Après lui, son petit-fils, Louis-Pierre (1721 – 1801) et le fils de ce dernier, Antoine-Marie (1721-1801) publièrent l’Armorial général ou Registres de la noblesse de France (1738 1768). Le « d’Hozier » est toujours regardé comme une référence pour vérifier l’authenticité d’un nom à particule, son origine et les branches s’y rattachant. Ce travail colossal vint compléter l’œuvre de Pierre.
Pierre d’Hozier fut inhumé en l'église Saint-André-des-Arts. Lors de sa destruction, les ossements qui s’y trouvaient furent transportés aux Catacombes le 24 février 1794. Ses restes s'y trouvent peut-être.