres de Paris, et un grand nombre d’autres personnes l’accompagnèrent au cimetière de Montmartre, dit alors du Champ du Repos, où il fut inhumé. Son tombeau, le long du mur sud (act. 14ème division), érigé par les bons soins de sa maîtresse, l’actrice Eulalie Desbrosses, était de forme antique et surmonté d’une urne et d’une couronne de lauriers. Il était entouré d’une grille qui renfermait un petit jardin planté de rosiers et d’arbres. Sa tombe existait encore dans les années 1860.
 
Son épitaphe indiquait :
A LA MÉMOIRE DE
JOSEPH-JEAN-BAPTISTE-ALBOUY DAZINCOURT,
COMEDIEN FRANÇAIS DE S. M. L’EMPEREUR ET ROI,
PROFESSEUR AU CONSERVATOIRE,
ET DIRECTEUR DES SPECTACLES DE LA COUR.
NE A MARSEILLE LE II DECEMBRE 1747.
MORT A PARIS LE 28 MARS 1819.
Par Eulalie DESBROSSES, son amie.
 
Et gravé en lettres d’or sur une plaque de marbre noir:
 
Du théâtre français l’honneur et le soutien,
Digne successeur de Préville,
Homme de goût, homme de bien,
Aimable à la cour, à la ville ;
Ami vrai, délicat, sensible, généreux,
Il réunit sur sa cendre chérie
Et les regrets des enfans de Thalie,
Et les larmes des malheureux.
 
Il est probablement le plus célèbre des comédiens de la plaque commémorative.
►MICHOT Antoine (1765- 24 novembre 1826)
Entraîné très jeune par sa passion du théâtre, il débuta à l’Ambigu  (1781) avant de passer aux Variétés amusantes (1786) qui prirent possession d’une nouvelle salle sous le nom de théâtre du Palais-Royal (1790) renommé ensuite théâtre de la République. Jusque là, il avait joué avec succès les « Frontin » de la comédie légère. Mais en contact avec la partie de la Comédie française qui avait émigré du faubourg Saint-Germain, il prit l’emploi de paysans qu’il interprétait avec un naturel exquis : vérité, bonhommie et chaleur, telles furent les qualités de ce comédien au physique rondouillard et à la figure commune mais au rire communicatif.
Ardent révolutionnaire, en qualité de commissaire extraordinaire, il présida notamment l'inauguration de la société populaire de Chambéry où il prononça un fervent éloge de Marat.
Le contrecoup de sa conduite fut de faire amende honorable sur scène en mars 1795. Le bouillant patriote Michot fut ensuite un tout aussi zélé impérialiste et royaliste : sous le Consulat et l’Empire, il dirigea les spectacles privés à la Malmaison puis, sous la Restauration, il composa des couplets en l’honneur de la famille royale.
L’un de ses grands rôles : le capitaine Copp dans La Jeunesse d’Henri V.
Malgré l’âge, question de coquetterie, il conserva des rôles de valets qu’il personnifia de multiples façons. Bien qu’enfant gâté du public, paresseux et manquant de mémoire, il ne joua en fait que peu de rôles s’accrochant au reste de la troupe sans se gêner le moins du monde. Outre son talent, son savoir-faire dans les coulisses ne fut sans doute pas étranger à sa carrière heureuse.
Fort enclin au repos, il se retira définitivement en 1821 dans une certaine aisance financière. Il mourut d’une attaque d’apoplexie et, selon ses dernières volontés, fut directement inhumé, sans cérémonie religieuse, avenue de la Croix au cimetière de Montmartre.
►SAINT-FAL, Etienne Meynier, dit (1752 – 22 novembre 1835)
Libéré après une longue détention, il rejoignit Mlle Raucourt au théâtre Louvois et donna alors la pleine mesure de son talent comme jeune premier. Son succès se confirma à l’Odéon où il suivi Mlle Raucourt. Tandis, que d’un côté, on le qualifiait d’acteur « le plus utile, le plus infatigable, le plus disponible, toujours prêt à jouer, à jouer tout », ses détracteurs lui reprochaient un physique ingrat, un jeu froid et maniéré, un débit lent et monotone.
En quarante ans, il établit environ quatre-vingt-dix rôles.
Bien que sa représentation de retraite ait eu lieu en 1821, doyen de la Comédie française, il ne se retira qu’en 1824 avaint de s’éteindre doucement neuf ans plus tard. Il était le frère du peintre d’histoire Charles Meynier (1768-1832)
Après avoir joué dans une troupe d'amateurs, il fut engagé dans celle de Mademoiselle Montansier à Versailles, puis se rendit à La Haye où il resta trois ans avant de jouer à Lyon puis à Bruxelles.
Il débuta à la Comédie française en 1782 et en devint sociétaire en 1784. Il campa des seconds rôles aussi bien comiques que tragiques.
En 1793, dénoncé par l’acteur La Bussière, il fut arrêté, avec d’autres de ses camarades, comme
« suspect » pour avoir joué une représentation jugée séditieuse : Paméla ou la vertu récompensée tirée du roman de Samuel Richardson.
Tombe de Dazincourt
►LEVERD Emilie, dite Mlle (1788 - 16 novembre 1843)
Alors qu’elle n’était qu’une modeste danseuse à l’Opéra, l’acteur Clozel la remarqua à cause de sa beauté. Il la détermina à quitter la danse pour la comédie et lui facilita ses débuts au théâtre Louvois en 1804 où elle tint son premier rôle l’année suivante. La pratique aidant, elle commençait à se distinguer quand une brouille avec Clozel la fit quitter la troupe. Elle prit des cours et se présenta à la Comédie française en 1808 dans les rôles de Célimène du Misanthrope et de  Roxane des Trois Sultanes.
Comme on lui reconnut  de «la  grâce, de la décence et de la justesse », la foule accourut pour voir la nouvelle « grande coquette » de vingt ans.  
Napoléon lui fit remettre une gratification conséquente ce qui ne manqua pas de faire jaser dans le tripot comique. Sociétaire à part entière en 1811, cet avancement rapide était notamment dû à la retraite de Mlle Contat. Face à elle, il n’en restait pas moins la grande Mlle Mars avec laquelle elle se disputa des rôles. Querelles, polémique de presse, brochures plus ou moins passionnées, rien ne manqua à cette guerre de coulisses dont le bruit parvint jusqu’à l’Empereur, campé aux portes de Moscou, qui trancha en décrétant « qu’aucun comédien ne pourrait tenir deux emplois en chef. » Finalement, le commissaire impérial, Rémusat, contraint aussi d’intervenir dans l’affaire, rendit un arrêté par lequel Mlle Mars était proclamée chef dans l’emploi des grandes coquettes, premiers rôles et premières amoureuses, tandis qu’Emilie jouerait en double et trois ou quatre rôles principaux rôles de son emploi par mois. Drapée dans sa dignité théâtrale, Emilie se retira de la scène…avant d’y revenir au bout de quelques semaines.
Malheureusement, vers 1825, la petite vérole attaqua sa beauté déjà affligée d’un embonpoint précoce. Mais les emplois de mères qu’elle accepta ne remportèrent pas ses triomphes d’antan. Ainsi passèrent les années à regretter les beaux jours. Elle prit sa retraite définitive en 1832 avec une dernière représentation où le public, qui l’avait déjà oubliée, ne se bouscula pas.
Elle épousa un sieur Caseneuve, mari de comédie qui lui permit d’afficher la respectabilité qu’elle estimait nécessaire au salon qu’elle avait ouvert où se retrouvait la bonne compagnie. Elle mourut après avoir été frappée soudainement d’aphasie, et fut inhumée au cimetière de Montmartre
►ARMAND-DAILLY, Alexandre Michel Dailly, dit (1777-1848)
Fils d’un orfèvre-joaillier, il fut l’un des premiers élèves admis à la création du Conservatoire qu’il quitta pour le théâtre des Troubadours. Comédien doué d’une charmante humeur et d’un talent naïf, il se fit remarquer le 24 décembre 1800 lorsque, sur scène, il entendit une explosion qu’il attribua à des canons annonçant une victoire militaire du gouvernement et qu’il s’empressa de proclamer au public avec les effets théâtraux requis. La « victoire » en question étant en fait l’attentat de la rue Saint-Nicaise contre Napoléon, cette lourde bévue lui valut d’être arrêté et les pires difficultés pour prouver son innocence dans ce complot contre l’Empereur.
Engagé dans la troupe du théâtre Louvois pour des emplois de second et troisième comique dans lesquels il se distingua, on lui reprochait néanmoins son manque de travail personnel pour des rôles plus importants.  
Suivant les déménagements du théâtre Louvois et ses changements de noms, il y resta seize ans avant d’intégrer celui du Gymnase pour un court séjour. En 1824, il fit son entrée à la Comédie française et, pour la circonstance, adopta le nom d’Armand-Dailly . Il devint sociétaire en 1831. Loin de vouloir aborder les premiers emplois pour lesquels il n’était décidément pas fait, il eut la sagacité de se borner à des personnages qu’il interprétait de façon inimitable recueillant ainsi tous les suffrages : Grippe Soleil du Mariage de Figaro, Lubin de Georges Dandin, Alain de L’Ecole des femmes, etc. Seule la goutte put le forcer à abandonner la scène (1843). Sa représentation de retraite eut lieu en 1846. Il mourut deux ans plus tard et fut inhumé au cimetière de Montmartre.
 


►DESBROSSES Eulalie (1766-1853)
 
Actrice au théâtre du Marais (1793), puis à celui de la République (1794), bien que certains lui reconnaissaient « quelque talent », mais insuffisant pour la Comédie française, elle l’intégra  à sa réouverture en 1799 et en devint sociétaire grâce à Dazincourt dont elle était la maîtresse. Au moins, sa tenue toujours agréable rendait-elle le public indulgent.
Troisième soubrette, elle n’avait d’autre ambition que de finir tranquillement sa carrière. A défaut de talent, elle fut une compagne attentive et veilla avec dévouement sur la fin de vie de son amant qui l’institua sa légataire universelle du peu de fortune qui lui restait, et qu’elle utilisa avec équité. Retirée en 1814, elle mourut presque quarante ans plus tard, et fut  inhumée dans la sépulture de Dazincourt.
►DAVID Edouard (ou Joseph, Narcisse) (1794 - 21 octobre 1866)
Grand à la taille bien prise, une voix légèrement voilée mais à l’intonation touchante, intelligente et pleine de chaleur, il fut l’un des meilleurs élèves de Talma et débuta à la Comédie française en 1816 dont, lassé de ne tenir que des rôles secondaires, il démissionna trois ans plus tard. Après un bref passage au Grand théâtre de Lyon, il fut appelé à l’Odéon pour sa réouverture où il campa plusieurs rôles d’importance jusqu’en 1824.
Beau diseur, aimé du public, il regrettait néanmoins la Comédie française qui consentit à le reprendre (1825) pour différents doublages.  Regardé par certains comme « le meilleur jeune premier, sans en excepter Michot », ses prestations réussies, il fut nommé sociétaire (1828) et  créa de nombreux rôles.
LES ACTEURS : ARMAND-DAILLY, DAVID, DAZINCOURT, DESBROSSES, LEVERD, MICHOT ET SAINT-FAL
Cimetière de Montmartre (Paris)
7 janvier 2017
Passée l’entrée principale du cimetière de Montmartre, discrètement niché entre deux sépultures du grand rond-point, un cénotaphe, près de la plaque commémorative de Fragonard, au pied du mur de la 19ème division, interpelle le visiteur attentif : c’est celui des sociétaires de la Comédie française inhumés en ce lieu, et dont les tombes ont disparu. Sept noms qui racontent à leur façon un petit pan de l’histoire du théâtre. Sept têtes d’affiche bien oubliées mais qui firent, chacune leur tour, les beaux jours de la Comédie française au moins pour six d’entre elles. Dans le même ordre d’apparition que sur le cénotaphe, en commençant par le plus ancien et sans doute le plus célèbre :
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