En 1934, à l’occasion de la rénovation de son caveau, ses restes et ceux de sa femme furent exhumés et placés neuf jours dans l’église paroissiale avant de retrouver leur place dans la fosse qu’on venait de cimenter. Entre temps, on en profita pour prendre un moulage de sa boîte crânienne.
La médecine étant une affaire familiale, outre son oncle, Guillaume Laennec (1748-1822), qui prit en charge l’éducation de son neveu, son cousin germain, Ambroise Laennec, et le fils de ce dernier, Théophile Ambroise Laennec, devaient aussi se distinguer dans ce domaine à Nantes.