Maurice mourut dans la nuit du 16 au 17 février 1788 et fut inhumé le lendemain, en présence de son frère, dans le cimetière de sa paroisse accompagné par un important cortège formé, entre autres, par les élèves de l’Ecole royale de Dessin qu’il avait fondée.
Puis, dans le cadre de la politique de fermeture des cimetières en centre ville, celui de Saint-André disparut au profit du cimetière Saint-Jean ouvert en 1802 et qui, par la suite, devint le cimetière du Nord.
Les restes de nombreux résidents de l’ancien cimetière Saint-André furent transférés dans l’ossuaire de Saint-Jean. Ceux de Quentin de La Tour en faisaient-ils partis ? Peut-être.
Quoiqu’il en soit, il ne reste plus rien de sa sépulture.