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MUSSOLINI Benito (1883 – 20 avril 1945)
Cimetière San Cassiano de Predappio (Italie)
Influencé par les vues socialistes de son père, dont il hérita aussi du caractère violent, le dictateur en herbe fit ses classes politiques en Suisse où il s’était réfugié pour ne pas effectuer son service militaire en Italie où il rentra en 1904.
 
Militant socialiste, dénonçant, par le biais de plusieurs journaux, les inégalités d'une Italie qui n'avait pas achevé son unité, en 1912, il se retrouva à la tête de la fraction révolutionnaire de son parti.
Pourtant, la Première Guerre mondiale le vit rompre avec ses engagements. En se prononçant pour l'entrée de l'Italie dans la guerre, il attendait une régénérescence globale du pays qui ne vint pas.
Gravement blessé par l'éclatement d'une bombe en 1917, pour lui la guerre était finie. Ce fut l’occasion d’accentuer encore la tonalité ultra-patriotique de son journal Il Popolo d'Italia (Le peuple d'Italie). Le succès de la révolution de 1917 en Russie avait enflammé nombre d'esprits dans les couches populaires et créé une atmosphère favorable aux pires désordres qui explosèrent.
 
En 1919, au sortir d'un conflit décevant pour l’Italie, Mussolini avait fondé, avec d'anciens combattants et des ultranationalistes, les Faisceaux de combat dont l'objectif était  la prise du pouvoir. En 1921, il créa le Parti national fasciste (PNF) et se présenta au pays avec un programme politique nationaliste, autoritaire, antisocialiste et antisyndical, ce qui lui valut l'appui de la petite bourgeoisie et d'une partie des classes moyennes industrielles et agraires.
 
Le nouveau parti finit par tirer bénéfice de la situation. En toute illégalité et en toute impunité,  les groupes paramilitaires issus des Faisceaux, pourchassaient, grévistes, syndicalistes, socialistes et démocrates, que Mussolini rendait responsables de la crise du pays. Le mouvement fasciste était bel et bien en marche avec de plus en plus d’adhérents.
 
Au bout de trois ans d'une lutte mêlant habilement participation électorale légale et violence  qui culmina le 28 octobre 1922 avec la Marche sur Rome, Mussolini devint président du Conseil. .Alors que ses adversaires croyaient à la normalisation du fascisme, après avoir failli chuter (l'affaire Matteotti (mai 1924-janvier 1925) le régime se transforma par étapes en dictature. Installé au pouvoir en 1923, il organisa un modèle d'État totalitaire.
 
Le Duce en était à ses visées d’expansionnisme quand la guerre d’Espagne lui donna  l’occasion d’un rapprochement avec Adolf Hitler et d’un resserrement entre les deux régimes. Subjugué par le personnage, Mussolini voulait lui plaire. Après l’avoir laissé annexé l’Autriche et la Tchécoslovaquie en 1938, il inaugura à son tour  la  même  politique raciale en Italie.
 
Lors de la Seconde Guerre mondiale le Duce se montra rapidement à la remorque du Führer. À mesure que s'accumulaient ces déboires, au sein même du mouvement fasciste on s'inquiétait de son obstination. En fait, il songeait à une paix séparée, mais n'osait s'en ouvrir à Hitler. Des complots se formèrent et, au cours de la nuit du 24 au 25 juillet 1943, les chefs du parti le sommèrent de remettre ses pouvoirs au roi qui fit arrêter dès le lendemain. Interné dans les Abruzzes, Mussolini fut délivré par un commando de parachutistes allemands le 12 septembre 1943 et, sur l'injonction de Hitler, prit la tête d'une « République sociale italienne », état fantoche qui s'installé à Salo, d’où son nom de République de Salo.  
 
Il en profita tout de même pour faire exécuter les chefs fascistes qui l'avaient destitué en juillet, parmi lesquels son gendre Ciano et tenta vainement de mettre en place un nouvel ordre, plus radical et antisémite que le fascisme d'avant-guerre.
 
Une des rares conséquences bénéfiques de son régime, et qu’on oublie parfois, est qu’il avait réussi à se débarrasser de la mafia. Mais, pour permettre le débarquement allié en Sicile (juillet 1943), les Américains avaient besoin d’aide sur place. Ils ne trouvèrent pas mieux que de solliciter la mafia américaine pour activer des réseaux en Sicile. Le pouvoir repris, les mafieux ne le lâchèrent plus...  
 
Entre les Alliés et les partisans, l’étau se resserrait sur le Duce qui n’était plus que l’ombre de lui-même, plus pitoyable que jamais. Malgré tout, il profita de la déroute allemande pour tenter d’atteindre la Suisse en se dissimulant dans un convoi allemand avec sa maîtresse Clara Petacci. Mais reconnu à Dongo, il fut arrêté le 27 avril 1945 et fusillé à la hâte le 28 avec Clara, qui  refusa de se séparer de lui,  dans un petit village de la rive ouest du lac de Côme. Leurs dépouilles, mêlées à celles de hiérarques fascistes abattus à Milan, furent exposées suspendues par les pieds, sur la place Loretto où les fascistes avaient fait fusiller de nombreux partisans.
En partant de la gauche: Mussolini (2ème) et Pecci (3ème)
Décrochés et traînés dans les rues, leurs corps subirent l’agression de la foule immense venue assister à la fin minable du responsable de tous ses maux.
On procéda à une autopsie à l’institut médico-légal avant de l’inhumer au cimetière Musocco de Milan. Secret vite éventé puisqu’un an plus tard, trois néo-fascistes exhumèrent la dépouille que l’on retrouva dans une malle à la chartreuse de Pavie en même temps qu’étaient arrêtés les macabres fétichistes.
Tombe profanée de Mussolini au cimetière Musocco de Milan
Cette fois, l’inhumation se fit dans une chapelle du couvent des capucins de Cerro Maggiore. Ce n’est qu’en 1957 que le gouvernement italien, considérant le risque de tombeau « symbole » écarté, accepta de rendre ses restes à sa famille.
Depuis Benito Mussolini repose, tel qu’il l’avait souhaité, dans la crypte familiale du cimetière de San Cassiano à Predappio, sa ville natale.
Eglise de  Visitazione della Beata Vergine Maria du couvent où fut inhumé Mussolini. http://www.gustosamente.com/
http://www.ilduce.net/
Transfert des restes en 1957
Sarcophage de Mussolini
http://www.ilduce.net/
http://www.ilduce.net/
Souvenirs de famille dans la crypte. http://www.ilduce.net/
Dans la crypte reposent également mais légèrement à part : ses parents Alessandro et Rosa, sa femme Rachel. Quatre de ses cinq enfants:  ses fils (Vittorio, Bruno et Romano) et sa fille Anna-Maria ainsi que sa belle-fille, Gina,  la femme de Bruno.
marzia bisognin, ocasaggia
Alessandro Mussolini (1854 -1910), son père
Forgeron, activiste socialiste révolutionnaire avec des sympathies nationalistes il exerça une l'influence considérable sur les premières vues politiques de son fils.
Connu par les autorités locales pour sa violence et ses méthodes d’intimidation envers ses adversaires, son rejeton avait de qui tenir…
D’ennuis personnels en difficultés à trouver du travail, il devint alcoolique et mourut d’une grave maladie. Une foule de camarades de lutte suivirent son enterrement. Dans son journal « la lutte des classes », Benito Mussolini publia un bel hommage funèbre. Il fut inhumé auprès de sa femme Rosa.
Sarcophage à droite. http://www.ilduce.net/
Rosa Mussolini (1858-1905), sa mère
Institutrice et catholique dévouée, elle mourut d’une méningite. Le Duce était très attaché à sa mère et, sous le régime fasciste en fit l’idéal de la femme italienne. En 1930, il organisa une cérémonie pour honorer sa mémoire comme « grande éducatrice et mère glorieuse ».
Rachel Mussolini (1893-1979), sa femme
Sa mère fut la maîtresse d’Alessandro Mussolini, le père du Duce.
Si Mussolini exaltait la famille traditionnelle, il n'en était pas moins très adepte de l'union libre, n'hésitant pas à sacrifier ses proches. En 1914, Mussolini se mariait avec Ida Dalser, ce qui n’empêchait pas Rachel d’être sa compagne depuis 1910, qui lui avait déjà donné une fille et de l’épouser, en 1915, après qu’il ait fait disparaître tout document officiel de son union avec Ida ! Nous passerons sur les nombreuses maîtresses qu’elle n’avait d’autre choix que de supporter.
 
Regardée comme le modèle de la femme d’intérieur et de mère fasciste sous le régime de son mari, elle lui resta loyale jusqu’à la fin et dès son exécution avait demandé à récupérer le corps pour des obsèques privées.
Sarcophage de gauche. http://www.ilduce.net/
Vittorio Mussolini (1916 – 1997), son fils aîné
Arrêtée en avril 1945 par des partisans italiens, livrée aux Américains elle resta prisonnière sept mois sur l’île d’Ischia avant d’être libérée. Plus tard, elle ouvrit un restaurant dans son village natal de Predappio où elle servait elle-même des plats de pâtes.
Passionné de cinéma, en 1937 il se rendit à Hollywood pour essayer d'instaurer rapports commerciaux avec l'industrie du cinéma américain qui refusa de le rencontrer.
Il dirigea le magazine Cinéma et fut président de la maison de production, l'Alliance Cinématographique Italienne. En 194, à la mort de son frère Bruno, il hérita de la présidence de la Fédération de boxe Italienne.
Durant la république de Salo, il s’activa pour la reconstruction d'un gouvernement fasciste en Italie.
Producteur de films, scénariste dans les années 1940, il s’exila en Argentine où il vécut sans plus s’occuper de cinéma. Revenu en Italie en 1967, il y passa le reste de ses jours.
Bruno Mussolini (1918–1941), son second fils
Grand passionné d'aviation, il en fit sa profession dans laquelle il se distingua. Il participa à plusieurs missions durant la guerre d’Espagne. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il fut affecté à une unité de Bombardement Terrestre et se vit confier le commandement de la 274e Escadrille de Bombardement à longue portée, basée à Pise et dotée de nouveaux bombardiers à quatre moteurs.
Le 7 août 1941, il trouva la mort alors qu’en amorce d’atterrissage les moteurs perdirent brusquement de la puissance rendant l’avion incontrôlable. Sa dépouille fut ramenée à Predappio par un train spécial, circulant entre deux files ininterrompues de personnes saluant avec le bras tendu, et en présence de quelques officiers prisonniers de la RAF qui voulaient rendre hommage à l'ennemi tombé.
Sarcophage du milieu. http://www.ilduce.net/
Gina Mussolini (1916 – 1946), Epouse de Bruno Mussolini
Elle mourut noyée dans le lac de Côme après que le bateau à moteur sur lequel elle se trouvait avec des amis ait coulé.  Veillée dans une chapelle ardente par des femmes du pays, Gina fut inhumée dans la tombe de la famille Corti au cimetière monumental de Côme. Le 15 mars 1950, elle rejoignit la crypte des Mussolini  à Predappio
Portrait de famille avec ses cinq enfants en 1930. Hulton Getty
Troisième fils du dictateur, il n’eut jamais eu d'activité politique et, au contraire, s’affirma comme l'un des meilleurs musiciens de jazz italiens, musique que le régime fasciste considérait décadent. Il joua avec les plus grands notamment aux Etats-Unis. Il avait épousé Anna Maria Scicolone, sœur de l'actrice Sophia Loren dont il divorça et convola avec l’actrice Carla Puccini.
 
En revanche, sa fille, Alessandra Mussolini, née en 1962, mène toujours une carrière très active politiquement à la tête du parti d’extrême droite Azione Sociale qu’elle a fondé.
Romano Mussolini (1927–2006), son fils cadet
Dernier enfant de Mussolini, à sept ans elle fut frappée par une forme grave de poliomyélite virale qui lui laissa des séquelles. En juillet 1943, après l’arrestation du Duce, elle resta confinée, avec sa mère et son frère Romano, dans la forteresse de Carminate d’où elle fut libérée par les Allemands. En 1945, alors que sa mère tentait de se réfugier en Suisse avec ses deux enfants, les douaniers helvétiques n’autorisèrent l’entrée en Suisse, comme refuge hospitalier, qu’à Anna-Maria. Rachel refusa.
Se consacrant à l'art et la culture, ses passions, ne se mêlant pas de politique, elle choisit de vivre sous un pseudonyme. Elle rentra à la R.A.I. où elle dirigea le "Magazine musical" dans lequel elle recevait et interviewait des personnalités du monde du spectacle, de la musique légère et de l'art. Mais la polémique rendue publique générée par la découverte de son identité, l’obligea à quitter à la radio.
Elle épousa le présentateur Giuseppe Negri, Nando Pucci dans le monde de l’art. Opérée en 1966 d’une tumeur au sein, elle contracta la varicelle deux ans plus tard alors que son cancer récidivait. L’ensemble dégénéra en endocardite qui l’emporta le 25 avril.
Sarcophage de gauche. http://www.ilduce.net/
Reste encore trois autres personnes qui ne sont pas inhumées à Predappio mais qui comptèrent :
Edda Mussolini, sa fille aînée ainsi qu’Ida Dalser et son fils Benito Albino.
 

Edda Mussolini, comtesse Ciano (1910 – 1995), sa fille aînée
Cimetière de la Purification de Livourne (Italie)
Aînée de la fratrie, elle épousa, en 1930, le comte Galeazzo Ciano, dignitaire du régime fasciste. Elle suivit son mari à Shanghai où il avait été nommé consul. Le couple revint en Italie en 1932, quand Galeazzo fut nommé ministre des Affaires étrangères. Après l'invasion italienne de l'Albanie (juin 1939), la ville de Saranda fut rebaptisée « Porto Edda » en son honneur ; la couverture du Time la consacra « Dame De l'Axe », la fille d’Hermann Göring se prénomma Edda en son honneur, etc.
Durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut volontaire à la Croix-Rouge jusqu’en 1943, année où son mari eut le malheur de soutenir la démission de Benito Mussolini lors du Grand Conseil du fascisme en juillet. En dépit des suppliques de sa fille, pour cet acte de trahison Mussolini fit exécuter son gendre d'une balle dans la tête, attaché à une chaise.
En janvier 1944, après avoir gagné la Suisse déguisée en paysanne, elle fut arrêtée et détenue sur l’île de Lipari. En décembre 1945, sa peine fut commuée en deux ans d'emprisonnement. Elle quitta l'île en juin 1946, lorsqu'une opportune amnistie votée grâce au ministre communiste de la Justice, lui permit de rejoindre sa famille sur le continent.
Elle garda toujours son rôle de personnalité très en vue, surtout dans le milieu mondain de Rome et de Capri, où elle possédait une villa. Mettant en avant sa liaison avec un communiste, rencontré lors de sa relégation à Lipari, après le décès de son époux et de son père, elle nia fermement toute implication avec le régime fasciste ! Elle écrivit ses mémoires, La mia testimonianza (« Mon témoignage »), qui sont un précieux témoignage de la vie mondaine et politique sous le régime fasciste italien.
Elle mourut à Rome après avoir, dans ses dernières années, pardonné à son père. Edda Ciano fut inhumée auprès de ses beaux-parents, les Ciano, au cimetière de la Purification de Livourne (galerie San Paolo).
http://www.ognisette.it/
Ida Dalser Mussolini (1880 – 1937)
Cimetière de l’île de San Clemente de Venise (Italie)
 
Benito Albino Dalser Mussolini (1915 – 1942)
Cimetière de Limbiate (Italie)
 
L’épouse tragique et son fils: les sacrifiés
Propriétaire d’un salon d’esthétique à Milan, sa relation avec Mussolini débuta vers 1913 à une époque où Rachel était sa compagne et lui avait donné une fille.
 
Subjuguée, amoureuse, Ida vendit tout ses biens pour financer sa carrière et lui permettre de fonder son propre journal, Il Popolo d'Itali, l'organe de presse du parti fasciste. Bien qu’il se soit empressé de faire disparaître tous les documents relatifs à son union, il est quasiment certain qu’il épousa Ida avant de convoler avec Rachel.
En pleine ascension, cherchant l’appui du Vatican, Ida et leur fils Benito Albino devinrent encombrants. Il les renia. Mais face aux récriminations d’Ida bien décidée à faire reconnaître ses droits , et au risque de scandale, il mit tout en œuvre pour se débarrasser d’eux. Ida résista tant qu’elle le put jusqu’à ce qu’elle soit internée dans l’hôpital psychiatrique de Pergine Valsugana (près de Trente) en 1926. Le reste de sa vie ne fut qu’une suite de cauchemars de fuites et de ré-arrestations, tentant désespérément de retrouver son fils confié à un ancien chef de la police fasciste.
« Ni Néron ou Caligula n’aurait fait ce que vous avez fait » lui écrivit-elle un jour.
Jusqu'à la fin de sa vie, elle n'eut de cesse de dénoncer l'attitude du Duce à son égard et de tenter de le discréditer en révélant des vérités cachées sur le personnage. En vain, elle écrivit au roi, au pape. Décrite comme « dangereuse pour elle et les autres », Ida mourut misérablement d’une hémorragie cérébrale dans l’asile psychiatrique de l’île de vénitienne de San-Clemente. Des dossiers médicaux exhumés montrent au contraire qu’elle était tout à fait raisonnable.
Ses parents, prévenus trop tard, ne purent assister à son enterrement qu’on suppose avoir eut lieu dans le cimetière de l’asile. Malgré les recherches, sa tombe ne fut jamais retrouvée.
Google Earth
Une cellule de l'asile. Raymond Depardon (1979)
Benito Albino vécut avec sa mère dans différentes villes jusqu’à l’internement forcé de celle-ci en 1926. Placé en pensionnat, on lui dit que sa mère était morte. Adopté par un fidèle de Mussolini en 1932, il s’engagea dans la Marine comme télégraphiste et voyagea. Mais son insistance à se faire reconnaitre comme le fils du Duce le conduisit lui aussi chez les fous. Interné à l'institut psychiatrique de Mombello à Limbiate, dans la province de Milan, il y mourut à vingt-six ans.
Bien que la version officielle désignât la tuberculose comme cause du décès, il est probable que les nombreuses injections d'insuline qu'il reçut (l'insuline fut largement été utilisée dans le traitement de la schizophrénie) en soit responsable. Il fut inhumé dans une fosse commune du cimetière de Limbiate : sépulture 931, champ B, section3. Le mystère sur sa mort ne sera sans doute jamais élucidé.
Après la Seconde Guerre mondiale, la famille d’Ida entama des poursuites judiciaires contre ceux qu’elle jugeait responsables de l'internement abusif et de la mort d’Ida et de son fils. La procédure n'aboutit jamais. La proclamation de la « République italienne » et le vote d'une loi d'amnistie sur les crimes fascistes eurent pour effet de clore définitivement le dossier.
La vie d’Ida et de Benito Albino fut l’objet d’un film Vincenre (2009)
(*) commentaire(s)
21 janvier 2013
Anna-Maria Mussolini (1929 - 1968), sa fille cadette
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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