Néanmoins, son pouvoir effectif fut de courte durée. Il eut au moins le temps de faire rédiger, en 1186, par une assemblée de juriste un texte juridique, l’Assise au Comte Geoffroy qui visait à limiter la division des grands fiefs, ce qui lui valut la faveur des barons.
Après une trêve, le conflit reprit alors qu’Henry II refusait d’adjoindre l’Anjou au duché de Bretagne. Geoffroy se réfugia à la Cour de France auprès de Philippe Auguste.
Il mourut des suites de blessures reçues lors d’un tournoi et fut inhumé dans le chœur de la cathédrale Notre-Dame en construction depuis vingt-trois ans et loin d’être encore achevée.
Que restait-il de sa tombe lorsque débutèrent les grands travaux du chœur en 1699 ? Ils occasionnèrent un bouleversement des sépultures présentes, allant jusqu’à leur disparition, la découverte d’autres, parfois inidentifiables, ainsi que la découverte de reliques accompagnées de procès-verbaux ensevelis depuis des lustres et parfois illisibles.
Quid de Geoffroy ?