De nos jours, seuls les gisants existent encore. Merci à Stéphane Thomas pour la photo
Tombeau de Robert II et de Constance d'Arles.
Col. Gaignières (BnF)
► Suzanne-Rozala de Flandre (v. 937 - 1003) 1ère épouse de Robert II
Monastère de Blandigny (Abbaye Saint-Pierre-au-Mont-Blandin) de Gand (Belgique)
 
Fille de Béranger II, roi de Provence et d’Italie, Suzanne était veuve d’Arnould II, comte de Flandre quand elle épousa Robert en 988. Certes, cette alliance royale permettait à la jeune dynastie capétienne d’être reconnue. Mais la mariée avait déjà soufflé ses cinquante bougies quand son époux en affichait à peine dix-huit ans !  Cette grand-mère au passé mouvementé et bien rempli, dorénavant stérile, apportait en dot ses possessions du Ponthieu et du port de Montreuil-sur-Mer qui offrait une ouverture sur la mer. Penser au port de Montreuil pour aider aux ébats conjugaux, il y avait plus excitant. On peut comprendre les réticences de ce jeune prince sentimental et d’une grande pureté de meurs. Les relations du couple ne furent donc pas harmonieuses et Robert porta son regard sur Berthe de Bourgogne dont il était très amoureux.
En 992, tout en conservant une bonne partie de la dot, il répudia Suzanne qui partit se réfugier en Flandre où elle se fit nonne et décéda. Elle fut inhumée auprès de son premier mari.
De 1566 à 1579, les calvinistes occupèrent le monastère dont ils rasèrent les bâtiments conventuels, le cloître et l’église. Sauf erreur ou omission, il ne reste rien de la sépulture de Rozala.
 

► Berthe de Bourgogne (v. 964 - v. 1024)
Lieu inconnu
 
Elle était la fille de Conrad, roi de Bourgogne. Berthe et Robert, cousins au 3ème degré, se connaissaient et s’appréciaient depuis longtemps. Hugues Capet, sachant que ce mariage, pour raison de parentèle, serait refusé par l’Eglise s’y était toujours opposé.
Berthe épousa Eudes, comte de Blois dont elle eut plusieurs enfants. L’un d’entre eux était le filleul de Robert. Hugues Capet mort Robert, faisant fi de l’avis paternel,  laissa libre courre à sa passion. Il répudia Rozala. Pour parer aux attaques du clergé, Robert fit convoquer un synode qui lui donna la dispense qu’il attendait et l’évêque de Tours les maria. Mais le pape Grégoire V ne l’entendit pas de cette oreille. Par un autre synode il fut décrété : « Le roi Robert, qui, malgré l'interdiction apostolique, a épousé sa parente, doit se rendre auprès de Nous pour Nous donner satisfaction, de même que les évêques qui ont autorisé ces noces incestueuses ; s'ils refusent de venir, qu'ils soient privés de la communion » .
 
Belle et intelligente, elle possédait un ensemble de qualités qui correspondaient au tempérament du roi. Mais le pape Grégoire V n’était pas du  genre à se laisser attendrir par un  bonheur conjugal. N’ayant pas accordé la dissolution du premier mariage, il accusa Robert de bigamie et d’inceste sous prétexte de parenté trop proche avec sa femme.
 
Le roi fut condamné à sept ans de pénitence et le royaume à trois ans d’interdit. Epreuve bien difficile à soutenir pour ce jeune souverain éduqué dans une grande piété et qui avait hérité de l’atmosphère de crainte qui entourait l’an mil.
Berthe accoucha d’un enfant mort-né. La rumeur que la reine avait accouché d’un monstre se propagea. Le cri de douleur poussé par le peuple atteignit son paroxysme. La mort dans l’âme, Robert répudia Berthe en 1001.  Une liesse populaire accueillit cette décision. Mais le roi « ne souffrit pas que l'honneur de celle qu'il avait appelée son épouse pût être terni ; il voulut qu'elle conservât le titre de reine et qu'elle fût entourée des mêmes respects que si elle était restée sur le trône ».
Il épousa Constance d’Arles sans pour autant chasser Berthe de l’entourage royal.
En 1008, après l’assassinat du favori royal, Hugues de Beauvais, tous deux se rendirent à Rome pour supplier le pape Sylvestre II d’annuler l’union avec Constance accusée du meurtre. En vain.
Jusqu’à sa mort, Berthe continua de vivre près de son ex-mari, ce qui ne dut pas faciliter les relations au sein de la famille royale.
 
Et puis tout à coup plus rien. On ne sait ni la date, ni le lieu de son décès. La date ? Selon les sources d’informations elle va de 1010 à 1031 avec d’autres hypothèses entre les deux ! Par contre, personne ne la fait survivre à Robert II.
Le lieu ?  Peut-être au château de Melun-sur-Seine (Seine-et-Marne).  
 


► Constance d’Arles ou de Provence (v. 984- 27 juillet 1032) 3ème épouse de Robert II
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Fille du comte d’Arles et d’Adélaïde d’Anjou, qui fut mariée deux ans au dernier Carolingien,
Louis V, elle épousa Robert en 1003. Depuis une quinzaine d’années celui-ci cumulait les déboires conjugaux et n’avait toujours pas d’héritier.
Belle, intelligente et vive pour certains, d’autres l’ont décrites comme ambitieuse, avide et acariâtre. Sans doute rassemblait-elle ces qualités et défauts de façon contrastés. Une chose est sûre, elle était d’une exubérance méridionale qui avait tendance à indisposer. Elle menait la vie dure au calme Robert qui, il faut l’avouer, favorisait cette situation en conservant près de lui son ancienne épouse et imposait une forme de ménage à trois...
Une lutte larvée persista longtemps dans le palais de la Cité entre les serviteurs de Berthe et les Provençaux et aquitains de l’entourage de Constance.
Bien qu’accusée de l’assassinat d’Hugues de Beauvais, favorable à Berthe, le pape refusa la demande de divorce du roi.
Malgré cette situation difficile, entre attirance et répulsion, envoûtement et résistance, le couple donna naissance à plusieurs enfants.
On ne peut nier le désir évident de pouvoir chez la reine. Son fils aîné étant décédé, le cadet Henri fut couronné, alors que Constance aurait préféré offrir la couronne à son troisième fils, Robert. Le jour du sacre, elle quitta son palais en claquant la porte. Par la suite, elle réussit à dresser Henri et Robert contre leur vieux père. A la mort de ce dernier, elle continua ses intrigues  en faveur de son dernier rejeton mâle. Le temps lui manqua. Elle mourut un an après son mari dont elle partagea la tombe.
De leur tombeau commun, il ne reste que les gisants.
Parents
Hugues Capet
Adélaïde d'Aquitaine
 
Epouses
Suzanne-Rozalla de Flandre
Berthe de Bourgogne
Constance d'Arles ou de Provence
 
Enfants: parmi ses six enfants retenus
► Hugues de France
► Henri Ier
► Robert de France, duc de Bourgogne
« La nature, prodigue à son égard, lui avait donné une taille majestueuse, une belle figure et toutes les grâces qui séduisent ».
Roi de l’an mil, Robert était déjà un homme adulte pour l’époque lorsque son père fut élu roi. Ce fils unique de Hugues Capet, associé au pouvoir dès la fin de 987, a laissé le souvenir d’un roi dévot et d’une grande charité. Mais son histoire fut aussi chargée de déboires matrimoniaux lourds de conséquences.
D’abord marié à Rozala, il l’a répudia pour épouser sa maîtresse, Berthe de Bourgogne. Malheureusement, Berthe se trouvait être sa cousine et la mère d’un enfant d’un premier mariage dont Robert était le parrain. Eléments suffisants pour que la papauté, poussée par des tiers, déclare l’union illégitime.
Mais Robert refusa de quitter son grand amour. Et la papauté de brandir son argument choc : l’interdit. Non seulement le roi en était frappé mais aussi tout le royaume. En ces temps de grande religiosité nourris par l’atmosphère millénariste, cette sanction, qui interdisait tous les sacrements, était terrible.  Résistant malgré tout pendant quatre ans, Robert céda. Entre temps, Rozala s’étant faite nonne il ne put la reprendre. Alors il convola avec Constance de Provence.
 
Durant son long règne, Robert dut faire face aux premiers hérétiques cathares, les Bogomiles, aux premiers bûchers, aux féodaux qui pillaient le domaine royal, à des famines -au cours desquelles un tiers de la population disparut-,  à des révoltes de serfs, …et encore à Constance qui soutenait les prétentions de son fils cadet, Robert, contre son fils aîné, Henri, qui succéda  malgré tout à son père.
 
Sa bonté, sa charité pour les pauvres « qu'il nourrissait et soignait avec un zèle que l'amour de Dieu » l’avaient fait adorer du peuple. Elevé à Reims où enseignait Gerbert, le plus grand savant d’Occident,  sa culture, supérieure à celle des grands laïcs de son temps,  sa loyauté et sa piété lui valurent l’estime des savants, des grands et des ecclésiastiques. Ce fut donc avec tristesse que chacun apprit sa mort survenue à Melun.
« Il fut du petit nombre de ces rois qui, après un long règne, ont pu, au lit de mort, se rendre le témoignage qu'ils ne sont en rien comptables des malheurs que les peuples ont éprouvés sous leur gouvernement ». On ne pouvait rendre plus grand hommage à ce roi oublié mais objet d’une historiographie si bienveillante qu’il est difficile d’avoir une lecture réelle de son action.  
 
Alors qu’il séjournait à Melun, il fut pris d’une forte fièvre, s’alita et mourut. Accompagné d’un cortège funèbre en larmes résonnant de lamentations, Robert II le Pieux fut inhumé en la basilique Saint-Denis, devant l’autel de la Trinité, à proximité de son père.
Jusqu’en 1263, sa tombe resta sans inscription  ni ornement.  En commandant de nouveaux tombeaux pour plusieurs rois carolingiens et capétiens, Louis IX offrit à son ancêtre une sépulture enfin digne de ce nom.  
Deux ans plus tard, Constance d'Arles l'y rejoignit.
 
Du tombeau du couple royal, remisé au Musée des Monuments français à la Révolution, il ne reste que les deux gisants exposés à Saint-Denis.
Tombeau de Robert II et de Constance d'Arles.
Col. Gaignières (BnF)
De nos jours, seuls les gisants existent encore. Merci à Stéphane Thomas pour la photo
(*) commentaire(s)
ROBERT II LE PIEUX (v. 970/972 - 20 juillet 1031) Roi (996-1031)
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
11 juin 2013
RETOUR PERSONNALITES LIEES A ROBERT II
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
ACCUEIL
THEMES 
FACEBOOK
DE A à Z 
Chercher
CONTACT
NOUVEAUX ARTICLES
 

Pour s'abonner à la Newsletter : CLIQUER  sur "Contact" en précisant bien le sujet et votre adresse E.mail.
LIEUX D'INHUMATIONS
EN LIGNE
 
-Abbaye de Chelles (77)
-Abbaye de Cîteaux (21)
-Abbaye de Fontevraud (49)
-Abbaye de Longchamp (75) (disparue)
-Abbaye de Maubuisson (95)
-Abbaye de Montmartre (75)
-Abbaye de Port-Royal (75)
-Abbaye de Port-Royal-des-Champs (78)
-Abbaye St-Antoine-des-Champs (75) (disparue)
-Abbaye et église St-Germain-des-Prés (75)
-Abbaye, couvent et séminaire St-Magloire (75) (disparus en partie)
-Abbaye St-Victor (75) (disparue)
-Abbaye St-Yved de Braine (02)
-Abbaye Ste-Geneviève (75)
-Abbaye du Val-de-Grâce (75)
 
-Basilique St-Denis (93)
-Basilique St-Pierre de Rome
-Basilique St-Remi de Reims (51)
-Basilique du Saint-Sépulcre à Jérusalem (Israël)
 
-Catacombes de Paris
-Catacombes de Rome
 
-Cathédrale Notre-Dame (75)
 
-Chapelle Royale de Dreux (28)
-Chapelle de la Sorbonne (75)
-Chapelle des Incurables (75)
-Chapelle St-Aignan (75)
-Chapelle St Peter-ad-Vincula, (Tour de Londres)
 
-Chartreuse de Gaillon-lez-Bourbon (27) (disparue)
 
-Cimetière de Bonsecours (76)
-Cimetière du Calvaire (75)
-Cimetière de Clamart (75)
(disparu)
-Cimetière des chiens d'Asnières (92)
-Cimetière des enfants de Pen-Bron (44)
-Cimetière des Errancis (75)
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière "des fous" d'Evreux (27)
-Cimetière des Innocents (75) (disparu)
-Cimetière des Invalides (Invalidenfriedhof) Berlin
-Cimetière de la Madeleine
(ancien cimetière révolutionnaire)
-Cimetière du Mont Herzl à Jérusalem (Israël)
-Cimetières parisiens (subtilités)
-Cimetière parisien d'Ivry (94)
-Cimetière parisien de Vaugirard (disparu)
-Cimetière de Picpus (75)
-Cimetières protestants
-Cimetière St-André-des-Arts (75) (disparu)
-Cimetières St-Benoît (75) (disparus)
-Cimetière St-Denis-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Etienne-du-Mont (75) (disparu)
-Cimetières de St-Eustache (75) (disparus)
-Cimetière St-Germain-l'Auxerrois (75) (disparu)
-Cimetière St-Gervais (75)
(disparu)
- Cimetière St-Jacques-du-Pas (75) (disparu)
-Cimetière St-Jean-en-Grève (75) (disparu)
-Cimetière St-Landry (75) (disparu)
-Cimetière St-Laurent (75) (disparu)
-Cimetière St-Marcel (75)
(disparu)
-Cimetière St-Médard (75)
(disparu)
-Cimetière St-Nicolas-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetière St-Nicolas-du-Chardonnet (75) (disparu)
-Cimetière St-Paul-des-Champs (75) (disparu)
-Cimetières St-Roch (75) (disparus)
-Cimetière St-Sulpice (75)
(disparu)
-Cimetière de la Salpêtrière (75) (disparu)
-Cimetière de Sapanta (Roumanie)
-Cimetière St-Sauveur (75) (disparu)
Cimetière et charniers St-Séverin (75)
Cimetière Ste-Catherine (75)
(disparu)
-Cimetière Ste-Marguerite (75)
 
-Collège de Beauvais ou de Dormans (75)
-Collège des Ecossais (75)
 
-Collégiale St-Georges de Vendôme (41) (disparue)
-Collégiale St-Honoré (Paris) (disparue)
-Collégiale St-Laurent de Joinville (52) (disparue)
-Collégiale St-Martin de Montmorency  (95)
-Colonne de Juillet (75)
-Commanderie  Saint-Jean-de-Latran (75) (disparue)
 
-Couvent de l'Ave Maria (75) (disparu)
-Couvent des Augustins-Déchaussés (75) (disparu)
-Couvent des Bénédictins anglais (75)
-Couvent des Blancs-Manteaux (75) (disparu)
-Couvent des Capucins de la rue St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Capucines (75)
(disparu)
-Couvent des Carmélites de la rue St-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Carmes-Billettes (75)
-Couvent des Carmes-Déchaussés (75)
-Couvent des Célestins (75) (disparu)
-Couvent des Cordeliers de Nancy (54)
-Couvent des chanoinesses de Picpus (75)
-Couvent des Cordeliers (75)
(disparu)
-Couvent des Chartreux de Vauvert  (75) (disparu)
-Couvent des Feuillants du Fg St-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des Grands-Augustins (75) (disparu)
-Couvent des Grands Carmes ou Carmes Barrés ou Carmes Maubert (75)  (disparu)
- Couvent des Jacobins réformés de la rue Saint-Honoré (75) (disparu)
-Couvent des  Jacobins de la rue Saint-Jacques (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent des Minimes de la place Royale (75) (disparu)
-Couvent des Pénitents du Tiers-Ordre de St-François ou Pénitents de Picpus (75)
(disparu)
-Couvent des Petits-Augustins (75)
-Couvent des Récollets (75)
-Couvent des Théatins (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie de Chaillot (75) (disparu)
-Couvent de la Visitation Ste-Marie, rue St-Antoine (75)
 
-Crypte impériale des Capucins de Vienne (Autriche)
 
-Eglise du Dôme des Invalides (75)
-Eglise du St-Sepulcre (75) (disparue)
-Eglise de La Madeleine (75)
-Eglise La Madeleine-de-la-Cité (75) (disparue)
-Eglise Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux (75)
-Eglise St-Barthélemy (75) (disparue)
-Eglise St-Benoît, la bien tournée (75) (disparue)
-Eglise St-Christophe (75) (disparue)
-Eglise et cimetière St-Côme-et-St-Damien (75) (disparus)
-Eglise St-Denis-de-la-Chartre (75) (disparue)
-Eglise St-Denis-du-Pas (75) (disparue)
-Eglise St-Eloi (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne (75) (disparue)
-Eglise St-Etienne-du-Mont (75)
-Eglise St-Eustache (75)
-Eglise St-Germain-l'Auxerrois (75)
Eglise St-Germain de Charonne (75)
-Eglise St-Germain-le-Vieux (75) (disparue)
-Eglise St-Gervais-St-Protais (75)
-Eglise St-Hippolyte (75) (disparue)
-Eglise St-Jacques-de-la-Boucherie (75)
- Eglise St-Jacques-du-Haut-Pas (75)
-Eglise St-Jean-en-Grève (75)
(disparue)
-Eglise St-Jean-le-Rond (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-des-Ménétriers (75) (disparue)
-Eglise St-Julien-le-Pauvre (75)
-Eglise St-Landry (75) (disparue)
-Eglise St-Laurent (75)
-Eglise St-Leu-St-Gilles (75)
-Eglise (cathédrale) St-Louis-des-Invalides (75)
-Eglise St-Louis-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise et cimetière (disparu) St-Louis-en-l'Île (75)
-Eglise St-Marcel (75) (disparue)
-Eglise St-Martial (75) (disparue)
-Eglise St-Médard (75)
-Eglise St-Merry (75)
-Eglise St-Nicolas-des-Champs (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Chardonnet (75)
-Eglise St-Nicolas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-des-Champs (75) (disparue)
-Eglise St-Paul-St-Louis (75)
(ancien couvent des Jésuites)
-Eglise St-Pierre-aux-Arcis (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-aux-Boeufs (75) (disparue)
-Eglise St-Pierre-de-Montmartre
-Eglise St-Roch (75)
-Eglise St-Sauveur (75) disparue
-Eglise St-Séverin (75)
-Eglise St-Sulpice (75)
-Eglise St-Symphorien et St-Luc (75) (disparue)
-Eglise St-Thomas-du-Louvre (75) (disparue)
-Eglise Ste-Croix (75) (disparue)
-Eglise Ste-Geneviève-des-Ardents (75) (disparue)
-Eglise Ste-Marine (75) (disparue)
-Eglises et cimetières de l'île de la Cité (75) (disparus)
 
-Escurial (monastère de l') (Espagne)
 
-Grottes vaticanes
 
-Hospice des Enfants-Rouges (75) (disparu)
-Hospice des Enfants-Trouvés (75) (disparu)
-Hospice des Quinze-Vingts St-Honoré (75) (disparu)
 
-Mausolée d'Auguste à Rome
-Mausolée d'Hadrien à Rome
-Mausolée de Mausole à
Halicarnasse (Bodrum) Turquie (disparu)
-Mémorial du Mt-Valérien (92)
 
-Noviciat de l'Oratoire (75)
 
-Oratoire St-Honoré ou du Louvre (75)
 
-Panthéon de Paris
-Panthéon de Rome (Italie)
-POMPES FUNÈBRES, AUTREFOIS et leurs métiers disparus
-Prieuré St-Martin-des-Champs (actuel CNAM) (75)
-Prieuré Ste-Catherine-du-Val-des-Ecoliers (75) (disparu)
-Prieuré Ste-Croix-de-la-Bretonnerie (75) (disparu)
 
-SAINTE-CHAPELLE DU PALAIS (75)
 
-SÉPULTURES DES BOURBONS
-SÉPULTURES DES ROIS D’ANGLETERRE (dynastie Anglo-saxonne)
-SÉPULTURES DES ROIS ET DUCS DE BRETAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS D'ESPAGNE
-SÉPULTURES DES ROIS DE FRANCE ET DES EMPEREURS (résumé)
-SUPPLICIÉS Lieux d'inhumations
 
-Temple (enclos, église et cimetière du) (75) (disparus)
COPYRIGHT 2010 - 2024 - TOUS DROITS RÉSERVÉS - Ce site est propriétaire exclusif de sa structure, de son contenu textuel et des photos signées MCP.  Sauf accord du propriétaire du site, toute reproduction, même partielle, à titre commercial est interdite. Les reproductions à titre privé sont soumises à l'autorisation du propriétaire du site. A défaut, le nom du site et de son auteur doivent obligatoirement être mentionnés. Tous les droits des auteurs des oeuvres protégées reproduites et communiquées sur ce site sont réservés.