RETOUR RELIGION
Le lieu du martyre
 
Quel endroit hautement symbolique pour les exécutions les Romains choisirent-ils ?  A dire vrai, on ne sait pas. Selon la pratique romaine, hors les murs de la cité ?
Pour tenter de résoudre la contradiction relative au lieu du martyre, une nouvelle version de la Passion de Denys fut rédigée avant la fin du 7ème siècle. L’auteur prétendit que la décollation aurait eu lieu sur une colline située entre Paris et Saint-Denis, que le troisième biographe de saint Denis identifia comme le mont Martyrium (Montmartre) sur lequel l’ordre aurait été donné de les exécuter. Selon une autre version, les soldats n’auraient pas attendu d’y grimper pour les décoller.
Quoiqu'il en soit, la légende veut que Denis se soit relevé, ait pris sa tête sous le bras pour aller mourir à Saint-Denis, indiquant ainsi par ce miracle sa volonté d’y être enseveli.
Il s’agissait d’un champ appartenant à une aristocrate romaine, Catulla, qui y aurait alors fait inhumer chrétiennement Denis et ses deux compagnons (dont on ne sait, eux, comment ils arrivèrent là…).
 
En réalité, il existait déjà un cimetière gallo-romain dans lequel; il(s) fu(ren)t probablement inhumés.après avoir été recueillis par des chrétiens ou quelques bonnes âmes. Puis, comme pour saint Pierre, peut-être un premier oratoire construit, le culte précoce et la légende faisant le reste.
Pourquoi dans cette nécropole ? Et on en revient au lieu du martyre ignoré, etc.
Catulla fait inhumer Denis, Rustique et Eleuthère.
A la fin du 5ème siècle ou au tout début du 6ème, sainte Geneviève, qui vouait à saint Denis une véritable dévotion, obtint du clergé parisien l’érection d’une église sur sa tombe au “vicus Catulliacus” là où se dresserait plus tard la basilique. Tout du moins, c’est ce que lui attribue un biographe en 520.
 
Entre lieu du martyre et sépulture : une affaire commerciale et d’influence.
 
Environ 1560 ans plus tard, on peut s’interroger  sur ses différentes versions ou n’y voir aucun intérêt Mais  en des temps, qui durèrent des siècles,  où posséder la dépouille d’un saint  signifiait culte du saint, pèlerinage, gros revenus et influence, le sujet était au contraire d’importance.
 
A la fin du 5ème siècle, Geneviève, partisane des Francs de Clovis Ier, occupait une fonction élevée à Paris. Or, l’évêque de Paris, lui, appartenait au clan opposé, celui du général romain Syagrius, allié aux Wisigoths.
Avant la victoire de Clovis sur Syagrius, Geneviève avait tout intérêt que le culte de saint Denis ne se développe pas dans Paris sous le contrôle de l’évêque. Si le martyre avait eut lieu à Saint-Denis et non à Paris, la basilique pouvait conserver son monopole sur le culte du saint.
 
La légende, de Denis marchant sa tête sous le bras avait l’avantage d’être un compromis diplomatique pour empêcher l’évêque de Paris de revendiquer la dépouille du saint dont les desservants de la basilique craignaient toujours d’être privés. Car  l’évêque n’en démordait pas.  En plein essor du culte de Denis, il entendait bien exercer son contrôle sur l’affaire pour assurer la promotion de sa cité. Ce n’est que grâce au soutien royal que la basilique parvint à faire valoir ses droits. Au début du 7ème siècle, elle devint un puissant monastère placé sous la protection de Clotaire III et de Dagobert Ier et entretenait des liens étroits avec le palais royal de Clichy, tout proche, devenu la résidence favorite de la cour royale.
Dagobert y multiplia les donations en faveur des moines, embellit l’édifice et choisit de s’y faire inhumer. Sans le savoir, il inaugurait une tradition plus que millénaire.
 

La tombe de saint Denis
 
D’après la tradition, Denis reposait sous le maître-autel où les archéologues découvrirent une fosse qui ne contenait plus de corps. Quelques fragments de sarcophages, de tuiles ,d’ossements d’animaliers et humains associés à des poteries antiques furent retrouvés dans le remblai de comblement. Cette fosse, qui semble témoigner de l’exhumation d’un corps, correspondrait à celle de Denis. Aux abords immédiats, ont été reconnues les premières inhumations en cercueil et sarcophage de la nécropole qui date du 4ème siècle. Vers 450, c’est au-dessus de la tombe de Denis, et en fonction de son axe, que fut édifiée la première basilique fondée sur des blocs à décor sculpté prélevés dans un mausolée gallo-romain.
Dès la fin du 5ème siècle, de nombreux aristocrates francs choisirent Saint-Denis comme lieu de sépulture favori ce que prouvent les fouilles archéologiques.
Plan de la nécropole  (Reconstitution Michaël Wyss - Unité d'Archéologie de la Ville de Saint-Denis)
1. Edifice primitif où fut enseveli saint Denis
2. Premier agrandissement mérovingien
3. Second agrandissement mérovingien
4. Eglise carolingienne
Crypte de l'édifice primitif. Devant, fosse où aurait été enseveli saint Denis. Merci à E. Le Marchand pour la photo
En 2012, le temps d’une exposition consacrée saint Denis dans la basilique, une projection d’une sculpture de la façade de Notre-Dame a pris place dans la fosse © MCP
Donnant lieu à pèlerinage, selon Grégoire des Tours, la sépulture du martyr se présentait alors sous la forme d’un sarcophage surélevé dont le couvercle était drapé d’un tissu d’or, de perles et de pierres précieuses. Dans la basilique carolingienne, les pèlerins faisaient leurs dévotions dans une crypte dont les deux couloirs courbes, éclairés par des fenêtres, sont toujours visibles.
 
En 1140, devant le nombre croissant de pèlerins venant se recueillir devant les reliques du saint, Suger   fit agrandir l'édifice. La crypte et son agrandissement (actuelle chapelle Hilduin), furent englobés dans le chevet qu'il fit reconstruire.  Vers 1151, Suger décida de transférer les trois reliquaires, contenant les corps de Denis,  Eleuthère et Rustique, du chœur  de l’église à l’autel du Corps-Saints édifié dans le chœur supérieur.  
La chapelle d'Hilduin se situe juste devant  la fosse de saint denis et les sarcophages.
Merci à E. Le marchand pour la photo.
Une dépouille très disputée...
 
En 1052, le corps de saint Denis se retrouva au cœur d’une affaire d’État. Les moines du puissant monastère de Saint-Emmeran de Ratisbonne affirmèrent qu’ils le possédaient et organisèrent une grande fête en présence de l’empereur et de toute la cour de Germanie. La réaction des moines de Saint-Denis ne se fit pas attendre. Le conflit prit une telle ampleur que le roi Henri Ier fit ouvrir solennellement la châsse en présence de nombreux évêques : la dépouille était bien là.
 
En 1406, nouvelle querelle entre les moines de Saint-Denis et les chanoines de la cathédrale Notre-Dame qui prétendaient avoir reçu de Philippe Auguste, en 1217, le sommet de la tête du saint. Ce conflit s’envenima au point de faire l’objet d’un procès au Parlement de Paris en 1410. D’après les chanoines, Denis aurait été décalotté avant d’être décapité, et cette version fut relayée par certaines représentations du 13ème siècle qui montrent le saint auquel ne manque que la calotte crânienne au lieu de la classique décollation.
Les reliques de saint Denis sont de nos jours conservées dans une châsse placée dans le chœur haut de la basilique. Le somptueux reliquaire en or devant lequel se recueillir des générations de pélerins fut  fondu à la Révolution. Celui que l'on peut admirer date du 19ème siècle.
Merci à E. Lemarchand pour cette photo et les deux suivantes
Arrière du reliquaire. © MCP
(*) commentaire(s)
26 décembre 2012
DENIS DE PARIS saint († vers 250 ou 270)
Basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Parmi les diverses légendes proposées, il est dorénavant à peu près admis que des évêques (sept ?) furent envoyés de Rome par le pape Fabien, au 3ème siècle, pour évangéliser la Gaule, dont l'un s'appelait Denys (Dionysius).
 
Le succès de la prédication de Denys fut tel qu’il devint le premier évêque de Lutèce au grand déplaisir des Romains qui virent en lui un danger pour le pouvoir établi.
Entre 249 et 251, lors de la persécution qui sévit sous le consulat de Dèce et de Gracchus, Denys fut décapité avec ses disciples le diacre Rustique et le prêtre Eleutère. Ainsi Denys devint-il le plus célèbre des saints céphalophores.
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au 22 juin 2021
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par Marie-Christine Pénin
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