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► Maréchal de France
KELLERMANN François Etienne Christophe (1735 – 13 septembre 1820)
Cimetière du Père-Lachaise, 30ème division (Paris)
Cœur : Valmy (Marne)
D’origine noble, soldat à quinze ans, il se distingua notamment lors de la guerre de Sept ans avant que ses mérites, son « intelligence et son instruction », lui valent d’être promu maréchal de camp en 1788. Il était donc un militaire chevronné quand éclata la Révolution à laquelle il se rallia volontiers.
 
Lieutenant-général, puis général d’armée (1792), il acquit sa célébrité en tenant tête aux Prussiens à Valmy le 20 septembre 1792. Bien que canonnade plus que bataille, cet affrontement, le premier où les troupes française ne furent pas débandées, n’en était pas moins un symbole fort qui marqua un nouveau tournant dans la guerre menée contre la toute jeune République.
Tombeau de Kellermann (à gauche)
-Recueil des tombeaux des quatre cimetières de Paris par C.-P. Arnaud (1825) - BHVP.
Le monument visible de nos jours, à trois compartiments formant panneaux, œuvre de l’architecte Van Cleemputte, date des années 1830, et existait en 1839 bien que daté de 1840. Destiné à devenir sépulture familiale,  seuls les corps du maréchal et de sa femme y reposaient alors. Parmi les personnes qui les ont rejoints depuis, on notera son fils, François Etienne,  et son petit-fils, François Christophe Edmond.  
Les principaux monuments funéraires de Père-Lachaise [...] - Amédée Bédelet, 1839
De nos jours © MCP
© MCP
A Valmy, il existe deux monuments : le monument à la victoire surmonté de la statue de Kellermann, érigé pour le centenaire de la canonnade le 20 septembre 1892 et, plus modeste, son carditaphe consacré en 1821.
Monument au cœur en premier plan
© Dominique Timmermans /napoléon-monuments.eu
© Dominique Timmermans
© Dominique Timmermans
© Dominique Timmermans
► KELLERMANN François Etienne (1770 - 1830)
► KELLERMANN François Christophe Edmond de (1802-1868)
Fils de François Etienne,  par l'entremise de François-René de Chateaubriand, alors ministre des Affaires étrangères, il fut  attaché à l'ambassade de France à Constantinople (1824). Chargé d'une mission diplomatique à Smyrne (1827), il suivit l'expédition de Morée avant de rédiger  un rapport sur la situation politique de la Grèce. Accrédité  comme chargé d'affaires à Capo d'Istria et secrétaire de légation,  il rentra en France après les Trois Glorieuses et fut nommé chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères, puis premier secrétaire d'ambassade à Berne (1831).
 
En désaccord avec la politique du gouvernement, il démissionna de la diplomatie. Malgré les objurgations de son père qui menaçait de le déshériter,  il vécut sa plume en collaborant au Rénovateur et devint l'un des propriétaires du journal royaliste La Quotidienne. Elu et réélu député royaliste de Haute-Garonne (Toulouse) (1839,1842 et 1844), il combattit l'alliance anglaise, le droit de visite, le projet des fortifications de Paris, et réclama la liberté de l'enseignement. Ne se représentant pas aux élections de 1846, il  se consacra à la littérature politique tout en se livrant à des opérations spéculatives.
Membre de la Commission des embellissements de Paris (1853) dans le cadre des grands travaux d’Haussmann, il était aussi à la tête de la société qui avait obtenu  la concession de la ligne de chemin de fer de Saint-Rambert-en-Bugey à Grenoble, entreprise qui sollicitait l'autorisation de la prolonger jusqu'à la frontière avec le Piémont. Mais, la situation de cette société  et ses présomptions spéculatives conduisirent au refus des pouvoirs publics. Criblé de dettes, il dut se séparer de son domaine de Stors (Val-d’Oise).
© MCP
Fils du précédent, comme lui, il embrassa la carrière des armes. En 1791, il suivit le chevalier de Ternant (1751-1833) dans une ambassade aux Etats-Unis. De retour en France (1793), il participa au siège de Lyon comme aide de camp de son père et fut arrêté, libéré et retrouva un commandement à l’armée d’Italie en même temps que ce dernier.
Présent à Arcole, Rivoli, au siège de Mantoue, blessé  au passage du Tagliamento, Bonaparte le chargea    de porter au Directoire les drapeaux pris à l’ennemi. Général de brigade (1797), il s’illustra à nouveau au combat de Nepi, à Toscanella, puis la prise de Naples. Sa charge décisive à Marengo ((1800), lui valut le grade de général de division.  Blessé à Austerlitz, il fit partie de l’armée du Portugal et fit campagne en Espagne de 1808 à 1811.
© MCP
Sources principales :
-Histoire et dictionnaire du Consulat et de l’Empire –Ed. Laffont (1995)
-Recueil des tombeaux des quatre cimetières de Paris par C.-p. Arnaud (1825) (Tome 2, pp. 54-60).
-Les principaux monuments funéraires de Père-Lachaise […] par Amédée Bédelet (1839) (pp. 185-187)
-http://napoleon-monuments.eu/Napoleon1er/Kellermann.htm
(*) commentaire(s)
1er décembre 2017
Mais, accusé de réquisitions abusives et de brigandage, mis à la retraite, il reprit néanmoins du service en 1813 et 1814, nouvelle occasion de se distinguer, notamment à Dresde lors de la charge à la tête de la cavalerie polonaise. Rallié à Louis XVIII comme son père, en revanche, il rejoignit Napoléon aux Cents-Jours et participa à la grande charge de Waterloo où il fut encore blessé. Quelque temps après son retour à Paris, il fut chargé, avec les généraux Gérard et Haxo, d'apporter à Louis XVIII la soumission de l'armée de la Loire. Laissé sans emploi jusqu’en 1818, la Restauration finit par lui accorder le droit de porter le titre de marquis de Valmy avant d’en faire un duc et pair, ce qui ne l’empêcha pas de voter avec les opposants libéraux. Au procès des ministres de Charles X (déc. 1830), il fut l’un des cinq pairs qui votèrent la mort.
Envoyé réprimer la révolte des Lyonnais contre la Convention, il se heurta aux représentants en mission qui prétendaient lui apprendre son métier, et passa plus d’un an en prison sous la Terreur. Echappant de peu à la guillotine, libéré et réintégré dans l’armée (1795), il commanda l’armée des Alpes et d’Italie jusqu’à son remplacement par Bonaparte.
 
Réformé, ce dorénavant sexagénaire ne remplit plus que des fonctions d’inspecteur. Appelé, après le coup d'État du 18 brumaire, à faire partie du Sénat conservateur, dont la présidence lui fut décernée (1801), Napoléon lui offrit sa consécration : successivement, il obtint le cordon de grand officier de la légion d’honneur, la dignité de maréchal (1804) (il fut l’un des quatre maréchaux honoraires de l’Empire avec Lefebvre, Pérignon, Sérurier, dits «sénateurs ayant le titre de maréchaux de l'Empire»), la sénatorerie de Colmar, le titre de duc de Valmy (1808),  et il porta la couronne de Charlemagne lors du sacre de Napoléon, et la queue du manteau du Roi de Rome lors de son baptême.
 
Mais, se trouvant à Paris le 1er avril 1814, il vota au sénat la déchéance de l’Empereur, la création d'un gouvernement provisoire et fut compris dans la première organisation de la Chambre des pairs. Resté à l’écart des évènements des Cent-Jours, fait pair de France par Louis XVIII, il siégea parmi les défenseurs des libertés publiques à la Chambre des Pairs où son fils, François Etienne, le remplaça. Il vota la mort de son ancien frère d'armes, le maréchal Ney.
 
Sous son commandement, les Français avaient livré ou soutenu quarante-trois batailles ou combats. Cependant, à cause de son âge avancé, de 1804 à 1813 il ne commanda plus que des armées de réserve ou des corps d'observation.
 
Il fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise. Mais, suivant ses dernières volontés, son cœur fut enterré parmi les soldats de Valmy, au milieu du champ de bataille dont il avait été le héros : « Je prie M. le maire de Valmy de m’acheter un petit terrain, contenant deux pieds en carré, pour y inhumer mon cœur après mon décès. Mon fils sera chargé de porter mon cœur, qui ne peut être placé qu’au milieu de mes braves frères d’armes, morts dans la glorieuse journée du 20 septembre 1792, et sous la sauvegarde des braves. »
Son nom figure sur l’arc de triomphe de l'Etoile.
 
Sa première tombe, ornée d’un médaillon, fut réalisée selon le modèle de celle de son épouse, Marie Barbé de Marbois († 1812), auprès de laquelle il reposait.
TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX
Dernière mise à jour
au 22 juin 2021
TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX
par Marie-Christine Pénin
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