►Sépulture André Michelin
►André Michelin (fondateur)
►Ses deux épouses : Sophie Wolff (1858-1918) et Jeanne Wolff (1874-1955), toutes deux filles d’Auguste Wolff (1821-1887), pianiste, compositeur et facteur de pianos qui, associé à Camille Pleyel, devint le directeur de la célèbre maison de pianos Pleyel Wolff et Cie. Veuf, André épousa Jeanne en secondes noces. Leur sœur, Thérèse Wolff, épousa Edouard Michelin.
►Jean Michelin (1883-1963)
Fils aîné d’André et de Sophie, il fut aussi l’homme des œuvres sociales notamment en exigeant un niveau de confort et d’hygiène dans les maisons de la cité ouvrière, en instaurant un système d’assurance-maladie et d’allocations familiales et en créant une clinique. etc.
►Sa femme, Marie Marguerite Puiseux (1894-1984)
►Jean-Luc Michelin (1920 - 20 janvier 1949)
Fils de Jean. Au volant de sa Bugatti, il se tua près de Montargis, au carrefour des Bézards en s’encastrant sous un camion avec ses deux petites filles : Annie, âgée 2 ans et Roselyne, âgée d’un an, et leur nurse, Yvonne Perron.
►Sylvie, petite fille d’André, écrasée accidentellement à l’âge de deux ans par son père, Daniel Michelin, fils de Jean, alors qu’il manœuvrait son véhicule.
►Olivier Michelin (1949-1975)
►Patricia Michelin (1948-1990)
Sur la tombe, en vain, on cherchera une plaque à la mémoire de :
►Marcel Michelin (1886-1945), second fils d'André qui prit la direction de la recherche dans les années 20. Au-delà du pneumatique, il fut à l'origine du développement des Michelines. Déporté à Buchenwald, où il travaillait à la carrière, son nom fut ajouté au dernier moment sur une liste de prisonniers réclamés par le camp d'Ohrdruf. Un mois plus tard, il y mourait d'une pneumonie, après avoir été laissé nu pendant deux heures dans la neige et le vent après la douche.
►Jean-Pierre Michelin (1918 - 22 septembre 1943)
Fils de Marcel, il avait rallié à Alger la France libre du général de Gaulle. Il fut le premier officier à mourir lors du débarquement à Conca (Corse), destiné à soutenir la résistance locale.