Et le fameux « violon d’Ingres » ?
Outre la peinture et le dessin, Ingres avait une seconde passion artistique, le violon auquel il se consacrait à ses moments libres. Il devait en jouer avec talent puisqu'il devint deuxième violon à l'orchestre du Capitole de Toulouse. C'est ainsi que naquit l'expression « avoir un violon d'Ingres » employée à propos d'une personne qui pratique une activité non professionnelle avec une certaine passion.
Ingres mourut des suites d’une pneumonie. Ses funérailles et son cortège funèbre prirent un caractère triomphal : même ceux qui l’avaient combattu de son vivant lui rendirent un hommage solennel.
Il fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise où sa tombe s’orne d’une stèle, œuvre de son ami Victor Baltard et d’un buste signé Jean-Marie Bonnassieux (1810-1892). Avec lui reposent ses deux épouses :