Servant brillamment en Amérique, il se rallia aux idées nouvelles lors de la Révolution et prit le commandement de l’armée des Vosges puis de celle du Nord.
Mais accusé de trahison pour avoir abandonné Mayence dans le cadre de sa défaite à Bingen et soupçonné d’aspirer à la dictature, il fut traduit devant le Tribunal révolutionnaire.
Son procès, raccourci sur les menaces de Robespierre et d’Hébert, fut conclu par une condamnation à mort.