Hélas pour lui, incapable de rallier ses troupes à sa trahison, il échoua devant Lille et Valenciennes. Le 5 avril, il se livra alors aux Autrichiens. Chassé de partout, il erra à travers l’Europe, offrit ses services au tsar qui les refusa net. Ce fut l’Angleterre qui l’accueillit et lui versa une pension. Après avoir conseillé Wellington durant la guerre d’Espagne, les Bourbons de retour au pouvoir, lui refusèrent son retour en France. Il mourut en Angleterre.
Le 21 mars 1823, il fut inhumé dans une tombe sous la voûte de l’église de sa paroisse. La procession consistait en un corbillard tiré par six chevaux et suivi par trois diligences en deuil.
Son chapelain, le frère Jean-Baptiste Mortuaire (cela ne s'invente pas !), en exil comme lui, célébra sa messe de funérailles.