RETOUR LIEUX  DE SÉPULTURES
20 janvier 2018
PARIS : UN GIGANTESQUE OSSUAIRE INSOUPÇONNÉ ET OUBLIÉ SOUS NOS PIEDS…
De nos jours, peut-on imaginer un seul instant qu’en piétinant la chaussée parisienne nos pas frôlent encore des milliers d’ossements, ou qu’un immeuble se dresse au-dessus d’eux prenant la forme d'une stèle géante. Et pourtant…
 
Alors que depuis le 19ème siècle il existe trois grandes nécropoles (les cimetières de Montmartre, du Père-Lachaise et du Montparnasse) auxquelles furent adjoints les cimetières des communes limitrophes de Paris rattachées à la capitale en 1860, comment cela est-il possible ?
Entre notre manque d’intérêt et notre mémoire paresseuse, table rase a été faite du passé. Mais, de temps à autre,  par le biais de découvertes archéologiques,  celui-ci aime se rappeler à notre bon souvenir nous laissant stupéfaits alors même que le fait devrait être regardé comme normal.  
Ainsi, et entre autres, la réhabilitation du Carreau du Temple (2009) a-t-elle révélée une nécropole et un cimetière médiéval.  
Carreau du Temple : squelettes du cimetière "moderne" (16e au 18e siècle) © J. Montagard
Une partie des ossements du cimetière de l'hôpital de la Trinité
http://www.telerama.fr/scenes/des-squelettes-sous-le-monoprix,130297.php
En 2015, nouvelle émotion : l’agrandissement en sous-sol des réserves du Monoprix du bd Sébastopol faisait apparaître des centaines d’ossements : on venait de découvrir une partie de l’ancien cimetière de l’hôpital de la Trinité qui n’avait pas été transférée aux Catacombes.
Carreau du Temple après sa rénovation © MCP
Monoprix du bd Sébastopol © MCP
A l’insu de ses habitants,  le sous-sol parisien regorge encore de nombreuses surprises de ce type.
 
Remontons le temps pour comprendre
 
Autant commencer par une simple évidence pourtant souvent négligée : toute présence d’une population induit une mortalité et, par conséquent, des lieux d’inhumations.  
 
En ne reprenant pas la règle hygiénique de la crémation romaine, et en adoptant la sépulture en terre,  l’implantation gallo-romaine (cimetières de la rue Nicole, d’une très grande superficie,  et Saint-Gervais), puis celle des premiers cimetières chrétiens (Saint-Marcel, St-Gervais, St-Pierre-et-St-Paul et alentours) laissèrent des traces de nécropoles sur les deux rives de la Seine.    
1. Cimetière dit de la rue Nicole / 2.  St-Gervais / 3. St-Marcel / 4.  St-Pierre-et-St-Paul
Google Earth © MCP
Cimetière des Innocents
Des clochers de Paris...
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, plusieurs siècles s’écoulèrent avant la création de caves dédiées aux défunts. Pendant ce temps, on inhuma à peu de profondeur dans des fosses situées sous le dallage du chœur, de la nef, des bas-côtés et au plus près, quand cela était possible, de l’endroit d’où le trépassé assistait à l’office.
 
Il est difficile de dater précisément les inhumations dans des caveaux dédiés à des familles possédant une chapelle au-dessus, privilège très coûteux et donc accordé à celles qui en avaient les moyens, à des personnalités, à des grands bienfaiteurs de l’édifice, etc. Cet usage varia en fonction de la structure et de la surface souterraines du bâtiment. La manne financière que représentaient ces chapelles incita souvent à en rajouter  lors d’agrandissements ou de reconstructions d’églises, à charge des propriétaires de les décorer  et meubler.
 
Quand les fosses sous le dallage s’avéraient pleines ou que les caveaux privés changeaient de propriétaires, s’offraient deux solutions :
-L’église possédait un cimetière et l’on peut raisonnablement penser que les ossements y étaient déversés.
-L’église ne possédait pas de cimetière et les ossements  étaient entassés en vrac dans les combles. En 1812, lors de la démolition de l’église Saint-Benoît-le-Bétourné les ouvriers virent dégringoler à leurs pieds des tombereaux d’abattis.  
Envahies de cadavres, les églises dégageaient souvent des exhalations putrides contraires à la salubrité publique.
 
Avant même la Révolution, pour des raisons d’insalubrité ou de nécessité urbaine, quelques églises qui ne possédaient pas de cimetières avaient déjà disparu sans qu’on ne s’embarrassât toujours du devenir des  corps qu’elles contenaient : quand ils n’étaient pas déposés dans un charnier de proximité, ils restèrent en partie enfouis sous ou dans les fondations de nouveaux bâtiments.
 
Avec la Révolution et l’ordre de destruction d’églises, plusieurs cas se présentèrent pour celles qui ne furent pas démolies.
1. L’édifice conserva dans un ossuaire les ossements retrouvés (St-Germain l’Auxerrois, St-Eustache, St Roch, St Sulpice,  etc.)
2. Cas plus exceptionnel, l’édifice conserva in situ des cercueils avec leurs occupants (St-Paul-St-Louis). On peut aussi citer le caveau des marguilliers de l’église St-Sulpice oublié par miracle des profanateurs révolutionnaires.
3. Les ossements retrouvés, à cause de la vétusté de leurs cercueils ou de leur profanation, furent menés directement aux Catacombes ou transitèrent d'abord par l’ossuaire de l’Ouest.  
Un des caveaux de St-Paul-St-Louis © MCP
Mais, par négligence ou parce que dissimulés au regard, le déblaiement fut loin de toujours se passer de façon exhaustive. Une fois un premier retrait effectué, on passa à autre chose, à savoir la réfection de l’édifice. L’oubli s’installa sur les cryptes supposées vides et dorénavant inutilisées jusqu’à ce que des travaux, souvent de modernisation (pose de calorifères, etc.) les fassent découvrir. Ainsi, en 1871 et 1913, l’église Saint-Laurent livra-t-elle encore des restes de ses défunts qu’on déposa aux Catacombes. D’autres connurent plusieurs campagnes d'exhumations comme l’église Saint-Nicolas-des-Champs : 1804, 1846, 1848-1850, 1853-1855, 1858-1859.
 
Pour les églises disparues, plusieurs scénarios coexistèrent. Une fois fermées et vendues, les acquéreurs souhaitaient tirer rapidement profit de leur achat à commencer par la vente des pierres pour mettre à nu le terrain avec espoir de le lotir, ou d’en tirer un bénéfice conséquent en cas de cession. Mais démolir a un coût que beaucoup sous-estimèrent. Achats, reventes, financements, autorisations de démolition, etc., furent autant de facteurs qui laissèrent soit l’édifice en état, soit déjà partiellement détruit.
 
Si des démolitions d’églises et le transfert de leurs ossements aux Catacombes  intervinrent rapidement (1793 pour l’église conventuelle Ste-Croix-de-la-Bretonnerie ; 1794 pour Saint-André-des-Arts), le vidage des édifices religieux concernés s’effectua principalement à partir de 1804 avec contrainte de démolition  due, entre autres,  aux importants travaux de voirie qui s’annonçaient comme, par exemple,  les percements des rue de Castiglione (1804) ou de La Paix (1805/1806) qui signèrent la disparition des églises des couvents des Feuillants, des Capucines et des Capucins de la rue Saint-Honoré.  
 
Et c’est bien au moment de la destruction, que tout se joua pour  les défunts en attente de leur sort depuis des années. Il arriva que des corps soient réclamés par les familles, rarement. Il arriva que des propriétaires envisagent alors de tirer profit de la vente des cercueils en plomb, tels ceux du couvent des Capucins. Il arriva aussi quelques découvertes étonnantes : le cercueil  de la reine Louise de Lorraine fut trouvé par chance dans une fosse  transformée en fosse d’aisance…
 
En théorie, les ossements trouvés devaient être évacués vers un ossuaire ou les Catacombes. Ce fut le cas pour ceux des Capucins. Mais les autres, tous les autres ?
Rappelons que :
-les démolitions et excavations ne s’effectuaient  pas avec des  tractopelles mais à la pioche avec les probabilités de passer à côté d’une tombe que cela comporte
-l’on n’était pas dans le cadre de fouilles archéologiques ce qui limitait l’exploration au nécessaire requis pour  les travaux  prévus
-le percement d’une voie n’exige pas les mêmes profondeurs de creusements que les fondations d’un immeuble.
Pour au moins ces raisons, de nombreux corps non trouvés restèrent sur place et le sont toujours. Quant aux ossements découverts, en fonction de leur quantité, ils furent transportés ailleurs…ou pas.
 
Pour mémoire, là encore pour un projet de voirie dont la construction de la rue Clovis, en 1807, l’administration des Domaines  organisa des fouilles de l’ancienne abbatiale Sainte-Geneviève qui mirent au jour des sarcophages mérovingiens. Sous Louis Philippe, ce fut au tour de sépultures de religieux de refaire surface.  Mais il en existe encore à l’emplacement de l’actuel Lycée Henri IV.  Faute de moyens, des recherches, pourtant  fructueuses, furent arrêtées. Et Clovis Ier, le seul roi de France dont la tombe n’a jamais été retrouvée, repose toujours probablement sous la chaussée qui porte son nom, à proximité de la porte du lycée Henri IV.
Ossuaire de l'église St-Sulpice placé dans un mur pour recevoir les ossements recueillis dans les caveaux en 1837. © MCP
Fouilles de la crypte de l'abbatiale Ste-Geneviève en 1807. Dessin de A. Bourla
Les cimetières
 
Laissons de côté les quelques cimetières inclus dans l’enceinte d’abbayes, couvents, etc,. dont le sort fut réglé en même temps que la vente des terrains des communautés religieuses, pour ne nous intéresser qu’aux cimetières « traditionnels ».
Tous dépendaient d’une paroisse ou, pour un moindre nombre, d’établissements hospitaliers et/ou d’hospices. On en compta jusqu’à environ 80 répartis dans un Paris aux limites bien plus réduites que celles actuelles.
 
A l’origine, la grande majorité des cimetières dits paroissiaux jouxtaient une église. Leur superficie pouvait fluctuer en fonction des besoins : augmentation avec l’accroissement des paroissiens, mais aussi diminution  lorsque  des travaux d’agrandissements, ou la reconstruction de l’église, empiétaient sur le terrain.
Par une nécessité due au développement de leur population, les plus importantes paroisses de Paris (Saint-Eustache, Saint-Sulpice, etc.) durent trouver d’autres terrains. Le cimetière affichant complet était alors fermé, et ainsi de suite jusqu’au cimetière encore en service à la Révolution.
Sauf son lot d’exceptions, les tombes individuelles n’étant pas nombreuses car souvent non autorisées, les inhumations se faisaient en fosses communes capables d’absorber des centaines de corps. D’une surface variable, elles pouvaient atteindre 5 mètres de profondeur. Une fois pleine, on en creusait une autre.
 
Comme déjà évoqué en début d’article, le scandale du cimetière des Innocents en 1780 provoqua la mise en place d’une nouvelle politique avec l’ouverture, pour des raisons sanitaires, de cimetières extra-muros du Paris de l’époque. En 1791, l’Assemblée Constituante transféra la propriété des cimetières aux autorités communales. La fermeture des anciens cimetières fut assez rapide, mais la vente de leurs terrains comme bien nationaux ne devaient intervenir que dix plus tard, et ils ne furent remplacés que  très progressivement.
 
Passons sur les détails et quelques particularismes pour en arriver à l’essentiel.
Que les cimetières aient été vidés de leurs occupants avant ou après la Révolution, le  résultat fut identique : on se retrouva à devoir déblayer des milliers de corps entassés dans des fosses, parfois depuis plusieurs siècles.    Comme dans les églises, le travail s’effectua à coups de pioches et de pelles. Tâche colossale qui nécessita plusieurs campagnes d'exhumations étalées sur des décennies  pour au moins les cimetières les plus importants. L’exemple le plus impressionnant reste le cimetière des
Innocents : 1786, 1788, 1808, 1809, 1811, 1842, 1844, 1846, 1859 et 1860, sachant qu’un marché fut installé sur son emplacement dès 1788, et qu’en 1860 on en retira encore 813 tombereaux d’ossements lors de travaux.
Le marché et la fontaine des Innocents vers 1858 sur l'emplacement du cimetière dont les contours sont encore parfaitement identifiables © Charles Melleville
Les quelques petits cimetières vidés avant ou pendant la Révolution avaient au moins l’avantage de leur taille et d’avoir conservé à peu près la mémoire des emplacements des fosses. Certains avaient déjà été lotis alors même, qu’en aucun cas, les exhumations ne pouvaient avoir été faites de façon exhaustive. Mais des années plus tard ?
 
L’important étant de répondre aux nécessités urbaines, on fit au mieux au fur et à mesure des besoins, des campagnes d’exhumations parfois groupées (notamment en 1804), et des découvertes dues à des travaux. On retira les couches supérieures d’ossements, on vida encore, mais on en laissa  des quantités sur place qu’on ne trouva pas ou qui, finalement, ne dérangeaient pas une fois la chaussée réalisée.
 
Par la suite, la modernisation de la Ville (eau, gaz, égouts, éclairage public, métropolitain, etc.) allait régulièrement rappeler aux vivants le bon souvenir des morts avec des squelettes enfouis parfois à seulement 50 cm de la surface. Mais, on n'allait pas tout défoncer pour chercher davantage d'autant que certains cimetières pouvaient se prolonger sous des immeubles.
 
Lotis, transformés pour bonne partie en rues, places, boulevards, etc., beaucoup d’occupants des cimetières parisiens disparus et d’anciennes cryptes d’églises détruites guettent le hasard d'un coup de marteau piqueur pour nous réserver encore de belles surprises.
Ce qui vaut pour Paris vaut aussi, bien évidemment, pour les villes de province qui, de manière récurrente, nous délivrent leurs  singuliers témoins du passé.
 







Source principale :
-Les 200 cimetières du vieux Paris de Jacques Hillairet -Ed. de Minuit (1958)
(*) commentaire(s)
La christianisation changea le paysage funéraire avec la construction de chapelle ou de petites églises.
Au fur et à mesure du développement de la Ville, les églises, dans lesquelles s’implanta l’usage  d’inhumer,  se multiplièrent comme des petits pains ainsi que les cimetières d’origine qui les jouxtaient. L’édification d’abbayes, monastères, couvents et prieurés d’hommes ou de femmes agrandit le cercle de lieux de sépultures autant dans leurs églises que dans leurs cloîtres ou leurs cimetières quand ils en possédaient.  
 
Mais les cimetières « classiques » et les édifices religieux ne furent pas les seuls à faire de la capitale un ossuaire prenant la forme d’un puzzle bien curieux. Faut-il encore rajouter des cimetières d’hospices ou d’hôpitaux, des collèges et séminaires, des cimetières dédiés aux juifs et aux protestants en fonction des périodes, la fosse du gibet de Montfaucon pour les suppliciés, le bastion de la Bastille, ainsi que des endroits improbables où vinrent s’entasser des pestiférés ou des victimes de l’histoire comme celles des émeutes entre Armagnacs et Bourguignons (1418), des massacres de la Saint-Barthélemy (1572), des Tuileries (1792), ou des Trois Glorieuses (1830) sous la colonne de Juillet. Ne pas oublier non plus quelques lieux insolites tels le Jardin des Plantes ou les fosses creusées par-ci par-là à la diligence des familles ou amis d’excommuniés (comédiens) interdits de terre consacrée, comme Adrienne Lecouvreur.  
 
Cet inventaire serait incomplet si j’omettais les cimetières dus strictement à des évènements historiques :  ceux des Errancis ou de Picpus, et partiellement celui de la Madeleine, destinés à recevoir les dépouilles des guillotinés durant la Révolution.
Bref, le Paris de l’Ancien Régime compta jusqu’à pas moins de 360 à 370 lieux de sépultures répartis dans  une capitale aux limites bien moindres que celles d’aujourd’hui.
 

Les 200 cimetières du vieux Paris de Jacques Hillairet
 
Les taphophiles éclairés et amateurs de Paris connaissent tous la Bible incontournable : Les 200 cimetières du vieux Paris de Jacques Hillairet.  200, alors que j’en propose presque le double ?
La différence provient simplement de la méthode de comptage. Quand Hillairet cite un lieu de sépultures, il compte un seul lieu pour un ensemble qui, en réalité, peut en comprendre plusieurs.
Prenons l’exemple édifiant des églises dont la majorité eut au moins un cimetière : on inhumait dans l’église ET dans le cimetière, ce qui, en matière de dépôt d’ossements, est totalement différent. Si l’on complète cet exemple par celui des principales paroisses qui, par l’augmentation de leur population, durent acquérir  deux, trois, voire quatre emplacements supplémentaires au fur et à mesure de leurs besoins, la différence s’explique aisément car on ne parle pas du simple agrandissement d’un terrain mais bel et bien de terrains situés dans des endroits totalement différents des uns des autres.
Un cas à part, le cimetière des Saints-Innocents créé pour recevoir les paroissiens de Saint-Germain-l’Auxerrois mais qui en accueillit d’autres paroisses et de diverses origines.
 
Si beaucoup de ces lieux de sépultures continrent des milliers de corps, voire des millions, tel exceptionnellement le cimetière des Innocents,  d’autres n’en abritèrent que très peu ou même un seul comme le collège des Quatre-Nations avec le tombeau de Mazarin. De nos jours, le tombeau du soldat inconnu sous l’arc de triomphe de l’Etoile est un lieu de sépulture.
 
Mais  au cumul, la quantité d’ossements contenue dans le sol de Paris était colossale, incalculable. Les corps en décomposition provoquaient  un état d’insalubrité évident tant dans les églises, lorsque les corps étaient ensevelis sous le pavement, que dans les cimetières la plupart du temps entourés d’habitations.
 
En 1780, le scandale provoqué par l’éboulement d’une fosse du cimetière des Innocents dans des caves d’immeubles remit d’actualité un ancien projet de 1765, qui n’avait jamais vu le jour,  prescrivant la stricte limitation des inhumations dans les églises et l’établissement de cimetières extra-muros. Dès 1782, quelques cimetières paroissiaux fermèrent au profit de nouveaux, comme celui de Sainte-Catherine et, en 1786, on ouvrit  les Catacombes.  
La Révolution accéléra le processus. Dès 1798, fut créé l’embryon de ce qui deviendra le cimetière de Montmartre. En 1804, le cimetière de l’Est, plus connu sous le nom du Père-Lachaise, ouvrit ses portes, puis ce fut autour du cimetière du Montparnasse en 1824 pour remplacer le cimetière parisien de Vaugirard et celui de Sainte-Catherine.
 
Autre grand changement, dès 1791, la propriété et la gestion des cimetières avait été transférées des paroisses aux communes sur lesquelles ils se trouvaient. Par exemple, le petit cimetière du Calvaire, géré par la paroisse Saint-Pierre de Montmartre, passa sous la responsabilité de la nouvelle commune de Montmartre avant d’intégrer Paris intra-muros en 1860.
 
Parallèlement, le sort de nombreux édifices religieux (églises, abbayes, etc.) fut également scellé par une démolition totale qui s’étala des années 1790 jusqu’à parfois les années 1860 en fonction de leur lotissement ou des travaux d’urbanisation. Quant aux cimetières paroissiaux, la même logique accompagna leur disparition plus ou moins rapide.
 

Et ensuite ?
 
Les Catacombes avaient été créées pour recevoir les premiers ossements en provenance du cimetière des Innocents, avec vocation d’y voir aussi  déposer  tous les ossements issus d’édifices religieux ou de cimetières qui disparaissaient.  
En toute logique, n’importe quel abattit découvert par la suite aurait dû y être enseveli.  Force est de constater que, malgré ses plus de 6 millions de corps qui y trouvèrent leur dernière demeure, le compte n’y est pas. Pourquoi ? Quitte à indisposer la tendance du « tout aseptisé » de notre époque : simplement parce qu’ils sont restés sur place et qu’ils s’y trouvent encore.
 

Les édifices religieux
Des ossements au-dessus de la tête et sous les pieds…
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