Poursuivant son œuvre picturale, il s’appliqua à répéter un même thème qu’il exploita jusque dans ses derniers retranchements. Ainsi naquirent de célèbres séries comme il l’avait déjà fait dans le passé : Les Rues pavoisées, les Pêcheurs à la ligne, les Courses.
Jean Cocteau lui commanda des décors de théâtre, et il travailla la céramique avec Artigas, etc.
Par ses séjours en Provence et en Italie, les couleurs de ses tableaux devinrent plus vives et son dessin plus baroque. Et lors de sa deuxième exposition (1923), cette fois le succès fut au rendez-vous.
Et puis, en 1926, il se raconte qu’en regardant une petite fille qui courait sur le quai de Honfleur, il comprit que l’esprit enregistrait plus vite la couleur que le contour. Dès lors, il dissocia les couleurs et le dessin, peignant de larges bandes linéaires et adoptant l’aquarelle qui se prêtait mieux à ses nouveaux objectifs. C’est probablement les toiles de cette période, commencée dans les années 1930, qui sont les plus reconnaissables de son style singulier, d’une fraîcheur éclatante.