RETOUR PERSONNALITES LIEES A LOUIS XIV
►MARTINOZZI Laure (1640-1687)
Eglise San Vicenzo à Modène (Italie)
Elle habitait Paris depuis un an lorsqu’elle fut demandée en mariage par le prince héritier de Modène, Alphonse d’Este qui l’épousa par procuration en 1655. Mariage politique qui visait à soutenir par la France le duché Modène menacé par l’Espagne. Devenu duc de Modène sous le nom d’Alphonse IV, il mourut en 1662, laissant Laure régente du duché qu’elle gouverna avec sagesse mais fermeté, loin des frasques de ses cousines. Puis, elle remit le pouvoir à son fils unique, François, et se retira dans un couvent à Rome où elle mourut.
Elle avait demandé à reposer dans la chapelle mortuaire des ducs d’Este en l’église  San Vicenzo à Modène qui abrite plusieurs membres de la famille d’Este, dont son époux. La chapelle octogonale actuelle, dessinée par Francesco Vandelli et construite en 1836, fut commandée par le duc François IV pour les restes mortels de sa famille et ceux des ducs d’Este de Modène.
Eglise San Vicenzo
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© laguidadimodena.it
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►MANCINI Laure ou Victoire (1636-1657)
Eglise des Capucines de la place Vendôme (Paris)
Compagne de jeux de Louis XIV avec son frère Paolo, sa sœur Olympe et sa cousine Anne-Marie Martinozzi, Mazarin la maria (1651) au fils de César de Vendôme, Louis II de Vendôme, duc de Mercœur, galant homme, pieux, tranquille et soldat de valeur. Les deux jeunes gens se plurent. Mais à cause des vicissitudes politiques du moment, le mariage eut lieu, en 1651, à Brühl (Allemagne) où Mazarin avait trouvé refuge.
Fureur du Grand Condé ! En pleine Fronde, le traité de Rueil (1649), ne stipulait-il pas que Mazarin ne pouvait marier ses nièces sans son consentement !   Condé fit donc comparaître le duc de Mercœur, comme pair de France, devant le Parlement et le somma de fournir des explications quant à cette union et à ses relations avec le cardinal et sa famille.
De nombreuses brochures furent alors répandues dans lesquelles on s’indignait que Mazarin ait osé marier sa nièce à un petit-fils d’Henri IV, même issu de la jambe gauche. Le Parlement ordonna que défense soit faite « à la dite Mancini d’entrer dans le royaume ou d’y séjourner sous prétexte de cette union ». Avec la fin de la Fronde cet arrêt sombra dans l’oubli. Pendant que Mercœur combattait dans le Milanais, Laure, loin des comportements de ses sœurs et cousines, menait une vie très pieuse, tantôt à la cour, où elle était très appréciée d’Anne d’Autriche, tantôt au château d’Anet où elle tenait compagnie à sa belle-mère, Françoise de Lorraine. Couvert de bienfaits par le roi, le couple resta marié sept ans avant la mort brutale de Laure. Eprouvé par la disparition de sa femme qu’il aimait tendrement, Mercœur embrassa l’état ecclésiastique. Laure fut inhumée au couvent des Capucines de la place Vendôme. Aucune trace de sa tombe n’est parvenue jusqu’à nous.
© MCP
►MANCINI Olympe (1638 - 1708)
Eglise du couvent des Minimes à Bruxelles (Belgique)
Elevée avec le jeune Louis XIV et son frère Philippe, sans être belle, elle possédait « des yeux plein de feux » auxquels Louis XIV fut sensible puisqu’il la courtisa de façon marquante avant qu’Anne d’Autriche et Mazarin ne s’empressent de la marier à Maurice-Eugène, duc de Savoie-Carignan (1657). Si l’époux espérait tirer profit du sentiment du roi pour sa femme, il fut déçu. Non seulement Louis XIV se détourna d’Olympe mais tomba éperdument amoureux de sa sœur, Marie Mancini, passion pour laquelle Olympe ressentit, bien évidemment, une vive jalousie.
Marie exilée avec le mariage  du roi et de Marie-Thérèse d’Autriche, Olympe, restée à la cour, reçut la charge de surintendante de la Maison de la reine qui fit d’elle l’une des grandes dames de la cour.
Après avoir jalousé sa sœur, ce fut au tour de Louise de Lavallière dont elle enviait la liaison avec le roi. Dotée d’un mari aussi complaisant qu’il était vaillant soldat, elle prit pour amant le marquis de Vardes avec lequel elle décida de dénoncer l’adultère royal.
De concert, ils écrivirent à la reine une lettre supposée envoyée par le roi d’Espagne. Mais les comploteurs en furent pour leurs frais  : la lettre fut remise au roi lui-même, qui identifia très vite les auteurs de la machination. Tandis que Vardes était emprisonné pour deux ans, Olympe fut exilée avec son mari –totalement innocent dans l’affaire- dans le gouvernement que celui-ci possédait en Champagne. De retour à Paris, elle y mena une vie éloignée de la cour pour cause de plusieurs maternités.
 
Veuve (1674), alors qu’elle s’était faite oubliée, elle revint sur la scène avec « l’affaire des poisons » (1679). Accusée d’avoir empoisonné son mari, mort brutalement, d’avoir voulu faire de même avec Mlle de Lavallière par crainte qu’elle ne soit rappelée par le roi, etc., plutôt que la Bastille Olympe préféra s’enfuir aux Pays-Bas (1680), justifiant son départ par des ennemis bien placés pour la perdre.
Après six ans dans ce pays, elle partit pour l’Espagne où elle espérait pouvoir marier son deuxième fils, Philippe de Savoie (1659-1693). Installée à Madrid, où elle recevait des personnages peu recommandables, il y resta jusqu’en 1692 date à laquelle elle partit pour Bruxelles où elle connut une existence plus calme, entourée de la déférence générale que lui valait l’excellente réputation de son cinquième fils, le prince Eugène.
 
Pourtant, quand elle mourut dans des « conditions étranges » que je n’ai pas réussi à définir, son confesseur, appartenant à l’ordre des Minimes, fit transporter le corps nuitamment et en grand secret dans l’église du couvent des Frères Minimes où elle fut inhumée sans aucune pierre tombale. Les mauvaises langues disent que le couvent ayant été construit à l’emplacement d’une ancien bordel, la sépulture pouvait se passer d’épitaphe…
Le couvent a disparu mais l’église Saint-Jean-et-Etienne-aux-Minimes, qui lui était attachée, existe toujours.
L'ancien couvent des Minimes à Bruxelles. A l’arrière, les anciens jardins de l’hôtel de Merode où logea Olympe.
Actuelle église Saint-Jean-et-Etienne-aux-Minimes
© Johan Mares (@Belgiumview)
►MANCINI Hortense (1646-1699)
Chapelle du collège des Quatre Nations (Paris)
Considérée comme l’une des plus belles femmes de son temps, elle était, dit-on, la nièce préférée de Mazarin ce qui laissait espérer une belle dot à ses nombreux prétendants et pas des moindres. Mais, à d’illustres alliances étrangères, son oncle préféra un Français, Armand-Charles de La Meilleraye (1632-1713), fils de son ami, le maréchal de La Meilleraye. Dans la corbeille de mariage, Mazarin mettait fortune et titres à condition que le marié abandonnât son nom et ses armes en prenant son nom et ses titres. Jeune, vive et légère, Hortense, qui aimait le monde et sa foule d’adorateurs, se vit affubler d’un mari avare, excessif dans sa bigoterie, fuyant la foule et d’une jalousie maladive. Union mal assortie s’il en fut rendant  la vie impossible à Hortense qui,  résolue à s'affranchir de ce qu'elle appelait « un esclavage odieux », le quitta brutalement en 1667/1668 pour s’enfuir en Italie où elle comptait se réfugier auprès de sa sœur, Marie Mancini.
De rebondissements plus rocambolesques les uns que les autres, l'errance d’Hortense la mena en Italie, en Savoie puis en Angleterre (1675) où elle bénéficia de la protection de Charles II dont elle devint la maîtresse. Suscitant toujours la convoitise masculine, son inclination pour un gentilhomme suédois, le baron de Banier, valut à ce dernier d’être tué en duel par un rival évincé et jaloux. Bien que très affectée par cette mort, Hortense reprit goût à la vie et rouvrit sa porte à la  brillante société de Londres.
Le prix de sa liberté fut élevé. Depuis qu’elle l’avait quitté, son mari n’avait jamais lâché prise et la harcelait à coup de procès et de représailles financières tant qu’elle ne réintégrait pas la vie conjugale. Il est vrai que sans des pensions allouées par ses protecteurs, Hortense se serait souvent retrouvé sans ressource. Sa fortune aurait pourtant pu lui mettre le monde à ses pieds.
 
Son choix, qu’elle assuma jusqu’au bout avec détermination, lui réserva une triste fin. A force, son esprit combattif l’abandonna. Le stress dû à l’acharnement de La Meilleraye, l’abus d’alcool, des plaisirs et la spirale des dettes eurent raison d’elle. Dépressive, on dit qu’elle se suicida, à moins qu’elle n’ait été victime de ses excès. Elle mourut à Chelsea (Londres), alors village sur les bords de la Tamise.
Toujours mentalement instable, La Meilleraye se drapa du drame de sa vie de couple : il acheta le corps de sa femme à ses créanciers, puis le transporta  avec lui durant ses voyages en France avant de, finalement, l’inhumer avec le cardinal de Mazarin dans la chapelle du collège des Quatre Nations où il la rejoignit quelques années plus tard. Comme celles de son oncle, il est possible que ses cendres aient été jetées à la Seine durant la Révolution. Elle était la grand-mère d’une autre célèbre fratrie, les sœurs de Mailly-Nesles qui se distinguèrent par leurs amours respectives avec Louis XV.
© MCP
►MANCINI Marie-Anne (Marianne) (1649-1714)
Couvent des Théatins (Paris)
Douée pour les lettres, la plus jeune de la fratrie Mancini écrivit très tôt en vers et conquit beaucoup de monde par son esprit et son charme. Seule nièce de Mazarin qui ne fut pas marié par lui, c’est Anne d’Autriche qui lui choisit pour époux un neveu de Turenne, militaire lui aussi : Maurice-Godefroy de La Tour d’Auvergne, duc de Bouillon (1636-1721). Le mariage eut lieu en 1662. A son domicile parisien, Marianne tenait un cercle littéraire très apprécié. Liée d’amitié à La Fontaine, elle le présenta à d’autres hommes de lettres, dont Molière et Boileau et à de grandes plumes féminines : Mme de Sévigné et Mme de La Fayette.
Sa vie privée ne fut pas sans incidents : un ou deux amants, des bruits d’inceste entre elle et son frère répandus par son beau-frère La Meilleraye, mai aussi et plus grave,  elle dut comparaître devant la chambre ardente que présidait La Reynie dans le cadre de « l’affaire des poisons ». Contrairement à Olympe, elle se tira de cette épreuve avec honneur en manifestant même un peu trop d’aplomb, ce qui déplut à Louis XIV qui n’aimait pas qu’on raillât ainsi ses officiers. Exilée quelque temps à Nérac, elle rejoignit ensuite sa sœur Hortense en Angleterre où elle demeura un an. A son retour, le roi, qui décidément n’appréciait guère son verbe haut dont elle arrosait les princes, lui fit savoir qu’elle pouvait résider où elle voulait « sauf à la cour et à Paris ». Marianne passa deux ans en Italie puis revint finalement à Paris où elle tint de nouveau son salon.
 
Elle avait déjà été victime d’attaques d’apoplexie qui n'avaient  pas été prises au sérieux. Alors que son mari était tombé malade à Versailles, il alla prendre l’air à Clichy où Marianne lui rendit visite. Tout à coup, elle se trouva mal, s’écroula à ses pieds et mourut dans l’instant.
Elle fut inhumée au couvent des Théatins où reposait le cœur de Mazarin. Le sien fut déposé dans le couvent des Jésuites de la rue Saint-Antoine. Aucune trace de sa tombe n’est parvenue jusqu’à nous à la disparition de ce couvent.
 






Sources principales :
-France baroque et classique (1589-1715)-Dictionnaire. Ed. Robert Laffont (1996)
-Histoire de Vendôme et de ses environs par l’abbé Simon –Tome premier (1834)
-Les Mazarinettes ou les sept nièces de Mazarin pr Jacques Hillairet. Ed. de Minuit (1976)
(*) commentaire(s)
Le cardinal de Mazarin avait quatre sœurs dont deux, Margarita Martinozzi et Girolima Mancini, lui donnèrent des neveux, mais surtout sept nièces : Anne-Marie et Laure Martinozzi ; Laure, Olympe, Marie, Hortense et Marie-Anne (Marianne) Mancini.
 
Invitées, encore enfants, à venir vivre en France, protégées par Anne d’Autriche, elles s'adaptèrent d'autant mieux à leur nouvelle patrie que trois d'entre elles furent élevées au Palais-Royal, avec le futur Louis XIV, partageant ses jeux et certaines de ses études.
Quand elles en eurent l'âge, leur oncle leur fit contracter des mariages qui puissent servir autant les intérêts de la France que ceux de la famille Mazarin. Lui, qui n’avait pas d’enfants, voyait là un bon moyen d’assurer sa postérité dans l’histoire et la société française. Il y réussit si bien que ces jeunes femmes, de condition honorable mais modeste, ne tardèrent pas à participer aux fastes de l'histoire de France et d'Europe. L'une d'elles au moins fut à deux doigts de devenir reine de France.
 
Apparentées aux plus grandes familles, on retiendra leurs existences hautes en couleur et l’extraordinaire liberté d’allure et de pensée dont elles surent faire preuve au sein d’une Cour compassée. Surnommées les mazarinettes par les parisiens, ces petites Italiennes, peu douées pour des vies rangées, déclinèrent leur fantaisie et leurs défauts avec un éclat tenant à la fois d’une étrange folie et de la grâce.
LES NIÈCES DE MAZARIN -LES SŒURS MANCINI et MARTINOZZI : les mazarinettes
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par Marie-Christine Pénin
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