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COUVENT DES CAPUCINS DE LA RUE SAINT-HONORÉ (PARIS) (Disparu)
Plan Turgot par Bretez (1739)
En 1525, Matteo de Baschi (1495-1552), moine du couvent de Montefiorentino, institua une réforme de l’ordre de Saint-François et cofonda l’ordre des Frères mineurs capucins approuvé par le pape Clément VII en 1528.
Pour se différencier des autres branches franciscaines et accentuer leur vœu de pauvreté, ils adoptèrent la bure et la barbe longue de saint François, allaient jambes et pieds nus ne portant que des sandales de cuir, et menaient une vie érémitique. Leur nom de « capucins » vient de leurs  grands capuchons (cappuccini)   qui étaient longs et pointus.
Habit de capucin
Après avoir rédigé leurs constitutions (1529), ils s’établirent à Rome mais ne firent leur apparition en France, dans le village de Picpus près de Paris, qu’en 1572. Ils y restèrent quatre ans à lutter contre leurs adversaires : l’évêque de Paris (Pierre de Gondi), le curé de Saint-Paul-desChamps et les Cordeliers, qui les jugeaient apostats au prétexte qu’aucune bulle pontificale ne les avait autorisés à résider en France. Une fois donnée leur autorisation de résidence dans tous les pays, notamment en France (1574), protégés par Catherine de Médicis, cette dernière, qui souhaitait les établir près de son château des Tuileries, leur donna une maison, appelée l’Hôtel des Coquilles, avec divers bâtiments, cours, jardins et terres labourables, située dans le faubourg Saint-Honoré. En 1576, Henri III les ayant autorisés à fonder des églises et des monastères dans le royaume, ils déménagèrent la même année dans leurs nouveaux locaux.
 
En ces temps où les guerres de Religion émoussaient un peu l’esprit religieux, le rayonnement des  Capucins sur la société chrétienne et leur époque fut essentiellement dû à la prédication, après une formation auprès d’un orateur éprouvé,  et à l’organisation de missions paroissiales. Ils jouèrent également un rôle important dans la diplomatie, la politique ou la sociologie. Bien que protégés par Henri III, ils adhérèrent à la Ligue et s’opposèrent à Henri IV et à l’Edit de Nantes ce qui leur valut de paraître devant le Parlement et d’être menacés d’expulsion.
Résidence du Provincial et de certains de ses conseillers, le couvent de la rue Saint-Honoré, du fait de sa situation dans la capitale et de son ancienneté,  fut le centre de l’administration  de la province de Paris où ils essaimèrent autant que dans le reste du royaume.
 
Grâce à leurs privilèges, renouvelés d’un souverain à l’autre, et à de très généreuses donations, ils construisirent une grande église et agrandirent l’enclos de leur couvent par diverses acquisitions. Ses limites finirent par atteindre le jardin des Tuileries, le couvent des Feuillants dont il n’était séparé que par le passage des Feuillants, devenu la rue de Castiglione, et celui des religieuses de l’Assomption. Cette double « mitoyenneté » avec les deux autres monastères ne fut pas sans créer quelques conflits.  
De nos jours, dans la rue Saint-Honoré, il occuperait l’emplacement des n°s 237 à 249. Dans la partie de l’enclos donnant sur cette rue, il existait quelques maisons louées à des particuliers.
Quant au jardin, à défaut de présenter une quelconque originalité, il était regardé comme le mieux cultivé de Paris.
Les rues de Rivoli, de Castiglione et du Mont-Thabor passent sur l’emplacement du domaine.
Plan dressé par M. Hochereau d’après le plan annexé aux Recherches critiques et celui de Verniquet.
En suivant la même orientation que le plan "Hochereau" ci-dessus, de nos jours, à quelques mètres près, il se situerait là. L'église du couvent de l'Assomption (point rouge), existant toujours, permet un bon repère des limites des deux couvents.  Google Earth © MCP
Sur les plans et sous la direction de l’architecte Baptiste Androuet du Cerceau, les travaux d’une première église, dédiée à l’Assomption de Notre-Dame, commencèrent dès 1574 et s’achevèrent probablement en, ou vers, 1586, année de sa consécration.
Devenue trop petite avec l’accroissement conséquent de la communauté, elle fut remplacée par une seconde dont les travaux durèrent de 1603 à 1610, année de sa dédicace par le cardinal de Joyeuse.
 
D’une architecture simple et sévère, divisée en deux parties par le chœur des religieux (refait en 1735) et la nef (reconstruite peu avant la Révolution), elle comportait cinq chapelles. De nos jours, son chevet se situerait aux n°S 7 et 9 de la rue de Castiglione.
Sa description plus détaillée faisant défaut, notre connaissance sur ses œuvres d’art se limite à trente  tableaux dont quatre sont parvenus jusqu’à nous :
Le Repos de la Sainte Famille en Egypte et L’Assomption par Laurent La Hyre ; La Crucifixion par Le Sueur ; Ex-voto de la guérison de Louis XIV par Mignard.
L’Assomption par La Hyre- Musée du Louvre
Ex-voto pour la guérison de Louis XIV par Mignard -Château de Versailles
La chapelle Notre-Dame de la Paix
 
L’année 1651 marqua le couvent par un évènement sans précédent : le culte spontané à Notre-Dame de la Paix. Lors de son entrée en religion, le père Ange (Henri de Joyeuse) avait remis aux religieux une statuette de la Vierge appartenant depuis des lustres à sa famille. Placée dans le mur qui les séparait du couvent de l’Assomption, on l’y avait presque oubliée quand, au plus fort de la Fronde, elle se manifesta devant quelques habitants du faubourg venus la prier. L’enthousiasme délirant pour le mouvement de piété inattendu qui suivit poussa les Capucins à lui établir une chapelle dans l’une des cinq que possédait l’église. Six ans plus tard, le 9 juillet 1657, la chapelle offrait un luxe d’ornementation très en contraste  avec l’aspect austère du reste de l’église. La statuette y fut alors transportée en présence de Louis XIV, de la reine mère, de Monsieur et de toute la Cour !
L’année suivante, Louis XIV, tombé malade à Calais, se trouva soudainement guéri le jour du premier anniversaire de la Translation. A son retour, il se rendit en action de grâces et c’est probablement à cette occasion que la reine mère commanda à Mignard son fameux Ex-voto pour la guérison de Louis XIV  qu'on plaça dans la chapelle.
Le veritable dessein du tabernacle, preparé pour l'ornement de Nostre Dame de la Paix dans la Closture du Couvent des R.P Capucins rue sainct Honore… : dessin de Grégoire Huret (?). Nicolas Picart graveur (?)
Le monastère en lui-même, construit en 1603 sur les plans de l’architecte Baptiste Androuet du Cerceau, agrandi et renouvelé en 1731, devint le plus considérable que l’Ordre possédait en France. Outre les bâtiments destinés à son fonctionnement, il se composait de deux corps de logis :
-Le petit couvent, fondé en 1586 par Henri III pour sa confrérie des Disciples de Saint-François, qui consistait en deux ailes de moindre importance entre lesquelles se trouvaient un cloître où l'on inhumait.
-Le grand couvent, qu’on suppose du même architecte, construit à partir de 1603, de forme quadrilatérale avec préau, se situait en bordure du passage des Feuillants. Il était relié à l’église par le petit couvent.
 
Quant au cimetière du couvent, affecté aux religieux de la communauté, il occuperait à peu près l’actuel
n° 11 de la rue de Castiglione.
La partie de l'enclos donnant sur la rue Saint-Honoré correspondrait à l'ensemble des immeubles alignés à droite. Google Earth
Plan Turgot par Bretez (1739)
1 : grand couvent
2 : petit couvent
3 : cimetière
L’observatoire de Pierre Charles Le Monnier
 
Manquant de place au collège d’Harcourt pour ses observations et ses instruments, l’astronome Le Monnier (1715-1799) obtint l’autorisation d’établir un observatoire plus satisfaisant dans deux petites maisons bâties par des particuliers dans la cour d’entrée du couvent. Cet observatoire, utilisé pour la première fois en 1742 et agrandi par la suite, fut l’un des mieux, voire le mieux outillé de Paris.
 

A la veille de la Révolution, l’ensemble conventuel était en grande partie restauré. Mais, après connu un rayonnement incontestable, entre autres par l’exemplarité de leur vie,  l’observance quotidienne des règles était en net déclin : refus d’obéissance, oisiveté, divisions internes, abus d’autorité, etc.
 
En exécution d’un décret de l’Assemblée nationale du 5 février 1790, les religieux durent quitter leur maison et se transportèrent au couvent des Capucins du Marais. Le 30 juillet, l’Assemblée prit possession du local pour y installer des bureaux,  ainsi que l’Imprimerie nationale dans l’ancien réfectoire. Par la suite les bâtiments servirent de logements aux grenadiers attachés à la garde de la représentation législative.
L’église servit de dépôt littéraire où furent réunis les livres provenant  des émigrés et des autres bibliothèques monastiques de Paris.
En 1802, un arrêté consulaire prescrivit la vente de toutes les propriétés nationales comprises entre la rue Saint-Honoré et les Tuileries, et l’ouverture, d’après les plans de
Comme signant elle-même la fin de son histoire, l’église s’écroula en partie (1803) avant sa démolition  l'année suivante. Tous les vestiges de l'ensemble conventuel  furent détruits à la fin de 1808.
 
L’un chassant l’autre souvent sur le même emplacement,  on vit successivement s’installer sur le terrain :
-Le Cirque Olympique de Franconi qui se transforma en Spectacle du Mont-Thabor ;  le culte schismatique de l’abbé François Châtel qui, en  1831, créa à Paris une « nouvelle Église française », regroupant des prêtres catholiques libéraux désireux de soutenir la nouvelle monarchie constitutionnelle et de rompre avec une hiérarchie ecclésiastique jugée intolérante.  
Cirque Olympique par Jacques-Alphonse Testard (1810-18??).
-Le Concert Musard
Le Concert Musard
-Le Bal Valentino, célèbre sous la Monarchie de Juillet et le Second Empire
Le Bal Valentino
-En1880, le Panorama de Reichshoffen sorte de musée ambulant à la mémoire de la guerre de 1870 qui se présentait sous la forme d'une rotonde panoramique avec une immense toile peinte en continu et déployée à l'intérieur sur 360 degrés.
Au centre, sur une  plateforme surélevée le public contemplait l'oeuvre qui, grâce à un jeu de lumière et différentes astuces, avait l'illusion d'être transporté sur les lieux mêmes, en  « en pleine Alsace »
Le Panorama de Reichshoffen
-Enfin, en 1886, le Nouveau Cirque dont l'arène équestre pouvait être transformée en piste aquatique. Ses pantomimes nautiques attirèrent du public jusqu’en…1926, date de sa destruction.
Le Nouveau Cirque
Le Nouveau Cirque
© MCP
Y furent inhumés, entre autres...
 
On inhuma dans l’église, le cimetière et le petit cloître une population majoritairement (exclusivement ?) religieuse dont seuls les noms d’à peine une poignée de personnalités de l’Ordre nous sont parvenus. Peu renseigné, l’inventaire de l’Epitaphier du vieux Paris ne signale que deux épitaphes dans l’église sur des tombes plates en marbre noir. Aucune présence de tombeau conséquent, ce qui s'inscrit dans la ligne d'observance de l'Ordre.
En 1804, la recherche par sa famille du corps du père Aimé de Lamballe fit découvrir ceux du père Ange (Maréchal Henri de Joyeuse) et du père Joseph (Joseph du Tremblay). Ces trois dépouilles furent ensuite inhumées dans le cimetière du Calvaire pour le premier et celui du Champ du Repos (act. Cimetière de Montmartre) pour les deux autres.  Sauf découverte, il ne semble pas que d’autres corps aient été transférés à titre privé.
Tous les ossements retrouvés lors de la destruction de l’église en 1804 furent transportés aux Catacombes.
►LAMBALLE Aimé de († 1773)
Dit le père Aimé en religion, grand d'Espagne et général des Capucins de 1768 à sa mort, selon le Mercure de France de juin 1773, il fut le premier général français l’ordre des Capucins depuis sa création 243 ans plus tôt. Il tenta de colmater les brèches du relâchement de l’observance régulière en promulguant des « Ordonnances générales ». Mort dans le couvent, il fut inhumé dans l’église. En 1804, alors qu’on allait détruire l’église, MM. Charles-Pierre Mathurin et Mathurin-Gilles de la Vieuville, neveux du défunt, demandèrent à retirer son cercueil. L’autorisation donnée par le maire de l’arrondissement, le corps fut exhumé pour être ré-inhumé dans une sépulture familiale au cimetière du Calvaire où reposait, entre autres (?), Amélie Micault de la Vieuville (1784 -1803), fille des fondateurs de l’asile royal de la Providence. Cette tombe a malheureusement disparu à une date ignorée, avant 1897.
►LECLERC DU TREMBLAY François Joseph, dit le père Joseph
 

►MOLÉ Athanase de (1586-1631)
 
Frère du président du parlement de Paris, Mathieu Molé, prédicateur et formateur à cet art de la prédication et à celui de la controverse, il prêcha tant à Paris que dans toute la France s’efforçant de convertir les « hérétiques », c'est-à-dire les protestants. Personnage important de la communauté,  il contribua notamment  à la fondation de la congrégation des Madelonnettes regroupant les Repenties (1618), à savoir les prostituées désireuses d’abandonner le métier,   et contribua grandement à la fondation  du couvent capucin du Marais (1623) dont il fut le premier gardien.
 


►PARIS Séraphin de († 1713)
 
Fils d’un parfumeur, prédicateur ordinaire de Louis XIV, gardien des Capucins Saint-Honoré, il fut l’auteur de nombreuses  homélies sur les Evangiles des Dimanches du Caresme, de Pasque et de Quasimodo (1695), etc. La Bruyère disait de lui : « un Prédicateur, qui avec style nourri des Saintes Ecritures, expliquait la parole divine uniment & familièrement ». La plupart de ses homélies furent imprimées.
 







Sources principales :
 
-Une fondation royale de l’ancien Paris : le couvent des Capucins de la rue Saint-Honoré par Jean Mauzaize (pages 49 à 95) -Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France (1987)
-Epitaphier du vieux Paris –Tome II
-Mercure de France de Juin 1773
-Les Compagnies de la Propagation de la foi (1632-1685) par Catherine Martin –Ed. Librairie Droz (2000)
-Catalogue des livres imprimez (sic) de la bibliothèque du Roy –Théologie –seconde partie (1742)
-Dictionnaire historique de la Ville de Paris et de ses environs –Tome II (1779)
-http://reichshoffen.free.fr/Comple/decouverte.html
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22 avril 2017
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
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