Lors du procès du roi, après avoir timidement demandé l’appel au peuple, il vota sa mort sans sursis. Emporté dans le conflit Montagne-Gironde, adversaire déterminé de la Commune, il fut, comme ses amis, arrêté le 2 juin 1793.
Il refusa l’opportunité de fuir. Lors du procès des Girondins, et bien qu’il soit condamné d’avance, il se défendit point par point. Refusant de s’empoisonner, il fit face à son destin avec courage. Curieusement, lui qui s’était indigné du renvoi des ministres girondins par le roi se rapprocha de ce dernier en lui proposant son appui s’il les rappelait. Déçu par la réponse royale à son offre, il retourna à l’opposition et finit par se prononcer pour la suspension de Louis XVI.
Lors du procès du roi, après avoir timidement demandé l’appel au peuple, il vota sa mort sans sursis. Emporté dans le conflit Montagne-Gironde, adversaire déterminé de la Commune, il fut, comme ses amis, arrêté le 2 juin 1793. Il refusa l’opportunité de fuir. Lors du procès des Girondins, et bien qu’il soit condamné d’avance, il se défendit point par point. Refusant de s’empoisonner, il fit face à son destin avec courage.