Très imprégné par une vie simple dans laquelle il côtoyait des paysans et travailleurs de la forêt, son œuvre est caractéristique d'un courant réaliste qui fut la marque principale de l'école de Barbizon.
L’infime place qu’occupe l'homme dans son œuvre, qu’il réduisait à une simple tâche de couleur, suscita et suscite encore beaucoup d'interrogations.
Malheureusement, perpétuel insatisfait, dès 1839 il commença à retoucher ses toiles avec du bitume, cause de la détérioration de nombreuses de ses œuvres.
Avec son ami Jean-François Millet, qui repose à proximité, il participa pour beaucoup à la gloire de Barbizon, village des peintres où il mourut. Barbon n’étant à l’époque qu’un simple hameau de Chailly-en-Bière, Théodore Rousseau fut inhumé dans le cimetière de ce village.
Sa tombe, avec rochers et verdure, rappelle la forêt de Fontainbleau qu'il aimait tant parcourir.