Dans la gêne financière, il quitta Paris avec sa femme pour Valmondois (Val-d’Oise) dans une maison que mit à sa disposition son grand ami Corot. C’est dans ce village qu’atteint de cécité il mourut et fut d’abord inhumé.
Un an plus tard, il prenait le chemin du cimetière du Père-Lachaise pour reposer auprès de Corot et Daubigny. Sa tombe fut restaurée vers la fin des années 2000.