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Y furent inhumés
 
Excepté celle du baron Montyon, qui a justifié cet article, aucune sépulture notable n'est à signaler. Et encore, s'agit-il d'une tombe transférée.
EGLISE SAINT-JULIEN-LE-PAUVRE (Paris)
© Celette
Vestiges avec colonnettes. Pariseavant.com
A la même époque, l’Hôtel-Dieu enjambait la Seine pour s’étendre sur la rive gauche. En 1655, il absorbait St-Julien cédé par les moines de Longpont et, par une bulle de 1659, le pape Alexandre VII lui retirait son titre de prieuré. Toutefois, il fallut attendre les lettres patentes de Louis XIV de juin 1697 pour confirmer l’union de l’Hôtel-Dieu et de St-Julien-le-Pauvre. L’Hôtel-Dieu fit disparaître les bâtiments conventuels. Ainsi amputée, l’église devint simple chapelle.
 
Fermée à la Révolution, transformée en magasin à sel, en 1805, un décret impérial la rendit à l’Hôtel-Dieu qui en fit un dépôt de marchandises. De nouveau abandonnée, elle fut rendue au culte le 20 octobre 1826 par Mgr de Quélen, archevêque de Paris, pour les besoins de l’Hôtel-Dieu et les pratiques religieuses, notamment les prises de voile des sœurs Augustines qui soignaient les malades.
 
Après avoir été menacée de démolition lors des travaux d’urbanisme du 19ème siècle, elle passa miraculeusement au travers des coups de pioches. Mais qu’en faire ? L’hôtel-Dieu, installé dorénavant de l’autre côté de l’île de la Cité, n’était plus intéressé.
 
Finalement le salut vint de l’Orient. En 1886, des négociants palestiniens grecs-catholiques reçurent l’autorisation du ministre de l’Intérieur  d’ouvrir à Paris  une chapelle de leur rite. Le 1er janvier 1889, le premier bail fut signé et renouvelé par tacite reconduction.
Après encore quelques menaces, le 26 mars 1928, le préfet de la Seine put acquérir auprès de l’Assistance Publique les terrains où fut créé l’actuel square Viviani et celui de l’église. Jusqu'à la démolition des immeubles sur l'ilôt de Saint-Julien-le-Pauvre en 1928, et l'aménagement du square René-Viviani qui s'ensuivit, l'ancien enclos prieural existait encore, et l'église était complètement enclavée dans un pâté d'immeubles. L'on y accédait par la cour du  11 rue Saint-Julien-le-Pauvre,
Grégoire de Tours,  qui habita dans ses dépendances lors d'un séjour à Paris, la citait déjà en 582 dans son Histoire des Francs. Il la nommait alors « la basilique du bienheureux Julien » sans préciser auquel il songeait, mais probablement saint Julien l’Hospitalier.  Ainsi est-elle l’un des plus anciens édifices religieux de la capitale encore existants.
Blottie dans un recoin d’angle de rue, à l’écart de l’animation du quartier latin pourtant très proche, et des visiteurs de l’église Saint-Séverin sa presque voisine, il flotte comme un petit air de campagne autour de St-Julien.
 
Edifiée au 6ème siècle, à l’angle des deux anciennes voies romaines, celle d’Orléans (rue St-Jacques) et celle de Lyon (rue Galande), elle fut dévastée par les Normands au 9ème siècle.
En 1150, deux seigneurs laïcs, à qui elle appartenait, en firent don aux moines clunisiens de Longpont, près de Montlhéry.  L’église et ses dépendances furent alors érigées en prieuré.
St-Julien profita du développement des collèges, de la prospérité de l’Université et de celle du mouvement corporatif dit des « Quatre Nations » faisant du prieuré une vraie ruche intellectuelle mais aussi à turbulences estudiantines.
Riche et célèbre, le prieuré possédait nombre de maisons qu’il louait aux maître et élèves ; son prieur avait droit au titre de cardinal-prêtre et plus de cinquante religieux étaient à son service.
 
Dès le 15ème siècle, bien que le recteur de l’Université continuât à être élu en ses murs, les maîtres et étudiants désertant peu à peu le quartier au profit des collèges de la Montagne Sainte-Geneviève, ce fut le début de la décadence du prieuré.
Sans ressources pour entretenir l’église abandonnée, lorsqu’en 1651 la vieille façade gothique de l’an 1200 menaça de s’écrouler, on la rasa ainsi que les deux les deux premières travées de la nef et les deux du collatéral de droite. A gauche de sa nouvelle façade plutôt ordinaire, de style de la Renaissance tardive,  on peut encore voir des vestiges de l’ancienne.
Nouvelle façade © MCP
L’église enclavée Plan Turgot par Bretez (1739)
Accès vers l’église et sa cour. Plan BHVP © MCP
L’ancienne cour de St-Julien-le-Pauvre. Eugène Atget vers 1900
Accès et façade avant leur dégagement. Eugène Atget vers 1900
© MCP
Avant 1928 , l’enclos existait toujours. Vers 1880 par Jean-Eugène Durand (1845-1926)
-Un autre puits, dont l'eau, réputée miraculeuse,  passait pour guérir toutes les maladies ; cette réputation dura tant qu’elle était vendue : du jour où elle devint gratuite, les guérisons cessèrent…
De nos jours avec le square Viviani © Google Earth
Sources principales :
-Dictionnaire historique des rues de Paris  de Jacques Hillairet. Ed. de Minuit (1963)
-L’église Saint-Julien-le-Pauvre à Paris de Maurice Rousseau (vendu dans l’église)
(*) commentaire(s)
Dans le square Viviani, quelques témoins du passé :
 
-Un robinier planté en 1601 par Jean Robin (1550-1629), botaniste et jardinier d’Henri IV, qui l’introduisit en France et lui donna son nom. Il est considéré comme le plus vieil arbre de Paris
© MCP
Le puits. Photo de droite © Mbzt
Le chevet donnant  sur le square Viviani © MCP
© MCP
-Un puits du 12ème siècle  qui se trouvait autrefois dans l’église. A droite, une dalle romaine en grès trouvée dans la rue St-Jacques où, posée sur du béton, elle constituait une partie du pavage du 4ème siècle.
© MCP
Une vue magnifique sur Notre-Dame © MCP
Le square, qui offre une vue magnifique sur Notre-Dame, s’agrémente aussi de la « Fontaine Saint-Julien-le-Pauvre », œuvre du sculpteur Georges Jeanclos, commandée par la Ville de Paris pour remplacer une fontaine Wallace.
La fontaine "St-Julien-le-Pauvre" © MCP
L’église grecque melkite catholique occupe toujours les lieux.
De dimensions très modestes, les réparations désastreuses de 1651 modifièrent son aspect au point de lui enlever presque tout intérêt archéologique des époques précédentes. Néanmoins, on notera  les particularités suivantes :
Le chœur © MCP
L’iconostase qui rappelle que l’église est affectée au rite grec. Elle est l’œuvre de Georges Bittar un célèbre ébéniste de Damas (1891).
© Pierre Poschadel
Un remarquable lutrin du 17ème siècle provenant de l’église de l’hôpital de Bicêtre démolie en 1920.
© Pierre Poschadel
Une Vierge en bois du 16ème siècle
© Matthieu Rondeau / C. D. A. S
►MONTYON Jean-Baptiste-Antoine Auget  de (1733-1820)
Très riche, il était conseiller d’Etat quand vint la Révolution. Il émigra et rentra France à la Restauration. Il rétablit les prix de vertu et autres qu’il avait fondés en 1780 : le prix Montyon attribué à "l'ouvrage le plus utile aux mœurs et le mieux écrit", fut décerné pour la première fois en 1782 pour les Conversations d'Émilie de Madame d'Épinay.
Il est resté dans les mémoires comme un célèbre philanthrope, en particulier pour ses nombreux dons à l’Hôtel-Dieu dont il fut un grand bienfaiteur. En 1782, il avait fondé le prix de vertu, qui porte son nom, décerné par l'Académie française jusqu'en 1970.
.
Son testament, inspiré par les sentiments de la philanthropie la plus élevée, en assurait la perpétuité en faisant des dotations, comme il comportait d’important legs aux hospices et pauvres de Paris.
D’abord inhumé au cimetière parisien de Vaugirard, il fut exhumé en 1837 lors de la désaffection d’une partie de ce cimetière et ré-inhumé, d’abord sous le péristyle de l’Hôtel-Dieu puis, en 1838, en l’église Saint-Julien-le-Pauvre où il repose toujours.
© MCP
► ROUSSEAU Henri ( ?-1445)
Une pierre tombale rappelle le souvenir d'Henri Rousseau, seigneur en partie de Chaillot et de Campan, qui avait souhaité être inhumé dans la chapelle de l’Hôtel-Dieu.
"Honorable homme et sage" maître Henri Rousseau était avocat au Parlement. Le défunt sort à moitié de son tombeau, le corps enveloppé d’un suaire écarté par les mains jointes, en élevant les yeux vers un crucifix et des versets d’un psaume sur les misères du pêché. Une longue inscription en minuscules gothiques rappelle ses fondations à l’autel de Saint-Louis.
© Pierre Poschadel
29 décembre 2019
(nouvelle édition)
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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