Le 2 septembre, Beaurepaire mourut sans qu’on n’ait jamais réellement élucidé les circonstances de son décès. Suicide pour échapper au déshonneur de l’échec ou crime ? De nombreux historiens accréditent cette seconde hypothèse.
Le lendemain de sa mort, ses troupes déposèrent les armes et furent autorisées à quitter la place. Le corps de Beaurepaire fut alors inhumé hors des lignes de combats.
Un décret de l’Assemblé nationale du 12 septembre, largement supporté par la population, décida de la translation de son corps au Panthéon, ce qui ne fut jamais fait.
Le très ancien cimetière du château existe toujours présentant, dans sa partie ancienne, la triste figure des concessions abandonnées depuis des lustres : tombes éventrées, croix gisant sur le sol, inscriptions effacées. Selon un article de Marion Dardard du 30 octobre 2009 du journal ardennais l‘Union, la commune devrait commencer à remédier à cet état de fait.
On y retrouvera peut-être la trace de la tombe de Beaurepaire.