Héritière de la fragilité mentale de sa famille, la mort de son cousin, Louis II de Bavière, auquel elle fut fiancée en 1867, mais qui ne l'aimait pas, provoqua une vraie crise pour cette jeune femme éprise aussi d’absolu. Songeant à se séparer définitivement de son mari, elle finit par le rejoindre après avoir été soignée pour troubles sexuels qui agissaient sur ses nerfs…. Comme une malédiction familiale, elle ne réchappa pas à un destin tragique.