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CIMETIÈRE DES CHIENS D’ASNIÈRES (Hauts-de-Seine)
Dans une ancienne île s’étirant près de la rive gauche de la Seine, un endroit insolite qui, à la fin du 19ème siècle, fut la réponse à une problématique parisienne : dans la capitale, que faire des animaux domestiques morts ?
 
En théorie, les cadavres devaient être apportés dans les vingt-quatre heures chez l’équarisseur. Dans la pratique, les dépouilles étaient le plus souvent jetées avec les ordures ménagères quand elles n’étaient pas lancées dans la Seine ou dans les fossés de fortifications.
 
La loi du 21 janvier 1898, précisant que les animaux domestiques pourraient être enterrés « dans une fosse située autant que possible à cent mètres des habitations et de telle sorte que le cadavre soit recouvert d’une couche de terre d’au moins un mètre d’épaisseur », changea la donne : l’ouverture d’un cimetière animalier devenait possible. Restait à trouver le bon endroit.
 
Au 19ème siècle, la ville d’Asnières était une destination dominicale privilégiée pour les Parisiens en quête de verdure et de distractions. L’île des Ravageurs, située en amont du pont de Clichy,  était alors occupée par des chiffonniers. Profitant de la nouvelle loi, le publiciste Georges Harmois  et la journaliste et féministe  Marguerite Durand créèrent, le 2 mai 1899, la Société Française Anonyme du Cimetière pour Chiens et autres Animaux Domestiques qui, le 15 juin, acheta au baron de Bosmalet la moitié de l’île.
Ce cimetière, le premier du genre au monde, fut ouvert au public à la fin de l’été 1899.
 
Des différents projets, seuls les jardins, les  bâtiments d’entrée et la nécropole furent réalisés.
L’architecte Eugène Petit dessina l’entrée et conçut le portail de style Art Nouveau flanqué de portes pour les piétons.
En 1906
De nos jours
En 1975, le comblement du bras de Seine fit perdre à la nécropole son caractère insulaire.
Malgré son succès croissant, en 1986 sa fermeture fut envisagée. Grâce à la mobilisation des concessionnaires, un plan de sauvetage de la mairie d’Asnières et à son classement à l'inventaire des monuments historiques pour « intérêt à la fois pittoresque, artistique, historique et légendaire », le cimetière survécut. La mairie d’Asnières en est la propriétaire et la gestionnaire depuis 1997.
 
Depuis plus d’un siècle d’existence le lieu avait subi les outrages du temps. En 2001, une campagne de restauration et d’aménagement paysager  redonna du lustre à ce lieu de repos qui, en 2012, comptait officiellement 869 résidents à poils et à plumes venant de toute la France mais aussi de l’étranger.
Etonnante et jolie promenade à la découverte des témoignages d’affection des maîtres envers leur (s)
« bébé », « chéri(e)», « meilleurs amis », « amours », « amour d’une vie », « fidèle compagnon », « petit garçon », etc., agrémentés de messages d’amour sous forme de poèmes ou de simples dédicaces rappelant toute la place affective du compagnon disparu auprès de son propriétaire.
 
Y voyant une forme de misanthropie, avérée pour certains maîtres (Plus on voit les gens, plus on aime les bêtes), mais loin d’être le sentiment prévalant chez tous,  d’aucuns jugent outrancières ces marques  d’attachement envers un animal. Au nom de quel critère peut-on se décréter arbitre d’un sentiment et d’un chagrin quelle que soit son origine ? Comme dans n'importe quel cimetière, là aussi des pages de vie s'inscrivent, apostrophent, invitant parfois à la méditation.
 
Bien qu’appelé communément le « cimetière des chiens » ces derniers se disputent le lieu avec chats,  singes, chevaux, poneys, volatiles, lapins, tortues, hamsters, et j’en passe. On y trouve aussi la poule Cocotte  et le mouton Faust.
Le manque de place se faisant là aussi sentir, des relèves sont effectuées. Bref, tout est commun à un cimetière traditionnel sauf que, dorénavant, la durée d’une concession est soumise à un renouvellement annuel. Les tarifs évoluent en fonction de la taille souhaitée. Le plus petit emplacement (0.50 m) coûte 140 Euros/an (2014).
© MCP
© MCP
"A la mémoire de ma chère Emma du 12 avril 1889 au 2 août 1900, fidèle compagne et seule amie de ma vie errante et désolée." © MCP
La poule Cocotte © MCP
© MCP
Mausolées miniatures ou modèles réduits de sépultures pour humains, la nécropole animalière s’orne aussi de fantaisies et d’objets fétiches qui provoquent le sourire tandis que l’abandon et le temps œuvrent sur les plus anciennes sépultures que l’on essaie de préserver dès qu’elles présentent un intérêt artistique, historique ou pittoresque.
" 1906-1922. A ma Cocotte l'affectionnée, vécu 16 ans, fidèle compagne, inséparable, regrettée de ta maîtresse restée inconsolable, à toi j'étais attachée, tu  ne seras jamais oubliée, Regrets.
L'éptaphe quasi illisible laisse encore apparaître : "[...] Faust, mon joli mouton bien aimé, tu étais [...] bon et  très intelligent [...]"
Le mouton Faust  © MCP
© MCP
Autrefois...
Des photos, mais aussi des fleurs, beaucoup de fleurs notamment à la Toussaint où le cimetière est l’un des plus fleuris de France !
 
Et puis, le lieu peut s’enorgueillir de célébrités. D’abord celles qui firent les joies de personnalités comme Michel Houellebecq, Camille Saint-Saëns, Alexandre Dumas fils,  Courteline, Sacha Guitry,  Marguerite Durand, de princesses, etc., et puis celles qui acquirent leur heure de gloire par elles-mêmes : Rintintin, Barry, Moustache, Mémère, Drapeau, Dick, Poilu,... A défaut de la présence de certains d'entre eux, leur mérite leur vaut un monument commémoratif.
 
Et parmi les anonymes, au gré de la promenade, après un choix cornélien :
Kiki, la guenon © MCP
Noël ...© Erwan Le Marchand
Poésies © MCP
Doggy-bag... © MCP
Concours d'egos ...© MCP
Hautain...© MCP
Malpouse et Tony, chiens de la princesse Lobanof © MCP
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Enfants...© MCP
Souvenirs heureux...© MCP
Tipsy, caniche d'une riche propriétaire américaine dont la tombe fut profanée en février 2012 pour y dérober des diamants  © MCP
Chez Plume et Mimi :  "Au bon accueil" © MCP
Tombeau familial © MCP
Sportif...© MCP
Chics et snobs...© MCP
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© MCP
Trilogie tronquée... © MCP
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Napperon Tea Time © MCP
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Le cheval Massereau © MCP
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Rendez-vous ...© MCP
Réemploi...© MCP
Noble vestige  © MCP
Barry (1800 – 1814)
Dès 1900, la direction du cimetière fit ériger un monument emblématique à la gloire de Barry, un saint-bernard appartenant aux moines de l’hospice du grand Saint-Bernard au début du 19ème siècle. La légende veut qu’après « avoir sauvé la vie à 40 personnes, il fut tué par la 41ème !... » à Berne.
Son cénotaphe se trouve à l'entrée du cimetière. Plusieurs aimaux reposent à ses pieds.
© MCP
© MCP
© MCP
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Dick (1915-1929)
Chien de tranchée dont l’émouvante épitaphe résume tout.
 
Ici repose DICK, des tranchées compagnon fidèle
Qui toujours fut mon seul ami
Sa vie se citerait pour donner un modèle
Et sa disparition me plonge dans l'ennui
 
Son souvenir me hante, me manquent ses caresses
Le remords m'envahit, je me trouve brutal
De l'avoir corrige, alors que sa faiblesse
Aurait du m'arrêter et cela m'a fait mal
 
Ainsi je suis tout seul, ne croyant plus à rien
La vie m'a tant meurtri ! Pourtant une pensée
(Demeure en ma détresse)
Il fut aimé par sa maîtresse
Et cela seul me fait du bien
L.V.
 
►  Chiens policiers
Monument à la mémoire des chiens policiers. Il fut construit en 1912, les commissariats de banlieue venant d'être dotés quelques années plus tôt de chiens. Il abrite ainsi plusieurs chiens policiers dont "Dora" (1907-1920) du commissariat d'Asnières, "Top", plusieurs fois médaillé, "Papillon" huit ans de service dans le 16e arrondissement de Paris ou "Léo" tué en service.
Incontournable....
© MCP
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►  Drapeau
Fidèle petit compagnon de guerre (la Première Guerre mondiale)
© MCP
►  Mémère (1914 - 1929)
Mascotte des chasseurs à pied durant quinze ans.  
© MCP
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►  Moustache († 1811)
Mascotte de la Grande Armée entre 1799 et 1811, ce barbet accompagna les vétérans et s’illustra dans différents faits d’armes aussi pittoresques qu’héroïques. Devenu célèbre, il fut présenté à Napoléon Ier pour qui il exécuta quelques tours dont le salut militaire en soulevant une patte à la hauteur de l’oreille.
Cité à l’ordre du jour à la veille de Marengo, médaillé d’argent après Austerlitz (médaille d’honneur spéciale pour lui), il mourut devant Badojoz,  lors de la campagne d’Espagne, fauché par un boulet de canon. Ce jour-là, on vit pleurer de vieux grognards. Il fut enterré avec tous les honneurs militaires avec sa médaille et son collier.
En 1814,  sur ordre de l’Inquisition espagnole.sa tombe fut profanée et ses restes brûlés.
Le 11 mars 2006,  en présence des Amis du Patrimoine Napoléonien et de grognards, un vibrant  et solennel hommage fut rendu à ce chien exemplaire et légendaire, une plaque en sa mémoire fut inaugurée.  
Tombe disparue de Moustache
Cérémonie en mars 2006 © http://napoleon1er.perso.neuf.fr/
© MCP
►  Poilu
Tant applaudi dans la pièce de théâtre « mon curé chez les riches » d’André de Lorde et Pierre Chaine (1925) et qui partageait son nom avec celui de son personnage.
© MCP
► Prince of Wales
Dont l’épitaphe précise qu’il « parut 406 fois sur la scène du Théâtre du Gymnase » en 1905 et 1906. Sépulture non trouvée.
Après la guerre, Duncan ramena ses chiens aux Etats-Unis. Nénette mourut durant la traversée.
Alors que Duncan faisait participer Rintintin à des concours en Californie, ce dernier fut remarqué pour ses qualités exceptionnelles d’athlète par le réalisateur Darryll Zanuck qui l’engagea pour le cinéma. Remarquablement dressé par son maître, l’animal connut le succès dès sa première apparition dans « The Man from the hell’s river » d’Irving Cummings (1922).
Première star canine avant Lassie, ses aventures sauvèrent aussi la Warner Bros de la faillite engendrée par la crise de 1929.
A l’apogée de sa carrière, Rintintin gagnait des milliers de dollars à la semaine et recevait plus de 10 000 lettres de fans dans le même temps. Consécration suprême, il obtint son étoile sur Hollywood Boulevard, posséda sa propre limousine et on publia même un numéro de téléphone à son nom dans l’annuaire de Los Angeles.
Selon la tradition, Rintintin serait mort, dans les bras de la sublime Jean Harlow. Lee Duncan, abattu, le fit enterrer dans le sol français, sa terre d’origine, ce qui explique sa présence dans ce cimetière.
Beaucoup de Rintintin suivirent ses traces jusqu’à nos jours, dont Rintintin IV, le plus connu d’entre eux, compagnon de Rusty. La lignée est toujours assurée et nous sommes aujourd’hui contemporains de Rintintin XI !
► Rintintin (1918-1932)
© MCP
© MCP
Troy Town (1913 - ?)
Cheval de course dont les résultats sont bien oubliés et dont la tombe se dissimule actuellement sous la verdure.
http://chatsdemoncoeur.forumactif.org
© MCP
© MCP
Mais aussi
 
Le plus anonyme de tous
Un chien errant venu mourir en 1958 à la porte du cimetière. Il fut le 40 000e animal à y être enterré.
http://chatsdemoncoeur.forumactif.org
Enfin
 
A l'extrêmité opposée à l'entrée se trouve la maison des chats vivants, vraie maison en dur; dans laquelle ils entrent par une chatière.Une association de bénévoles les nourrit et leur fournit une assistance  médicale.
Une sépulture commune abrite cent chats de l'association.  
© MCP
© Erwan Le Marchand
Sources principales
- Le dépliant remis à l'entrée du cimetière
- Rintintin : http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article2711
(*) commentaire(s)
30 avril 2014
Vedette incontestée de la nécropole, s’il n’est pas celui de la célèbre télévisée des années 1950 ami du jeune Rusty, il fut le tout premier du nom à connaître une gloire immense le hissant au rang de star mondiale.
Tout commença en 1918 en Meurthe-et-Moselle lors de la Première Guerre mondiale. Lee Duncan, caporal du 135th Aero Squadron américain, découvrit un berger allemand et sa portée de cinq chiots dans les décombres d’un chenil bombardé. Attendris, les membres de l’unité se partagèrent la petite famille.
 
Duncan en adopta deux  qu’il nomma Nénette et Rintintin comme les poupées de l’époque fabriquées avec des bouts de laine par des enfants. Couple fétiche supposé protéger des bombardements, on les voyait partout et étaient envoyés dans les colis pour soldats afin de leur porter chance.
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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