RICHARD Ier D’ANGLETERRE, dit Cœur de Lion (1157 - 6 avril 1199) roi (1189-1199)
Abbaye de Fontevraud (Maine-et-Loire)
Cœur : Cathédrale Notre-Dame de Rouen (Seine-Maritime)
Entrailles : Château de Châlus Chabrol (Haute-Vienne)
Bérangère de Navarre (v. 1163 -1230)
Abbaye de la Pitié-Dieu de l’Epau (Sarthe)
Gisant de Bérangère. Photo: www.panoramio.com/
Gisant de Bérangère. Photo: www.flickr.com/
Gisant de Bérangère. Photo: album-photo.geo.fr/
Gisant de Richard à Fontevraud. Wikipedia
Gisant de Richard à Fontevraud. Wikipedia
Gisant du tombeau du coeur en la cathédrale de Rouen.
Photo MCP
Elle était la fille du roi de Navarre Sanche VI. Pour petit qu’il était, le royaume de Navarre mettait en appétit les royaumes puissants. Craignant pour l’autonomie de la Navarre, Sanche VI renâclait à marier sa fille aînée. Malgré les suspicions d’homosexualité qui pesaient sur Richard, du fait de son long célibat, de ses amitiés particulières et de la promesse faite à Philippe Auguste d'épouser sa demi-sœur Adélaïde de France, Sanche VI accepta cette union négociée par Aliénor d’Aquitaine. Pour Richard, alors âgé de quarante-trois ans et sans héritier, il était grand temps.
Les futurs époux se retrouvèrent à Messine où Richard préparait sa croisade. Mais Richard ayant une bataille à mener à Chypre, Bérangère n’embarqua pas avec lui. Elle l’y rejoignit pour y trouver un fiancé vainqueur qu’elle épousa le 12 mai 1191, puis Richard continua son chemin vers la Terre Sainte. Les deux époux vécurent très peu de temps ensemble et Bérangère n’eut pas d’enfant.
 
Entre le temps passé en Terre Sainte, sa captivité, les complots à régler après sa libération et sa mort, huit ans s’étaient écoulés sans que l’opportunité ne soit donnée à Richard d’emmener Bérangère en Angleterre. Ainsi est-elle la seule reine d’Angleterre à ne jamais avoir mis les pieds sur la terre de son royaume.
Après la mort de Richard, Philippe Auguste fit de Bérengère la Douairière du Maine. Elle se retira au Mans où elle fonda, en 1229, l'abbaye cistercienne de l'Epau où elle fut inhumée.
 

On ignore l’endroit précis de son inhumation d’origine. En 1960, Pierre Térouanne trouva en un squelette de femme complet et intact dans le sous-sol de la salle capitulaire. Ce squelette indique que la défunte devait avoir une soixantaine d'années, soit l'âge de la reine au moment de sa mort.
Une petite boîte de chêne a toujours suivi le gisant de la reine, malgré ses multiples pérégrinations depuis la Révolution. Sur cette boîte était marqué Ossa Berangeria / 1230-1672-1821-1861. Pourtant, la reine était décédée alors même que l'abbaye n'a pas fini de sortir de terre. La seule possibilité aurait été celle de l'inhumation dans l'abbatiale. Sa dépouille serait ainsi située sous le gisant actuel, une œuvre d'art médiéval du milieu du 13ème siècle.
 
Entre ses mains, repliées sur sa poitrine, la reine tient un livre dont la couverture représente son propre gisant qui resta dans l’abbaye jusqu’à la vente de l’édifice comme bien national sous la Révolution.
Il fallut l'intervention de Charles Albert Shotard, envoyé spécialement d'Angleterre pour veiller aux gisants des Plantagenêts, pour que le tombeau soit respecté. Transporté dans la cathédrale du Mans en 1821, où il déménagea plusieurs fois au gré des besoins,  il ne retrouva sa place dans la salle capitulaire de l’abbaye de l’Epau qu’en 1970.  On le plaça au-dessus du mystérieux tombeau trouvé par Pierre Terouanne.  Reste à savoir ce qui se trouve vraiment dans la boite attachée au gisant de la reine.
Ci-dessus, gisant à Fontevraud où Richard porte la barbe.
Ci-dessous, gisant de son carditaphe à Rouen, où il apparait imberbe.
Dessins d'après la collection Gaignières
Quand il recherchait des alliances, il avait une fâcheuse propension à « l’oubli » de ses engagements. Si sa bravoure militaire était indubitablement réelle, son arrogance ne l’était pas moins. Ainsi, durant la troisième croisade, conserva-t-il toute l’estime de Saladin qui vit en lui un adversaire respectable, tandis le roi de France, Philippe Auguste, fortement agacé par le personnage, fit en sorte de s’en débarrasser malgré leur amitié passée.
 
Revenant de croisade à brides abattues pour éviter le complot qui se tramait contre lui entre son frère Jean sans Terre et le roi de France, il passa par l’Autriche. Mauvaise idée, s’il en fut une car, grâce aux manœuvres de Philippe Auguste, il fut arrêté et livré à l’empereur Henri VI qui avait, lui aussi, quelques broutilles à lui reprocher. Cette villégiature forcée dura deux ans, le temps, entre autres exigences, du paiement d’une rançon exorbitante qu’Aliénor d’Aquitaine se démena pour rassembler. N’était-il pas son fils préféré ?
 
Enfin libre, il voulut en découdre avec Philippe Auguste. Mais il lui manquait le « nerf de la guerre »:  l’argent. Ayant entendu parler d’un hypothétique trésor à Châlus Chabrol (Haute-Vienne) il décida, au titre de suzerain, de faire mains basses sur le butin et assiégea le château.
Atteint à l’épaule par un carreau d’arbalète portant très loin et pour avoir dédaigné sa blessure, il mourut de la gangrène onze jours plus tard à Chinon.
Les défenseurs de Châlus, furent tous pendus sauf le trop adroit arbalétrier qui fut…écorché vif selon les instructions de Richard alors peu enclin au pardon chrétien.
 
Son cœur, sa cervelle et ses yeux furent déposés dans la cathédrale de Rouen, capitale de la Normandie dont il était le duc. Selon certaines chroniques, ses entrailles attendirent l’heure de la vengeance en l'église du château de Châlus Chabrol; selon d'autres, elles étaient dans le "package" de Rouen.
Puis, dans le respect de ses dernières volontés, son corps dépecé, salé et enveloppé dans du cuir de boeuf,  fut inhumé auprès de son père dans l’église abbatiale de Fontevraud,
On ne retrouva jamais ses ossements extraits de sa sépulture profanée durant la Révolution, sépulture restaurée au 19ème siècle.
RETOUR ANGLETERRE - IRLANDE - ECOSSE
A la mort de son père Henry II, contre lequel, poussé par sa mère Aliénor d’Aquitaine, il s’était révolté, Richard, ceignit la couronne d’Angleterre.
La légende, entre autres véhiculée par celle de Robin des Bois, a beaucoup enjolivé le tempérament de Richard. Plus chevalier aquitain que roi d’Angleterre, ses actions ne furent pas toujours animées de sentiments très nobles.
Le 28 février 2013.
La revue Scientific Reports annonçait qu’une étude sur le du cœur embaumé avait été entreprise par le médecin légiste Philippe Charlier et son l'équipe. Il est le plus vieux cœur embaumé étudié à ce jour.
« La relique avait été retrouvée en 1838, lors de l'excavation de la cathédrale de Rouen, dans une boîte en métal scellée et sur laquelle on pouvait lire: «Ici repose le cœur de Richard, roi d'Angleterre.»
Si, lors de l'ouverture du coffret, le cœur s'était transformé en une sorte de sable grossier, les analyses ont confirmé qu'il s'agissait bien de tissu musculaire humain. Hormis des traces de métaux lourds, dont le mercure alors communément utilisé par les embaumeurs, les chercheurs ont eu la surprise de découvrir aussi de l'encens.
 
Si l'on en retrouve sur certaines dépouilles royales, notamment les Médicis en Italie, c'est la première fois que de l'encens est mis en évidence sur un corps antérieur à cette époque. Comme l'explique Philippe Charlier: «L'encens est un élément majeur dans la religion chrétienne: il est apporté par les Rois Mages à la naissance du Christ et fut utilisé pour son embaumement. C'est l'encens qui est à la source de ce que l'on appelle l'odeur de sainteté.»
 
Les historiens de l'équipe ont ainsi émis l'hypothèse que les embaumeurs de Richard Cœur de Lion avaient voulu reproduire le rituel décrit dans la Bible.
«Richard Ier était un souverain particulièrement cruel, raconte Philippe Charlier. Et l'évêque de Rochester l'avait ainsi ‘condamné' à 33 ans de purgatoire pour expier ses crimes. Peut-être qu'en l'embaumant avec de l'encens comme le Christ, en reproduisant l'odeur de sainteté, les embaumeurs ont cherché à lui faire gagner quelques années de purgatoire.»
Extrait de d'article de Stéphany Gardier (Le Figaro.fr)
La boîte en métal qui abritait le coeur embaumé de Richard Ier . Crédit photo: Philippe Charlier
Sources principales: Wikipédia. Et merci à marie Beleyme pour le complément d'informations du 28 février 2013
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par Marie-Christine Pénin
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