Y furent inhumés, entre autres...
La haute société, surtout parlementaire, affiliée ou non au tiers-ordre, fréquentait assidûment l’église des Cordeliers et y élit de nombreuses sépultures : conseillers de la cour, du parlement, secrétaires du roi, etc., avec parfois une ascendance et une descendance conséquentes partageant la même chapelle. Les religieux furent inhumés dans l’église ou dans le cloître.
Lors de la reconstruction de l’Ecole pratique de Médecine des pierres tombales furent mises à jour et déposées alors dans la Musée historique de Paris (actuel musée Carnavalet). Font-elles encore partie des réserves ?
Avant que l’incendie de 1580 ne les détériorent ou les fassent disparaitre, la plupart des tombeaux princiers étaient en marbre noir avec des gisants en marbre blanc ou en albâtre. Seules quelques épitaphes subsistèrent.
A sa mort, la dépouille de Jean-Paul Marat reposa un peu plus de deux mois dans les jardins du couvent avant son entrée au Panthéon.
► ANTOINE DE PORTUGAL (1531- 1595)