En 1970, il était sur la scène dans la comédie musicale "La Neige en été".
Après l’enregistrement, en 1976, d’une anthologie du musette avec l’accordéoniste Marcel Azzola, il sortit un album Inconnus Inconnues (1980).
Mais, alors qu’il donnait d’innombrables concerts dans toute la France, les médias se firent rarement l’écho de ses tournées.
Fatigué, il se consacra davantage à ses anciennes amours délaissées : l'écriture et la peinture. Il publia ses souvenirs de jeunesse : Le Petit Invité (1989), La Fleur de l'âge (1991), et Le Coquelicot (1997).
Encore sur scène en 1987 à l'Élysée Montmartre, cinq ans plus tard il fut victime d’une pleurésie qui le priva d’une partie de sa voix.
En 1993, lui qui très jeune avait été affilié à des mouvements de gauche, il vint chanter à Chateaubriant où avaient été fusillés vingt-sept communistes, dont le jeune Guy Môquet, le 22 octobre 1941.
L'ultime récital de cet homme discret eut lieu à Nancy deux mois avant sa mort.
Marcel Mouloudji fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise où sa tombe, protégée par l'intimité de la verdure, peut se faire très confidentielle à l'oeil du visiteur pressé.