Sur le tard, en 1871, il épousa sa maîtresse Julie-Amélie, une modeste française qui devint sa légataire universelle.
En 1890, bien que retiré à Londres, après la disparition brutale de son fils en 1887, il revint vivre en France. Il mourut dans sa propriété de Bagatelle laissant, aussi bien en France qu’en Angleterre, le souvenir d’un grand bienfaiteur.
Accompagné par une foule de parisiens, il fut inhumé au Père-Lachaise dans la sépulture familiale où reposait son oncle Henry Seymour (1805-1859), fondateur du Jockey-Club.
Francophile, sir Richard Wallace avait largement démontré son intérêt indéfectible pour la France, son histoire et son art. A sa mort, sa veuve française, hérita alors de la fabuleuse collection qu’elle offrit à la nation…anglaise, aujourd’hui conservée en partie au musée de la Wallace Collection de Londres.